Citation Légitimité Du Roi

fonctionnait sur un modèle similaire7. À l’échelle supra-locale, les affaires les plus importantes, les cas d’ensorcellement ou d’homicide étaient portés devant les dignitaires entourant les sous-chefs, les chefs ou le roi. Egalement appelés bashingantahe – ou banyarurimbi à la cour du roi – il semble que ces notables jouissaient d’une très grande autonomie vis-à-vis du pouvoir politique qui se soumettait aux verdicts des notables8. Selon un ancien adage kirundi « celui qui s’aliène les suffrages des

assure la permanence du pouvoir par le biais de titulaire successif, il y a des rapports entre gouvernant et gouverne. Cadre du droit constitutionnel classique : l’état nation N, l’état est l’état le plus froid; il ment froidement, Bakounine citation, les lois ne sont pas faites…L’état est absolu Mussolini devant lequel les individus et groupe ne sont que le relatif le fascisme réaffirment l’état comme la véritable réalité de l’individu. L’état s’accommode tout aussi bien de la dictature de…

l'étroitesse de la loi des 12 tables : + de prétentions et d'exécution. → Ce procès en 2 temps : fait intervenir : le Ministre de la Justice (phase 1), et le Juge (phase 2). ''Ce qui plaît au prince a force de loi '' → Prince : empereur et pas un Roi. Empereur de l'empire Romain qui va s'emparer des sources du dt. B. Formule du préteur. Un préteur délivrait une formule (une tablette de cire) à une des partie. Désormais formule + ouverte. Ce ne sont + des actions de la loi mais des actions prétoriennes :

ont marqué la fin des XX siècle et début du XXI siècle ,la question de la responsabilité pénale du chef d’Etat se voit remise en cause et analysée d’un « œil neuf » « Il n’y pas de Roi là ou domine la volonté et non la loi » Cette citation qui résume l’intensité du pouvoir discrétionnaire et arbitraire du Roi et sa sacralité puisque jadis on croyait qu’il représentait Dieu sur terre pour ensuite croire qu’il était l’incarnation de l’Etat , cette conception à une époque qu’on pensait révolue

mono = un. Une des 1ères tentatives vient d’Hérodote (485 av JC, 425 av JC) il prend le critère du nombre de gouvernants avec une trilogie : multitude, quelques uns, un seul. Donc monarchie veut dire qu’il n’y en a qu’un (c’est pas forcément un roi). Aristote (384 av JC, 322 av JC) va reprendre la classification d’Hérodote mais va l’affiner. Il reprend le critère du nombre et celui du but. Selon lui il y a 2 types de formes de régimes : pur et perverti qui sont souhaitable ou non c’est la dimension

l’élection des représentants du peuple au Parlement et l’opinion publique comme fondement du pouvoir démocratique on peut considérer qu’il est possible à l’opinion (dans le sens le peuple) de décider de la loi. On peut cependant s’interroger sur la légitimité de cet acte, l’opinion qui décide est-elle compétente et suffisamment éduquée pour cette tâche ? La politique est-elle suffisamment valorisée, et l’opinion y accorde-t-elle un intérêt suffisant? Les lois ainsi décidées sont-elles justes, morales

devient un processus de légitimation du pouvoir. Légitimation, c’est produire de la légitimité, du consentement au pouvoir. Les démocraties modernes On peut retenir des révolutions françaises, anglaises et américaines (fin XVIIIème siècle), le fait que des pouvoirs monarchiques soient mis à bas. Le problème n’est pas la monarchie en elle-même mais l’arbitraire du pouvoir. On critique l’absence de légitimité du pouvoir. On arrive à l’avènement de la notion de consentement. L’idée que le pouvoir

impossible de se retourner contre elles. Un des plus grands satiriste est Jean de La Fontaine, avec ses fables il a su dénoncer les actes du roi Louis XIV et de la cour sans problèmes. En effet, les fables sont illustrées avec des animaux pour ne pas nommer le roi. Le roi est tourné en ridicule et fait prendre conscience aux Français des agissements du roi pas très courtois, notamment dans Le lion malade et le renard. Un célèbre chanteur français s'illustre dans cette forme d'humour dénonciateur;

juillet 2001 ; «la laïcité [est] assurément l’un des principes fondateurs de l’État qui cadrent avec la prééminence du droit et le respect des droits de l’homme et de la démocratie». La force contraignante s’agit d’avoir une légitimité, il faut que l’instance qui sanctionne soit reconnus par la société.→ On est reconnus dans le moment qu’on est compétant.Les rapports sociauxCes relations vont être dépendantes de la sociétés, de la culture ce qui va déterminer….Le droit vient empêcher

pour être généralement obéit et doit donc revenir à des autorités bénéficiant d’une reconnaissance de cette capacité à gouverner, c’est-ce qu’on appelle la légitimité. Cette reconnaissance repose aujourd’hui essentiellement sur la participation du peuple, participation dont les modalités sont standardisées. Section 1: le choix de la légitimité démocratique § 1: la justification politique de l’autorité publique Le pouvoir politique est nécessaire, il doit être légitime. Il peut être juridiquement