Citizen Kane

les cinéastes recourent de nouveau à une grande profondeur de champ grâce à l’utilisation d’éclairages plus puissants, de pellicules plus sensibles et d’une faible ouverture du diaphragme. Adepte d’une grande profondeur de champ (notamment dans Citizen Kane, 1941), Orson Welles la justifie ainsi : « Dans la réalité, on voit net sur la totalité de notre champ de vision, alors, pourquoi pas au cinéma ? »11 Pour certains théoriciens du cinéma (dont André Bazin12), une grande profondeur de champ augmenterait

Il n’est pas fan de Godard, mais il aime Pierrot le Fou. Il trouve Le Mépris fantastique, ainsi qu’À bout de souffle, qu’il voit à 19 ans à l’école de cinéma et qu’il considère comme une invitation à prendre la caméra. Le même jour, face à Citizen Kane qui le paralyse, il se dit au contraire qu’il ne pourra jamais faire de cinéma ! À son panthéon figurent aussi David Lean, Billy Wilder, Arthur Penn, Coppola, il aime Claude Sautet mais pas Truffaut. Côté lectures, sa formation est celle d’un

d’un caïd, devient l’enjeu d’un lutte entre un langage trompeur et une image restaurée dans sa pureté. En 2006, à Paris, la pièce a été mise en scène par André Engel, avec Michel Piccoli. Il a fait du roi Lear un chevalier d’industrie déchu, un Citizen Kane inconsolé, errant dans les décombres et dans la neige, un tyran risible et souverain jusque dans la déchéance. Taillant, coupant, dans Shakespeare, il a produit un montage crépusculaire qui acquit la fureur d’un songe. La lande devint la zone,

celui de la chaîne américaine de télévision Fox News, de Rupert Murdoch, qui, tous les matins a donné des instructions à ses journalistes pour légitimer l’intervention en Irak. Une pratique qui rappelle celle de William Randolph Hearst Sr., alias Citizen Kane, orchestrant en 1898 la campagne en faveur de l’intervention du corps expéditionnaire des marines à Cuba. Mais cela ne faisait que commencer. Le rapport dressé en décembre 2005 par l’organisation américaine Free Press sur la guerre de l’administration

occidentale, un réalisateur débutant, issu du théâtre d'avant-garde et de la  radio, signe sa première mise en scène, marquant ainsi un tournant esthétique décisif dans l'évolution des studios hollywoodiens. En effet, en 1941, Orson Welles présente Citizen Kane, avec, et c'est là son côté révolutionnaire, une liberté exceptionnelle pour l'époque. Bien qu'il soit aujourd'hui élevé au rang d'œuvre fondamentale dans l'histoire du septième art, ce film affronte, à sa sortie, l'insuccès public et l’accueil

cinéaste ne manquent pas: (...) une des personnalités les plus marquantes, et les plus difficiles à cerner, du cinéma français. (...) Une révolution dans l’écriture filmique comparable à bien des égards à celle opérée naguère par Orson Welles dans Citizen Kane. Un perfectionnisme dans l’élaboration des scénarios, le repérage des lieux, le montage visuel et sonore, dont on connaît peu d’exemples.1 Et un cinéaste important attire toujours l’intérêt des chercheurs. Le sujet est d’autant plus intéressant

et du temps à filmer. » 7 Réalisé par George Albert Smith en 1900, le film Les Lunettes de lecture de Mamie, ou La Loupe de grand-maman, est l’une de ces œuvres qui bouleversent le cinéma (comme le feront plus tard Les Aventures de Dollie, ou Citizen Kane, ou À bout de souffle, ou Mulholland Drive). Dans ce film d’une minute vingt au sujet très mince, comme il est de coutume de les concevoir à l’époque : un enfant utilise la loupe de sa grand-mère pour observer autour de lui, George Albert Smith

l’expressionisme soit sur des mouvement ou des réalisateur a titre personnel. Notamment sur le film noir américain dans les années 1940. Fritz Lang : la femme au portrait en 1944. Howard Hawks - Scarface - 1932. John Ford - le mouchard - 35. Orson Welles - Citizen Kane en 41 un univers qui semble lié a l’expressionisme. Hitchcock (parti britannique) - 1934 : l’homme qui en savait trop. (Parti américain) 1960 : Psychose. 21/02/13 LE RENOUVEAU

was inducted into the Baseball Hall of Fame in 1947"-- Provided by publisher. STANDARD # = 9780786444656 (softcover : alk. paper). STANDARD # = 0786444657 (softcover : alk. paper). The case of the July 4th jinx Montgomery, Lewis B. New York : Kane Press, c2010. J MONTGOM (T) With the help of ace detective Dash Marlowe, sleuths-in-training Milo and Jazz investigate a so-called jinx at the local Fourth of July fair. STANDARD # = 9781575653082. STANDARD # = 157565315X. STANDARD # = 9780329783365

Internet. Off : Désigne les sons (voix humaine, bruitages) dont l'origine est dans le hors-champ de l'image cinématographique ou vidéo. La voix off du narrateur invisible peut commenter les images du plan d'un film (séquence inaugurale du film Citizen Kane d'Orson Welles). Ogive : Généralement arc brisé gothique ou arc de renfort d'une voûte. La croisée d'ogives correspond à la rencontre de deux ogives. Onomatopée : Mot qui, prononcé, évoque un bruit reconnaissable : "smack" pour un baiser sonore