Civ 10 Mai 2001

qu'il veut atteindre (indemnisation ou non) par considération d'opportunité. Obligation de donner et de ne pas faire: pas d'aléa juridiquement, obligation de résultat. Contrat de faire: obligation de soin du médecin: aléa: obligation de moyen Civ 1è 20 mai 1936 soins consciencieux, attentifs et conformes aux données de la sciences mais pas très favorables aux victimes: obligation de résultat pour affections nosocomiales et pour celles résultant de matériel défectueux utilisé par le médecin, entérinées

dossiers « La réforme du droit des sûretés » D. 2006, chrono. p. 1289 et s. ; « Réforme des sûretés » JCP 2006, Cahier spécial, mai 2006 ; « Réforme du droit des sûretés ; suppl. RLDA 2006/7. 1 Elles touchent cinq sûretés ou catégories de sûretés. Rappelons-les très brièvement : - d’abord, le contrat de gage qui perd son caractère réel (article 2336 du C. civ.) et ne peut plus porter que sur des meubles corporels ; - puis, le nantissement sur meubles incorporels avec, d’une part

représentant la juridiction compétente. Le juge de l’article 49 de l’AUPSRVE est donc une juridiction présidentielle statuant en matière d’urgence dont la décision est exécutoire par provision. 1-Le caractère présidentiel L’article 39 de la loi n°2001-37 du 27 août 2002 portant organisation judiciaire en République du Bénin définit les attributions du président du tribunal mais ne spécifie pas celles qui sont juridictionnelles. En précisant que le président en sa qualité de chef de juridiction préside

travail. |de sa volonté de prendre acte |licenciement sans cause réelle et|avenu » (Cass. soc., 19 janv. 2005, | |À défaut, la rupture s’analyse |de la rupture du contrat de |sérieuse ; soit les reproches |no 03-45.018, Bull. civ. V, no 12). | |en un licenciement sans cause |travail en raison des faits |formulés par le salarié à |Dans cette logique, un salarié peut | |réelle et sérieuse. |qu’il lui reproche. |l’encontre de l’employeur ne

Septfonds, a alors présenté deux déclinatoires distincts afin que le juge judiciaire pose une question préjudicielle à la juridiction administrative concernant la légalité de ces arrêtés. Le juge judiciaire ayant refusé, le préfet, par arrêté en date du 9 mai 2011, a élevé le conflit. La question qu’il convenait de se poser ici est de savoir si les juridictions de l’ordre judiciaire étaient compétente pour contrôler la légalité d’un acte administratif au droit de l’Union européenne et ce sans saisir préalablement

question, not., La responsabilité pour faute, Actes du colloque du Mans du 17 janv. 2003, Resp. civ. et assur. 2003, p. 35 et s. 2 On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde. 3 V. not. ARHAB (F.), Les nouveaux territoires de la faute, Resp. civ. et assur. 2003, préc., p. 43. RADE (C.), L’impossible divorce de la faute et de la responsabilité

prévaloir : la règle de présomption de pouvoir bancaire ou la règle de la gestion concurrente ? La Cour de cassation fait à juste titre prévaloir la présomption de pouvoir bancaire qui est la règle spéciale (Cass. 1re civ. 3 juill. 2001, RTD civ. 2001, p. 941, obs. B. Vareille; Bull. Joly 2001, p. 1172, note G. Baranger). Elle en tire toutes les conséquences, ce qui lui permet de revenir sur une jurisprudence antérieure qui avait été critiquée.Le sort des actions en régime de communauté a moins retenu

privée, en ne retenant qu'une atteinte aux " sentiments d'affliction " de la famille ; 3° alors que la publication litigieuse répondait aux exigences de l'information et était donc légitime au regard de la liberté fondamentale consacrée par l'article 10 de la Convention européenne ; Mais attendu que la seule constatation d'une atteinte aux droits de la personne caractérise l'urgence, au sens de l'article 9 du Code civil ; Et attendu qu'ayant retenu que la photographie publiée représentait distinctement

s’engager sur le terrain de la morale ou de l’honneur, le tribunal peut être saisit et il va devoir qualifier l’accord, devoir qualifier si l’accord est un véritable contrat ou n’en est pas un. Exemple : la convention d’assistance bénévole contrat. Civ. 1ère 27 mai 1959 publiée au JCP 1959 deuxième partie n°11187. II- Classification des contrats 2.1- Les classifications prévues par le code civil Elles sont prévues aux articles 1102 et s. du cc. 3 distinctions essentielles. 2.1.1.- La distinction

n’ont pas la même portée : il convient de distinguer les lois dites impératives et les lois supplétives. a) Loi impérative : c’est une loi à laquelle les parties ne peuvent déroger sauf si la loi en dispose autrement (exemple : la loi Fillon du 4 mai 2004 relative à la formation et au dialogue social qui permet de déroger à la loi y compris dans un sens moins favorable par le jeu de conventions collectives). On parle de loi d’ordre public au motif qu’elle est nécessaire à la bonne efficacité de