Civ 1ère 27 Février 2007

Le 27 février 2007, la première chambre civile de la cour de cassation fut amenée à préciser les limites ténues entre liberté d’expression et respect de la vie privée. En l’espèce, le journal Paris Match a dévoilé dans son numéro du 5 mai 2005, à travers un article de dix pages, l’existence d’un fils naturel du Prince Albert de Monaco avec force détails et photographies. Le prince Albert, jugeant le droit du respect à sa vie privée violée, a poursuivi la société éditrice ainsi que la directrice de

Cass 1ère civ, 27 février 2007 Cet arrêt de la Cour de cassation rendu le 27 février 2007 par la première chambre civile est relatif à la responsabilité sans faute, c’est à dire la responsabilité engagée automatiquement sans qu’il y ait besoin de prouver une faute. La doctrine la définie comme la théorie du risque, le fondement de la responsabilité est le risque pris, en agissant, de causer un dommage à autrui. Ainsi, la responsabilité civile est engagée par le fait d’avoir causé le dommage

Il s’agit d’un arrêt rendu par la 1ère chambre civil de la cour de cassation, le 27 février 2007. Les articles référencés sont les suivants : l’article 6 de la convention européenne des droits de l’homme, les article 443 et 445 du nouveau code de procédure civile, les articles 9 du code civil et 10 de la convention européenne des droits de l’homme. Dans son numéro 2920 daté du 5 mai 2005, l’hebdomadaire Paris-Match a publié, en ses pages 50 à 59, un entretien avec Mme X…, consacré à la révélation

Arrêt n°1 : Dans un arrêt de la 1ère chambre civile de la Cour de cassation en date du 27 février 2007, il a été question du respect au droit à la vie privée et au droit à l’image.La société éditrice de l’hebdomadaire Paris-Match, Hachette Filipacchi, a publié un article accompagné de photographies concernant la vie privée du prince Albert de Monaco. Celui-ci a considéré que la publication de l’article portait atteinte à son droit à la vie privé et à son droit à l’image.Les juges du fond ont considéré

TD droit civil1- Fiche d’arrêtL’arrêt de rejet rendu par la 1ere Chambre civile de la Cour de cassation le 27 février 2007 est relatif au respect de la vie privée et de l’image des individus publics.Dans l’affaire soumise aux magistrats de la Cour de cassation, un article publié dans l’hebdomadaire de Paris-Match expose la naissance d’un enfant issu d’une relation intime entre Mme X et Albert Y, prince de Monaco. L’article, accompagné de photographies et de détails sur leur relation cachée a été

extrait de la décision n° 2010-605 DC du Conseil constitutionnel du 12 mai 2010 sur la loi relative à l'ouverture à la concurrence et à la régulation du secteur des jeux d'argent et de hasard en ligne. - Commentez l'arrêt suivant : Cour de cassation, Civ. 1re, 14 octobre 2010, n° de pourvoi: 0916967. - Commentaire de l'arrêt suivant : Cour de cassation, Soc., 24 mars 2010, n° de pourvoi: 08-45552. - Commentez le texte suivant extrait de l'étude de Pierre Hébraud aux Mélanges Couzinet " Le juge et la

du débiteur (principe en France). (Article 5 1° b) CJCE 23 avril 2009, FALCO : Contrat de fourniture de service => il faut que la partie qui fournit le service exerce une activité déterminée en contrepartie d’une rémunération. CJUE 25 février 2010, Car Trim : -Notion de contrat de vente de marchandise doit être interprétée de manière souple => Dès lors qu'il y a marchandises et transfert de propriété, c'est un contrat de vente de marchandises. -Si rien de stipuler dans le contrat

par l’acheteur. Il croyait avoir acheté un tableau authentique et en réalité, copie. Mais peut-on admettre une erreur sur sa propre prestation ? La JP l’admet, V. affaire Poussin : admet erreur invoquée par le vendeur (V. Doc. 1, Poussin : Civ. 1ère, 22 février 1978 : « Attendu qu’en statuant ainsi, sans rechercher si, au moment de la vente, le consentement des vendeurs n’avait pas été vicié par leur conviction erronée que le tableau ne pouvait être une œuvre de Nicolas Poussin, la CA n’a pas donné

suivants : - Civ. 2e, 3 juin 2004, Bull. Civ. II, n°273, p. 232 Civ. 1ère, 27 février 2007, Bull. civ. I, n°85, D. 2007, p. 804, obs. C. Delaporte-Carré. Civ. 1ère, 15 mai 2007, Bull. civ. I, n°191, D. 2007, p. 1603, obs. C. Delaporte-Carré. Cass. soc.,10 mai 2012, Bull. civ. I, n° 1203, JCP éd. S, n° 30, 2012, 1331, note de B. Bossu. Civ. 1ère, 9 avril 2015, n°14-14146 Faire l’analyse et préparer un plan de commentaire détaillé de l’arrêt suivant : - Civ. 1ère, 5 novembre 1996, Bull. civ. I, n°378

de donner quelque chose au concubin est la responsabilité civile délictuelle. Celle-ci sera fondée sur le fait personnel du concubin. Or, celui-ci devra être fautif. La rupture n’est pas en elle-même fautive, puisque l’union est libre. Cass. civ 1ère  20 juin 2006.  Cet arrêt admet la liberté de la rupture et qu’une convention contraire qui limiterait cette liberté de rompre serait illégale. On ne peut pas aliéner sa liberté par convention. La rupture est un droit qui doit être exercé dans