Civ 28 Octobre 2010

Document 4 : Cass. civ. 1re, 20 novembre 1963, arrêt Appietto ......................................................... 10 Document 5 : Cass. civ. 1re, 19 décembre 2012, no 09-15.606, Publié au bulletin ............................ 11 Document 6 : Cass. civ. 1re, 19 septembre 2019, no 18-19.665, Publié au bulletin ........................... 12 Document 7 : Cass. civ. 1re, 13 janvier 2021, no 19-16.703 19-16.874, Inédit ................................... 13 Document 8 : Cass. civ. 1re, 4 mai 2011

Conseil constitutionnel, Décision n° 2010-14/22 QPC du 30 juillet 2010, M. Daniel W. et autres [Garde à vue] II – Thème 2 : La primauté du traité international sur la loi dans l’ordre interne Document n°3 : Cass. 1ère civ., 16 février 1999, Pourvoi n° 97-12632 III – Thème 3 : La primauté de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme sur la loi dans l’ordre interne L’effet direct de la CEDH Document n°4 : Soc., 12 janvier 1999, Bull. civ. V, n°7 Document n°5 : Soc., 13 juin

ailleurs, mentionner ce délai. De plus, la règlementation de la clause résolutoire est d’autant plus paralysante pour le bailleur, que le juge peut octroyer des délais de grâce[11]. L’arrêt rendu par la chambre commerciale de la Cour de cassation le 28 octobre 2008 est le premier à se prononcer, sous l’empire de la loi du 26 juillet 2005, sur la question de l’acquisition de la clause résolutoire en cas de procédure collective du preneur. « L’ordonnance de référé constatant que l’acquisition de la clause

suivantes : Civ., 1re, 28 nov. 1973, D. 1974.112, note J. MASSIPJ Civ., 1re, 29 fév. 1984, JCP 1984.II.20443, note R. Le Guidec, RTDCiv. 1985.721, obs. J. Rubellin-Devichi Cons. Const., 26 mars 2003, JCP 2003. II. 10066 Crim. 28 juin 2010, Bull. crim. N° 145. CE, 2e et 7e sous-sect, 12 févr, 2014, pourvoi n°365644 7 7 Paris, 21 mai 2011, D. 2011, 324, Defrénois 2001, art. 44321, rapp. X, note Y. T.C. 8 févr. 1873, Blanco, Rec. 1er supplt 61, concl. David TGI Strasbourg, 23 janv. 2010, RTDCom

permettent. a) – Le procédé de la création prétorienne d’une présomption non irréfragable en présence de l’allégation de faits sérieux par le requérant, est loin d’être inconnu du Conseil d’Etat, comme en témoigne notamment l’arrêt d’Assemblée du 30 octobre 2009 rendu non pas sur le fondement de la loi du 27 mai 2008 précitée, postérieure aux faits dénoncés, ni sur celui de la directive du 27 novembre 2000 regardée comme dépourvue d’effet direct eu égard à la définition de l’office du juge administratif

d’alliance, le pacs tend à se rapprocher du mariage, il existe des empêchements à pass identiques aux empêchement à mariage (entre parents, etc). De même les obligations des partenaires semblent se rapprocher des obligations des époux. Dans CEDH, 24 juin 2010 dit que la famille ne se réduit pas aux relations fondées sur le mariage elle englobe d’autres liens famille de facto où des personnes vivent ensemble en dehors du mariage. Dès lors s’il y a famille, il y a droit au respect de la vie familiale. En

l’espèce, Benoît a eu 17 ans en mai 2009, et nous sommes en mars 2010. Par conséquent, Benoît est mineur non émancipé au moment des faits. Pour examiner si cette condition (Les parents ne sont responsables que des dommages causés par leurs enfants mineurs non émancipés.) est remplie, il faut se placer au jour du dommage (Cassa., civ. 2, 25 octobre 1989). Peu importe que l’enfant soit proche de la majorité au moment des faits (Cassa., civ. 2, 18 mai 2000 : l’âge de l’enfant ne constitue pas une cause

l’imputabilité en droit de la responsabilité. Pour éviter cet accueil une autre proposition a été faite. Il s’agit d’apprécier le 3ème élément de la faute, l’élément d’illicéité par rapport à un enfant du même âge. C’est ce qu’a fait la cour de cassation dans Civ 1 7 mars 1989. III- le critère de l’illicéité : un critère déterminant maintenu La faute est un comportement objectivement répréhensible (A) et elle peut recouvrir différentes intensités(B) A- La faute, un comportement objectivement répréhensible

NIANG / M. Daly SENE BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE POUR LE SECOND SEMESTRE Annick BATTEUR, Droit des personnes et de la famille, LGDJ, 2009. Rémy CABRILLAC, Marie-Anne FRISON-ROCHE, Thierry REVET, Libertés et droits fondamentaux, 16ème éd., Dalloz, 2010. Jean CARBONNIER. Droit civil. t. 2. La famille, l’enfant, le couple. 21éme éd. Refondue. Paris : PUF, 2002. Gérard CORNU, Droit civil - Les personnes, Montchrestien, 13e éd. 2007. Patrick COURBE, Droit civil. Les personnes, la famille, les incapacités

vicié (intègre, libre et éclairé). Les vices du consentement : la violence, l’erreur et le dol On laisse de coté la violence, pas d’intérêt en l’espèce. Cf cours droit des contrats. Ce qui est intéressant, c’est l’erreur (article 1110 civ.) et le Dol (article 1116 civ.). On va d’abord voir l’erreur (erreur sur les qualités substantielles ayant déterminé l’engagement des parties). Mais en matière de Cautionnement, il y a deux cas particulier d’erreur. Est-ce que la caution peut demander la nullité du