Civilisation Byzantine Musulmane

L'influence romaine est encore visible dans plusieurs sites urbains (aqueduc de Ségovie, pont à Cordoue, remparts de Lugo, vestiges à Tolède et Tarragone ...). Elle rattache les villes espagnoles aux autres cités méditerranéennes. L'influence arabo-musulmane se fait surtout sentir en Andalousie. Les mosquées (transformées en églises avec la Reconquista), les alcazar ponctuent encore le paysage urbain de Séville, Tolède (Bab Mardum) ou Cordoue (Grande mosquée de Cordoue). L'influence médiévale : plusieurs

anciens et la tradition Talmudique. • Au début des années 90, des archéologues Israéliens l'auraient localisée au cours de leurs explorations souterraines dans un tunnel effondré sous le mont du temple mais suite à ce remue-ménage, les autorités Musulmanes encore propriétaires du sous-sol en auraient interdit l'approche en murant les orifices permettant d'y accéder. D'autres thèses tout à fait crédibles, d'origine diplomatiques en particulier font état de transactions secrètes entre des agents du

632
 650
 731
 732
 987
 ≈1050
 1085
 1095
 1099
 1120
 1130
 1137
 1170
 1180
 1187
 ≈1200
 1214
 1224
 1226
 1270
 1285
 1291
 1314
 1317
 1328
 1339
 1340
 1346
 1347
 1356
 1357
 1380
 1415
 1422
 1429
 1431
 1436
 1451
 1453
 «
Proto
Celtes
»
civilisation
 des
tumulus
 «
Peuples
des
champs
 d’urnes
 1er
âge
du
fer
«
Hallstatt
»
 Fondation
de
comptoirs
grecques.
Création
de
Massalia
par
des
Grecs
venus
d’Asie
Mineure
 Les
Celtes,
venus
d’Europe
centrale,
s’installent
en
Gaule
 1 ANTIQUITE


de 4ème B et 4ème D Les latinistes et hellénistes de 3ème B et de 3ème C Du lundi 11 mai au vendredi 15 mai 2015 Collège Émile Zola Le Haillan 2 SOMMAIRE I - La Sicile Mythologique II - La Sicile Grecque et Romaine III - La Sicile Byzantine—La Sicile Musulmane - La Sicile Normande IV - La Sicile Moderne. Géographie Climat Histoire Drapeau Hymne Gastronomie V - Ségeste — Sélinonte VI - Agrigente — Piazza Armerina. VII - Syracuse — Etna L’amphithéâtre L’Oreille de Denys L’autel de Hièron VIII -

sa condition jusqu’au milieu du XXème siècle. Section 2 : L’héritage chrétien Tradition républicaine qui montre une certaine laïcité, le religieux ne peut être associé aux politiques, ce qui n’est pas le cas partout. Dans la plupart des pays musulmans, religions et états sont liés. Dans l’Antiquité grecquo-romaine la religion et l’état est indissociable. L’Empire romain hérite de cette tradition grecque. On lègue le panthéon traditionnel pour passer à une religion monothéiste : le christianisme

A. HOURANI, Histoire des Peuples Arabes, Seuil, Point histoire, 1993, 732p Hijra : hégire AM : années musulmanes Hadith : ensemble des traditions sur les propos et les actes du prophète VIIè au Xè siècles 1. Un pouvoir nouveau dans un monde ancien Pendant plusieurs siècles, les pays du bassin méditerranéen avaient fait partie de l’empire romain. On y trouvait une paysannerie sédentaire et les routes maritimes étaient sûres. A partir du VIè siècle, Constantinople remplace

une région qualifiée par ses habitants de«chrétienté occidentale», par opposition à la chrétienté byzantine et orientale (la notion d'Europe n'apparaîtra qu'au XVe siècle). De l'An Mil qui voit la naissance des principaux États actuels au début de laguerre de Cent Ans, cette chrétienté connaît de grandes transformations, tant économiques qu'intellectuelles, artistiques et politiques. Notre civilisation en est le fruit. L'un des moteurs de ces transformations est l'Église catholique, dont le chef

se trouve dans le Caucase, entouré par la Turquie, la Géorgie, l’Azerbaïdjan, et l’Iran. C’est l’une des plus anciennes civilisations, mais aussi le premier pays à adopter le christianisme en 301. Jusqu’au 19ème siècle, l’Arménie subit énormément d’invasions, et est régulièrement soumis par les perses, les séleucides, les parthes, les romains, les sassanides, les byzantins, les arabes, les turcs seldjoukides, les mongols, les turcs ottomans, les séfévides, ou encore les russes. Mais cette région

florissantes civilisations de Saba et de Ma'în, avant même la fondation de la cité de Rome, et capable plus tard d'arracher des provinces aux Byzantins et aux Perses, le Yémen était alors déchiré entre d'innombrables principautés, et subissait, d'autre part, l'occupation sassanide. L'Est de la péninsule appartenait également aux rois de Perse, mais le chaos politico-social à Ctésiphon (Madâïn) ne pouvait que se refléter dans toutes les provinces. Le Nord de l'Arabie, sous les Byzantins, ne différait

des œuvres littéraires, physique, histoire mais très peu scientifique. On perd la connaissance du grec sauf en Italie car il y a encore des possessions grecques, pour avoir des textes grecs comme ARISTOTE il faut attendre le 12e siècle avec les musulmans. C) La production. On transmet les anciennes choses mais aussi une production nouvelle. Théologique avec l’évêque HINCMAR qui va écrire des ouvrages, mais il y a aussi beaucoup d’histoire comme la vitae de Charlemagne par EGINHARD qui s’est