Civilisation inca

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non, malgré certaines ressemblances, la représentation du « sauvage » est très différente entre Cartier et Lahontan. |Argument principal 1 | |     Les deux hommes veulent, tous les deux, documenter les coutumes et habitudes de vies des amérindiens. Ils veulent transmettre aux | |Européens ces informations qui se

portugais ; dans les environs de 1580 (peu avant l’édition de ses trois livres “Essais en 1588). Dans cet extrait, Montaigne confronte deux civilisations très différentes : les habitants du Brésil et les portugais. L’auteur compare leurs modes de vies et plus exactement, dans ce passage, les rapports à la guerre afin de porter un jugement sur le degré de civilisation des européens. Utiliser les cannibales pour arriver à ce résultat est impressionnant, d’autant plus qu’il utilise un sujet tabou, le cannibalisme

éducation) 2 sens : - Sens usuel -> formation spirituelle, au travail du jugement critique - Sens sociologique -> ensemble complexe de connaissance, de techniques et de tradition caractérisant une société ou un gpe donné. (syn : civilisation) Enjeu : Question de l’humanisme : Est ce le modèle naturel ou culturel qui est le plus éclairant pour parler de l’H ? Y a t il une nature humaine ? I. La culture, l’Homme et le monde A) La culture comme ouverture de l’esprit Au sens

n0114, volume 29, été2006, p.470-472. Simon Leys est un essayiste, un écrivain et un critique littéraire, né en 1935 à Bruxelles, célèbre pour ses ouvrages sur la Chine. Il vit en Australie depuis 1970 où il enseigne, dans une université, la civilisation chinoise. Après avoir lu le texte de Simon Leys, vous vous interrogerez : quelle est l'idée défendue par l'auteur? Que pensez-vous de son analyse ? Une idée de l'Université SIMON LEYS JACQUES Chardonne disait : Quand vous entendez

le respect des autres et sur la courtoisie, une société intéressée par la connaissance et le fait d'évoluer avec son temps et de tout faire pour y arriver, une société sans cruauté ni criminalité, une société sans peur et sans méfiance et une civilisation urbaine ou l'on porte de l'importance aux aspects esthétiques du monde et des bâtiments, construire pour que ce soit utile et beau. Le chapitre 18 est un univers où tout est pour le mieux pour le meilleur des mondes, tout est positif. Ici, Voltaire

Caraïbe, et d'Afrique œuvrent littérairement parlant pour l'émancipation des Noirs dans les anciennes colonies. Beaucoup revendiquent l'enrichissement culturel comme moyen d'émancipation. Ils collaborent à faire connaître tout ce qui concerne la civilisation nègre et les richesses naturelles héritées de l'Afrique. En opposition à l’image de la femme noire, mulâtresse, ou la femme de couleur véhiculée par la vision européenne et machiste des colons blancs ; apparaît dans le courant du négrisme, par

autres en termes d’avancement des mœurs et des connaissances (intellectuelle et technologique), s’éloignant de l’état sauvage et de barbarie. Ensembles cohérents de règles, de savoirs et de croyance, les civilisations (ou cultures) ne saurait être hiérarchisées dans une échelle de progrès. La civilisation occidentale loin de représenter à elle seule un « progrès » universel et indiscutable, n’a-t-elle pas produit, notamment pendant la seconde Guerre Mondiale, les actes de barbarie les plus graves ? Les

Problème philosophie : Plus une civilisation humaine est évoluée sur le plan technologique, plus les individus qui la constituent sont heureux ? Dans cette affirmation, on implore le fait qu’à tout coup, la technologie rend heureux, ou plutôt le progrès technologique. On affirme également que chaque individu d’une société est heureux pour les mêmes raisons, et plus implicitement, que c’est la technologie qui désigne à quel point une civilisation est évolué. Donc, à partir de ces affirmations

Le texte de Kant intitulé « Réflexions sur l'éducation » porte en effet à se poser des questions sur la qualité de l'éducation reçue par les hommes. Selon Kant, « l'homme ne peut devenir homme que par l'éducation », en effet, sans éducation un homme resterait dans l'ignorance de la culture humaine et serait donc un homme sauvage. Les dispositions naturelles que détient l'homme ne seraient pas développées et l'empêcheraient d'atteindre son but. Puisque l'éducation est primordiale, il faut donc

culturels comme référence absolue ? Cependant, si l’ethnocentrisme s’avère inacceptable, devons-nous céder pour autant au relativisme lâche du « tout se vaut » ? Nous devrons bien chercher, dans un troisième temps, des critères universels de « civilisation » (s’ajoutant à ceux de la « culture » proprement dite) ou plus simplement des « principes » permettant de condamner certaines pratiques et certains actes, commis souvent « au nom » des particularités culturelles, mais indignes de l’homme et de