Claire de Duras

femmes, lignes 29-30 dans le texte A) et un jeu littéraire, dans les deux textes, sur les poncifs qui caractérisent la conception de la beauté féminine. les mêmes détails vestimentaires : chapeau avec un nœud/des rubans roses, une robe de mousseline claire/blanche, un manteau/un châle ramassé par le personnage masculin, qui sert d’objet « de médiation » et qui facilite la rencontre. la rencontre est relatée essentiellement du point de vue masculin. On note le même embarras (lignes 16 à 20 texte A

épanoui et cotonneux blanc à liseré carminé - L’extrémité du jeune rameau présente une forte densité de poils couchés. - Les jeunes feuilles sont vertes-jaunâtres à plages bronzées et duveteuses. - Les feuilles adultes sont d’une couleur vert clair. De forme orbiculaire, elles possèdent 5 lobes avec un sinus pétiolaire plus ou moins ouvert, des dents courtes à côtés rectilignes ou convexes, une faible pigmentation des nervures, un limbe tourmenté, finement et régulièrement bullé, et face inférieure

naturellement partie de cette expérimentation formelle, et suscite l’intérêt des chercheurs. Il devient un sujet inévitable dans l’étude sur le récit filmique d’Alain Resnais, à propos duquel nous pouvons citer comme modèle le travail de Marie-Claire Ropars sur « Muriel, ou le temps d’un récit »5. Pourtant, le sujet est peut-être trop intéressant pour que nous puissions en écrire un texte de plus : déjà en 1980 Robert Benayoun a débuté son livre6 en disant « Un livre de plus sur Resnais ? Peut-être

lumières Importance à l’esprit, à la capacité éclairante de la raison. 4.3.1 – Lumières = idée de vérité On dénonce les inégalités, des privilèges et surpuissance de la religion. 4.3.2 – Les philosophes Ce sont des penseurs qui appliquent un esprit clair et rigoureux à l’analyse critique de ce qui l’entoure. Donc, un homme engagé et en danger. 4.3.3 – Auteurs Montesquieu : * Il écrit des lettres persanes * Voyage beaucoup Voltaire : * Il se bat pour la liberté et la tolérance

l'amène à publier une Vie de Rossini en 1823, qui le fera connaître, et Promenades dans Rome en 1829. En 1827, il publie son premier roman, Armance, mal compris et mal reçu, dont le thème, l’impuissance, lui est fourni par le roman de son amie Claire de Duras, Olivier, ou le secret. Pendant les journées de Juillet, il se consacre à la correction de son second roman, Le Rouge et le Noir qui paraîtra en novembre 1830. Le comte Molé, ministre de Louis-Philippe, le nomme consul à Trieste. Ses idées libérales

rois”: En quel songe Cette enfant fut-elle liée par la cheville Pareille à une esclave fascinée? (52) Le couteau, autre instrument nécessaire au rituel SM, sert à la vivisection du corps comme dans “Inventaire”: Dans un réduit Très clair et nu On a ouvert son coeur En toute pitié: Fruit crevé Fraiche entaille Lame vive et ciselée Fin couteau pour suicidés. (25) Le corps est morcelé, “disloqué” selon la terminologie de Bessette: ce sont des mains coupées dans “Nos

dire que la contemplation d'œuvre d'art doit susciter un plaisir, une émotion esthétique, que l'on doit se garder de réduire à un simple agrément. Le plaisir esthétique peut intégrer la douleur (comme l'illustre parfaitement le roman de Marguerite Duras qui porte ce nom, qu'aucun lecteur n'est censé lire en riant aux larmes), l'angoisse (on peut ici songer à la nouvelle Le Horla de Maupassant, confrontation vécue avec la folie terrorisante), la mélancolie, etc. Si le plaisir esthétique n'est pas

professeur de philosophie marginal et misanthrope que ses élèves ont surnommé Cripure. Le projet prolétarien, contrairement à ce que l’on pourrait croire, ne séduira pas les écrivains marxistes. Les objections de Paul Nizan, à cet égard sont très claires : Alors que la tâche de la littérature révolutionnaire paraît être d’élever la conscience révolutionnaire du prolétariat, Poulaille veut seulement la décrire, avec amitié, avec fidélité, mais au nom d’une vérité humaine trop vague et trop incertaine

(1944) La beauté du diable (1950) Les belles de nuit (1952) Les grandes manœuvres (1955) La bataille du rail (1946) Marcel CARNE : John CARPENTIER : Claude CHABROL : Youssef CHAHINE : Christian de CHALONGE : Charlie CHAPLIN : René CLAIR : René CLEMENT : Jeux interdits (1952) Paris brûle-t-il ? (1966) Henri-Georges CLOUZOT : L’assassin habite au 21 (1942) Le corbeau (1943) Quai des orfèvres (1974) Le salaire de la peur (1953) Les diaboliques (1955) Le mystère Picasso (1956)

genre de débat, nous parlons de personnages ou d’êtres imaginaires, et nous les percevons un peu comme les « habitants naturels » des fictions. Nous tenons en quelque sorte pour acquis et intuitif le fait que nous pouvons faire une distinction assez claire entre un personnage (fictif) et une personne (réelle). Cette distinction est fondée sur différents critères, qui tous tentent de dessiner une frontière nette entre ce qui est du ressort de la fiction et ce qui appartient à la réalité. Parmi ces critères