Clairière

fois cela fait, je demanda à Paul de venir se promener, ce que j'avais prévu hier soir, il accepta tout de suite et me dit qu'il avait eu la même idée que moi. On marcha un peu dans la forêt. Quelques minutes après nous arrivâmes dans une grande clairière, ou se trouvait une rivière. Paul s'approcha près de la rivière et ramassa un bout de tissu, que je n'avais pas aperçu en arrivant, ce bout de tissu ressemblait à un foulard. Il le relaissa tomber et partis en courant. Je le rattrapa, le calma et

D’autres artistes suivent ce courant dont Jean François Millet «  les glaneuses », des paysannes recherchant des épis de blé pour se nourrir. Théodore de Rousseau «  la clairière dans la petite futaie » , Rosa Bonheur «  labourage nivernais » qui comme on peut le voir des bœufs incroyablement réalistes faire le labour de la terre afin de l’aérer.

VASSILISSA LA BELLE Vassilissa marcha tout le soir. Vers le soir elle arriva dans une clairière. Là se dressait une isba (1). Une barrière l’entourait, faite d’ossements humains. Des crânes humains surmontaient la barrière, la porte était faite de jambes humaines, les verrous de mains, le cadenas de dents pointues. Epouvantée,Vassilissa demeura immobile, comme figée sur place. Soudain, un cavalier arriva, tout noir, son cheval était noir et harnaché de noir. Il bondit jusqu’à la barrière

sales. Pour simple tenue, ils avaient une peau d’un animal que je n’arrivais pas à identifier. Ils me prirent par la main et m’emmenèrent dans la forêt, sans doute s’étaient-ils rendus compte que je leur ressemblait. Nous arrivâmes dans une petite clairière près d’un ruisseau. L’un deux m’emmena près d’une sorte de cabane faîtes en branche qu’ils avaient pus trouver autour d’eux, ce qui leur servaient de lits étaient t’un amas de feuilles et de mousses d’arbre. La femme derrière une pierre ramena une

le Baptisterbrücke, si on inclinait un peu la tête pour le regarder en biais, on s’apercevait alors que les racines des saules esquissaient la forme de trois visages, de 25 trois visages de jeunes filles. De même que celui qui représentait la clairière du Lichmal, on pouvait aussi retrouver la forme de ces visages dans les branches des chênes pour peu qu’on fronce un peu les paupières. Et si je n’ai pas pu sur le moment découvrir dans certains autres dessins de l’Anderer ce qu’il fallait y

-Omniprésence de la nature : Utilisation de pluriels : « les arbres », « les branches », « les ronces », « des feuilles » « toutes » (x3) (…) Utilisation de CCL : « sur les vieux troncs abattus », « aux quatre coins de bois », « dans les clairières », « au pied des arbres », « sur les branches basses » (…) -L’Homme n’a pas modifié la forêt : (une antithèse entre l’artificiel et le naturel est employée afin de mettre en valeur le naturel par la négation de l’artificiel) Champ lexical

mort à laquelle il n’avait jamais songé. Les ténèbres lui pesaient, il ouvrit la porte de sa hutte et s’assit sur le seuil. Point de lune. Pas une étoile. Agglomérés dans l’ombre noire, les arbres étaient invisibles. On ne distinguait ni massifs ni clairières. Il frissonnait de terreur en regardant la terre obscure et le ciel obscur comme elle. Brisé de fatigue, il s’assoupit enfin. Quand il s’éveilla, le soleil apparaissait joyeux derrière les grands chênes. Il se mit debout. La fièvre le travaillant

d’arbres morts que je ne connaissais pas. On aurait dit des squelettes tant ils étaient décharnés, inanimés, dépourvus de vie. Un chemin se dessinait devant moi, et puisque je n’avais rien d’autre à faire, je l’empruntai. J’aboutis finalement à une clairière, étonnement balayée par un vent glacial, soulevant de la neige au passage et formant un brouillard épouvantable. Des troncs et des branches d’arbres dénudées de feuilles gisaient au sol comme des cadavres ayant rendu l’âme à cause du froid qui régnait

très virile. Dans ses mains il tient doucement la tête de la femme. Il l'a tourné en profil pour embrasser. La femme est agenouillé elle représente le symbole évident de la soumission. Tous les deux ils se trouvent sur le rocher au bout de la clairière des fleurs, ils sont dans l'aura doré, à l'isolation des observateurs potentiels. La splendeur et la richesse des couleurs sur le tapis de fleurs et des herbes éloigne ce couple de tous les cataclysmes de notre monde. La manère de peinture de

de la médecine. CCL : le tournant de 1100 avec les croisades .la carte politique est en général en place .Au niveau économique : croissance démographique, croissance de production agricole avec de grands défrichements : la périphérie puis des clairières et enfin des régions entières .On constate un dynamisme urbain + réforme grégorienne qui construit une église structurée, hiérarchique et efficace.+ Réforme monastique avec la volonté du retour à la règle de saint Benoit .