Clairvaux

mourir à chaque fois pour gouter un instant et être avec toi mon Amour... Mamoun Moubarak Dribi Psychanalyste   « ..Aimer c'est Aimer l'Amour, et Aimer l'Amour forme un cercle si parfait qu'il n'y a pas de terme à l'Amour... » Saint Bernard de Clairvaux   « .. La vérité est un lieu vide où il n'y a que des textes. » Jacques Lacan Psychanalyste – Fondateur de l'école Lacanienne   Vous remarquerez en lecteurs avertis que vous êtes que j'ai changé l'ordre au niveau du titre, durant les trois

essentiellement chrétiennes. Et la France a apporté au 11 rayonnement du christianisme une contribution exceptionnelle ; contribution spirituelle, contribution morale par le foisonnement de saints et de saintes de portée universelle : saint BERNARD de Clairvaux, saint LOUIS, saint Vincent de PAUL, sainte BERNADETTE de Lourdes, sainte THÉRÈSE de Lisieux, saint Jean-Marie VIANNEY, Frédéric OZANAM, Charles de FOUCAULD, etc. ; contribution littéraire, contribution artistique : de COUPERIN à PÉGUY, de CLAUDEL

confronté à une première crise dès 1125 — voulut réprimer très modérément un luxe superflu, bien des frères murmurèrent(6). » Le luxe des églises et des couvents clunisiens finit par provoquer l’ironie, puis la vindicte des autres ordres. Bernard de Clairvaux, chef de l’ordre cistercien, fut l’adversaire le plus déterminé des moines de Cluny : doué d’une force de conviction inouïe, fondée sur une rhétorique fervente mais aussi sur l’art de la satire, Bernard réprouvait la décoration des églises, et le

cette connaissance par soi-même, c’est Dieu qui nous l’enseigne, mais il ne s’invite pas dans l’âme qui est trop occupée des biens de ce monde. La contemplation c’est l’expérience que rien ne compte dans cette vie que l’amour. Saint Bernard de Clairvaux dit qu’il n’y a pas de plus grande récompense que l’amour. La joie de la contemplation peut être troublée par la douleur et l’aridité. La lumière de Dieu est trop pure pour que nous puissions la supporter. Dieu nous entraîne dans une nuit obscure

5. labours et taillis : terres labourées et forêts de petits arbres. 6. orée : bord. 7. arpent : un arpent correspond à une superficie de 34 ares. 8. moines blancs : moines cisterciens (ordre de Cîteaux, développé par Bernard de Clairvaux) dont la robe était blanche. 9. attenante : qui touche l’abbaye, qui en fait partie. 10. victuailles : nourriture. 174 10 15 20 25 30 Illustration (1909) de Benjamin Rabier (1864-1939) pour Le Roman du Renard, éd. Tallandier

pour les éviter, mais nous pouvons vivre avec le risque. Nous le faisons chaque fois que nous traversons une rue ou montons dans une voiture. La prudence, la vigilance, l’intelligence sont nos seuls atouts. Dans des centrales comme Saint-Maur ou Clairvaux, la majorité des détenus sont supposés dangereux, presque tous ceux qui prennent un café avec leur famille, regardent des photos ou roucoulent sont considérés comme de grands criminels. Or les femmes et les enfants qui sont là ne sont pas en danger

réalisme, perspective. La vision de Saint Bernard, 1486. Huile sur bois. 210X185cm. Conservée à l'église de la Badia à Florence. Pour lui, c'était son chef d'oeuvre. Commanditaire à l'angle droit en prière. Scène d'apparition. Saint Bernard de Clairvaux à qui apparaît la Vierge et qui lui donne l'inspiration. Au 2ème plan, plusieurs cisterciens apparaissent. Au 3ème plan, paysage qui s'ouvre sur un ciel de fin de journée, influencé par peinture flamande. Sorte de crise artistique car ne découvrent

pauvre petite maison, paupercula domus. [Extrait du site : http://belling.dominique.free.fr] C'est ainsi qu'elle est désignée dans une supplique qu'adresse en sa faveur au pape Alexandre III le moine Henry, successivement abbé d'Hautecombe et du Clairvaux. Suivant une légende, qui paraît s'être accréditée durant le XVIIème siècle, saint Bernard, accompagné de quelques religieux, traversait, en revenant d'un voyage en Italie notre vallée roannaise de la Tessonne, alors couverte de forêts. Saisi d'enthousiasme

nommé Claude Gueux, vivait à Paris en concubinage avec une femme dont il avait un enfant. Un hiver, le travail manqua. Il commit un petit délit pour qu'ils aient du pain et du feu. Il fut condamné à cinq ans de prison et envoyé à la prison de Clairvaux. Il y devint rapidement le chef spirituel adoré de ses codétenus et détesté du directeur, M. D.. Comme il était un éternel affamé, un jeune prisonnier, Albin, partage sa ration journalière de pain avec lui et ils entretiennent une étroite amitié

devant la mort cet homme était redevenu un enfant Brevet blanc L’histoire se passe à Paris en 1831. Claude Gueux, ouvrier pauvre, a volé pour nourrir sa femme et son enfant. Condamné à cinq ans de prison, il est envoyé à la Maison Centrale de Clairvaux. Il se lie d’amitié avec un jeune prisonnier, Albin mais, par jalousie, le directeur des ateliers sépare les deux hommes. Tous les jours, Claude réclame son compagnon, en vain.   « Monsieur le directeur, dit Claude avec une voix qui eût attendri