Clairvaux

intérêts de Rome. Pépin le Bref rétablit le pape dans ses états. Charlemagne intervient plusieurs fois contre les Lombards pour défendre le pape. Les croisades partent de France, prêchées par les religieux français Pierre l'Ermite et Bernard de Clairvaux. Louis IX anéantit les cathares qui ne lui demandaient rien et se trouvaient hors du territoire français. Son frère Charles d'Anjou donne la victoire au pape dans la phase finale de la guerre des guelfes et des gibelins. Dans le long conflit entre

un tout autre langage, je n’en pense pas un mot mais il faut ce qu’il faut. J’ai été élevé sainement et avec de beaux principes ; Pépé, il ne rigolait pas sur les principes, Papa aussi d’ailleurs mais comme il était retenu à la prison centrale de Clairvaux, ça lui posait problèmes. Grand-pa, il avait du mérite ; père et grand-père à la fois, cela l’obligeait à m’inculquer des valeurs morales solides. " Trois valeurs dans la vie que tu ne dois jamais oublier, ta réussite en dépend ; nul ne doit rater

de catholiques mais aussi de nombreux ecclésiastiques, généralement abbés de cour et prêtres mondains, mais parfois aussi curés de la paroisse voisine. Il y eut même des loges dans des couvents : ce fut le cas de la Loge de la vertu à l’abbaye de Clairvaux, au sein de laquelle les frères cisterciens (on disait alors « bernardins ») maçonnèrent de 1785 à 1789. La plupart des maçons, notamment avant les années 1770, sont catholiques et ouvertement respectueux autant du Trône que de l’Autel. Les règlements

les prend par la science, l'investigation qui ne détourne pas de Dieu. En l'homme, il y a une partie rationnelle et une partie irrationnelle, la pensée de d'Aquin a été très vivement attaqué en son temps, Saint Bernard, fondateur de l'ordre de Clairvaux, disait c'est par la foi et la foi seule que l'on peut parvenir à la compréhension des choses, les religions sont la seule chose qui permettent de comprendre le Monde, idée combattue jusqu'au 16ème siècle, Thomas considéré comme un docteur de l'église

aux cérémonies somptueuses. Mélann http://prepacrpe.hautetfort.com/ 13 En 1098, la création de l’ordre de Cîteaux relève d’une volonté de retour aux sources et à l’austérité. L’ordre se développe au XIIe siècle sous la direction de Bernard de Clairvaux. Chez les cisterciens, les bâtiments sont simples et dépouillés. Les monastères sont construits à l’écart du monde, dans des lieux reculés. Les moines contribuent ainsi à l’aménagement de l’espace rural par d’importants défrichages de forêts. Au

catholiques mais aussi de nombreux ecclésiastiques, généralement abbés de cour et prêtres mondains, mais parfois aussi curés de la paroisse voisine. Il y eut même des loges dans des couvents : ce fut le cas de la Loge de la vertu à l’abbaye de Clairvaux, au sein de laquelle les frères cisterciens (on disait alors « bernardins ») maçonnèrent de 1785 à 1789. La plupart des maçons, notamment avant les années 1770, sont catholiques et ouvertement respectueux autant du Trône que de l’Autel. Les règlements

théocratie pontificale : la papauté revendique pour elle seule la direction de l’ensemble du peuple chrétien et prétend devenir une autorité supérieure à celle des princes laïcs. Cette idée est illustrée au début du 12ème siècle par Bernard de Clairvaux ; Saint Bernard ; qui met sur pied la « Théorie des deux Glaives » ; empruntée à un passage des Evangiles : le pape s’est vu confier deux glaives, spirituel et temporel, il a conservé le glaive spirituel mais a confié le temporel à des princes laïcs

que le verdict fut plutôt modéré pour l’époque : dix ans de prison plus l’indignité nationale, cette mort  “vivante”. Il n’alla pas jusqu’au bout de sa peine puisqu’il fut libéré en décembre 49, le garde des Sceaux étant René Mayer. En prison à Clairvaux, il avait retrouvé son grand et vieil ami Charles Maurras. S UR France 3, le 17 novembre à 20h35, heure de grande écoute, fut présenté « Le Commissariat ». Il ne s’agissait pas d’une émission policière mais d’un document sur fond historique

l‟autorité du Pontife romain (c'est-à-dire en présence du légat de la sainte Eglise romaine), soit sous l‟autorité du patriarche, du primat ou du métropolite de chaque province. Toutes ces règles sont des règles générales. 53. Saint BERNARD de CLAIRVAUX, De consideratione, 1149-1152, liv. IV (Trad. R. AIGRAIN, Les plus belles pages de saint Bernard, 1929, p. 188-189). Mais, diras-tu, ce sont des dragons que tu m‟invites à paître, des scorpions, ce ne sont pas des brebis. Raison de plus, répondrai-je

théocratie pontificale : la papauté revendique pour elle seule la direction de l’ensemble du peuple chrétien et prétend devenir une autorité supérieure à celle des princes laïcs. Cette idée est illustrée au début du 12ème siècle par Bernard de Clairvaux ; Saint Bernard ; qui met sur pied la « Théorie des deux Glaives » ; empruntée à un passage des Evangiles : le pape s’est vu confier deux glaives, spirituel et temporel, il a conservé le glaive spirituel mais a confié le temporel à des princes laïcs ;