Clairvaux

implique que la Vierge, mère de Dieu, sans être elle-même divine, est placée par Dieu au-dessus de toutes les créatures, anges, démons et hommes. L'épisode du Couronnement de la Vierge est évoqué dans les écrits suivants : * Saint Bernard de Clairvaux * la Doctrine de l'Assomption (Ap 2, 10). Les premières représentations datent du XIIe siècle. 4. Analyse du tableau a. Relation avec la religion chrétienne Le Couronnement de la Vierge est un des thèmes de l'iconographie

est développée pour la première fois à la moitié du texte de la Bulle Unam Sanctam. Boniface VIII aborde la question des rapports entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux. Pour cela il reprend la distinction trouvée par Saint Bernard de Clairvaux au 12ème siècle à la fois dans l’Evangile de Saint Luc (22, 38) et dans l’Evangile de Saint Jean (18, 11). Le premier glaive symboliserait le pouvoir temporel, qui n’est valable que pour la vie sur Terre ; le second étant une image du pouvoir spirituel

Cantiques est donc un canal permettant de rendre parfaite l’âme du chrétien. D’autres commentateurs ont largement repris la pensée d’Origène en l’adaptant à leur époque, à leur connaissance et à leur religion. C’est notamment le cas de Bernard de Clairvaux et d’un de ses disciples et ami Guillaume de Saint Thierry. Dans une France féodale du XIème et XIIème siècle, deux abbés émettent leur point de vue et commentent le sens moral du Cantique des Cantiques. Ils s’inscrivent tout deux dans la même ligne

Saint-Jean-de-Jérusalem en 1113) par les Français Hugues de Payns et Godefroi de Saint-Amour, pour la défense des pèlerins chrétiens en Terre sainte. Le roi de Jérusalem, Baudouin II, les installa près de l'église du Temple. Avec l'appui de saint Bernard de Clairvaux, la règle de l’ordre fut bientôt approuvée et publiée par le concile de Troyes (1128). En raison de l'alliance prônée entre l’idéal chevaleresque et l’idéal monastique, le succès de l’ordre du Temple fut presque immédiat, et de nombreuses donations

Jérusalem, à l'emplacement du Temple de Salomon, qui donna par la suite le nom de Templiers ou de chevaliers du Temple. Le concile de Troyes Arrivant à la fin de sa tournée en Occident et après avoir porté le message du roi de Jérusalem à Bernard de Clairvaux afin d’aider les Templiers à obtenir l'accord et le soutien du pape, Hugues de Payns participa au concile de Troyes (ainsi nommé parce qu'il s'est déroulé dans la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Troyes). Le 13 janvier 1129[17], le concile

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Bernard de Castera : Douze degrés d'humilité dans un usage de l'intelligence face au réel Par Bernard de Castéra Paru initialement dans L'HOMME NOUVEAU Saint-Benoît de Nurcie, au VIème siècle, et à sa suite saint Bernard de Clairvaux, au XIIème siècle, ont médité sur l'échelle de Jacob, cette échelle symbolique par laquelle l'homme tente de monter vers Dieu. Ils avaient ainsi distingué divers degrés d'humilité dans la vie spirituelle. Imitant leur procédé, nous proposons douze degrés d'humilité

maintenant aux charges retenues contre mon client : menaces contre un de ses supérieurs, dénommé Monsieur Delacelle dans l'enceinte de la maison centrale de Clairvaux et assassinat de ce même-individu. Pour commencer, je rappelle les raisons de l'enfermement de mon client dans cet établissement. Monsieur Claude Gueux a été envoyé à la maison de Clairvaux pour avoir volé un pain. Pouvons-nous cependant en conclure que cet homme est un homme mauvais, guère plus qu'un voleur ? Non. Claude Gueux, est un homme

maintenant aux charges retenues contre mon client : menaces contre un de ses supérieurs, dénommé Monsieur Delacelle dans l'enceinte de la maison centrale de Clairvaux et assassinat de ce même individu. Pour commencer, je rappelle les raisons de l'enfermement de mon client dans cet établissement. Monsieur Claude Gueux a été envoyé à la maison de Clairvaux pour avoir volé un pain. Pouvons-nous cependant en conclure que cet homme est un homme mauvais, guère plus qu'un voleur ? Non. Claude Gueux, bien que

Claude Gueux « Claude Gueux, un malheureux citoyen emprisonné pour avoir volé du pain afin de se nourrir lui et sa pauvre famille. L'homme, désormais seul dans la prison de Clairvaux, venait de rencontrer un jeune homme, Albin. Ce prisonnier lui proposa de partager sa ration de nourriture. Claude accepta, et une amitié se lia entre les deux hommes. Alors que tout allait bien pour Claude, un homme impitoyable, surnommé M.D, le directeur de la prison, sépara ces deux hommes