Classe moyenne supérieure

chances et l'esprit égalitaire. L'égalisation des conditions dans les sociétés démocratique est le résultat d'une passion des individus pour l'égalité,qui permet de réduire les disparités entres les individus. La société voit alors l'émergence de classes moyenne et d'une uniformisation du mode de vie. Ces sociétés sont caractérisés par une forte mobilité sociale où chacun peu s'épanouir en fonction de ses talents personnels, cet intérêt particulier est l'individualisme. La forme des ces sociétés permet

pensions et de retraites ( grâce à la péréquation de 1931). Enfin, les professions libérales bénéficient quant à eux d’une forte hausse de leur pouvoir d’achat durant la crise (+6 ,7%). A l’opposé, les salariés, la bourgeoisie d’affaires et les classes moyennes sont victimes de cette crise économique. Les salariés ouvriers de l’industrie voient entre 1932-1935 leur pouvoir d’achat amélioré mais le chômage est un fléau et en 1936 les revenus réels chutent. Les fonctionnaires voient leurs salaires nominaux

constitution et la manifestation du goût des individus (cf citation en exergue tirée de Proust ).Pour Pierre BOURDIEU (PB) les goûts ont partie liée aux différentes identités sociales et ont pour fonction de les faire reconnaître. Son concept de « classe objective » lui permet de définir des pratiques communes , dont les pratiques incorporées (habitus) cf p.112. Pour PB, le concept de CSP reste trop centré sur les rapports de production et ne rend pas compte d’exigences tacites ou cachées tout aussi

opérées jusqu'à présent par les réseaux sociaux de solidarité. En Afrique, les politiques d'ajustement frappent de plein fouet les habitants des villes depuis plusieurs années, et rendent plus précaires les stratégies jusqu'ici mises en œuvre. Les classes moyennes sont à leur tour touchées par la crise, le salariat concerne de moins en moins de personnes et les salariés assurent de plus en plus difficilement leur rôle de redistributeurs. Les embryons de systèmes sociaux (systèmes de retraites, d’assurances

I. La classification de la population Il y a deux manières de classer la population liées à deux façons d’envisager la société. Soit la société est vue comme un ensemble de classes, on a alors une approche holiste. La société est un ensemble d’individus, on peut classer les individus suivant différentes échelles de valeurs (économique, sociale,…) sans qu’il y ait l’idée de classes constituées dans la société, l’approche est alors appelée individualiste. a) les sociétés sont hiérarchisées Il

II) Peut-on encore parler de classes sociales? Question assez classique. Aujourd'hui parler de classe social semble être quelque chose de difficile. Une des premières raison c'est que pendant très longtemps on a en fait été imprégné d'une vision relativement marxiste des choses (et qui correspondait à la réalité c'est à dire qu'il existait une véritable classe ouvrière en France) . Il y a 30,40,50 on aurait pas eu les mêmes réticences. De 1920 à 1970 on considère que les ouvriers représentent environ

certaines professions, parce qu’elles sont très demandées, exigent des salaires très élevés ( c’est le cas des informaticiens. Aujourd’hui le salaire moyen des ouvriers et employés en France est 3 fois inférieur à celui des cadres. L’écart entre les hauts et moyens salaires depuis un siècle à peu près resté pareil, par contre les inégalités entre les bas et moyens salaires se sont beaucoup réduites grâce à l’instauration du SMIC ( salaire minimum. À côté de cela, les inégalités de revenues sont plus fortes

Classes sociales : un clivage dépassé ? Publié dans Les Groupes sociaux - Dernières actualités - Forum Economie Dans quelle mesure peut-on encore parler de classes sociales ? la distinction serait elle un fait du passé qui n’aurait plus de sens aujourd’hui ? Le terme de classe sociale serait dépassé Dans la tradition sociologique teintée de marxisme, si classe il y a, c’est bien la classe ouvrière ; or aujourd’hui celle-ci est éclatée, en déclin numérique, et en voie d’intégration à la société

société est complétement bouleversée, c'est un siècle de rupture qui correspond à l'émergence de la classe ouvrière. C'est le triomphe de la bourgeoisie et le déclin quantitatif de la paysannerie. Le XIXème siècle est également celui de l'explosion urbaine, alimentée par un exode rural très dense. C'est le siècle de la politisation et de la républicanisation des esprits. C'est l'essor de la classe moyenne. Le secteur primaire s'écroule au profit du secteur tertiaire. Le triomphe de la bourgeoisie:

vit dans des logements précaires : les immeubles résidentiels du centre de Sao Paulo sont protégés des émeutes populaires par des vigiles et des systèmes de sécurité. • Dans les centres-villes, les logements sont de plus en plus chers et les classes moyennes partent peu à peu vers les banlieues. D'anciens quartiers populaires « s'embourgeoisent » (gentrification). Le quartier de Harlem à New York en est un bon exemple : il y a quelques années, c'était le quartier le plus pauvre des États-Unis, mais