Clathrate

calorique = 50MJ/kg En France exploitation à Lacq qui est maintenant essentiellement recyclé pour le stockage de CO2 2 Figure 3: Production et stockage de gaz naturel en France • Il existe des gisements un peu particuliers que sont les clathrates de méthane. Les réserves sont très importantes ~ 500 à 2500GtC mais diciles à exploiter à cause de leur instabilité. Figure 4: Localisation des gisments d'hydrates de méthane C Le charbon • • Combustible fossile dont les réserves

gisements de méthane sous forme de clathrates en Arctique sont en train de se déstabiliser se multiplient. Une récente campagne océanographique a découvert pas moins de 250 suintements de méthane dans cette région du globe. La menace d'une accélération brutale du réchauffement climatique se précise donc. Cela fait des dizaines d'années que les géologues et les océanographes savent qu'il existe en bordure des continents de gigantesques zones où s'accumulent des clathrates. Il s'agit de glaces contenant

pluies acides + CO2 donc effet de serre et à long terme réchauffement important, entre 4 à 5°C (insuffisant pour extinction de masse) Mais augmentation de la température de l’eau destabilise les clatatres et génèrent des largages de gaz toxiques. Clathrates = hydrates de gaz, trouvés dans les pergelisols et les talus continentaux Transgression avec dysoxie : eau chaude peu oxygénée. Faciès noirs avec de la pyrite Effets sur la biosphère : asphyxie brutale cause une chute brutale de la biodiversité

incomplète des végétaux, mais surtout de leur décomposition organique naturelle. - Les sédiments et océans, 4% des émissions. Les hydrates contenant du méthane (clathrates) peuvent émettre du gaz en cas de perturbation de la température océanique. En effet, une augmentation de température entraîne une augmentation de l'émission de CH4 par les clathrates. Cette source pourrait donc constituer un véritable danger en cas de réchauffement des fonds océaniques. d. L’ozone. • Son origine L’ozone

marais et les terres inondées. Il se forme aussi dans l’estomac des mammifères. Ce gaz est d’ailleurs présent en faible quantité dans les flatulences humaines [1]. Des quantités importantes de méthane sont piégées sous forme d’hydrates de méthane (clathrates) au fond des océans ; leur exploitation est envisagée (2007). Structure et représentation du méthane [pic] |Formule brute |CH4

polarité de durée de vie très brève → l'eau s'organise de façon particulière autour des chaînes lat de ces aa → structure type « clathrate » : eau organisée « en manchon » autour de la chaine lat → pas de liaison eau/chaine latérale Rq : même organisation sur la partie aliphatique des AG ex : lipide tête polaire : LH avec l'eau partie apolaire : eau organisée en clathrate (pas de LH) = si 2 lip côte à côte : tendance à mettre en commun zones hydrophiles/zones hydrophobes → eau d'hydratation chassée

retrouve plus ces molécules de CO2 lors de l'analyse des bulles gazeuses et on en sous-estime donc la concentration. On ne retrouve pas non plus non plus les molécules de CO2 qui se sont enfermées dans les clathrates qui en sont particulièrement friands surtout à haute pression. NDLR : Les clathrates sont des microcristaux composites qui se forment spontanément dans des conditions extrêmes (température et ou pression) et qui absorbent ainsi le CO2 gazeux ou solide. Enfin, le carottage lui-même induit

seraient responsables de l'extinction du Jurassique. En fait, ce méthane est emprisonné dans des cristaux appelés « clathrates ». Ces cristaux se trouvent au fond des océans où la basse température et la haute pression qui y règnent permettent leur formation. Les chercheurs ont relevé divers indices qui laissent croire que de grandes quantités de méthane stocké sous forme de clathrates se seraient libérées dans les océans à l'époque du Jurassique. Ces rejets de méthane auraient diminué de façon drastique

serre 25fois plus important que la molécule de CO2. Gaz naturel qui est aussi explosible H. Les hydrocarbures non conventionnels. Autres ressources en hydrocarbures : sables asphaltiques, les schistes bitumeux et des hydrates de méthane ou « clathrates ». « les huiles lourdes du Canada pourraient alimenter en produits pétroliers la totalité de l'Amérique du Nord pendant cinquante ans » 1.Extraction et traitement des huiles extralourdes Quand les gisements de sable asphaltiques ne sont pas

gaz, prévisions de 30 ans. -Hydrate de gaz : Les hydrates de gaz naturel ont l'apparence et la consistance de la glace. Ce sont des molécules de gaz (comme le méthane) entourées par un réseau de molécules d'eau disposées en cage – (d'où le nom de clathrate, du latin clatatrus, encapsulé, aussi donné à l’hydrate). Les hydrates de gaz sont les énergies futurs. -Hydrogène : le vaporeformage du gaz naturel est le plus employé (90 % de la production mondiale), avec un rendement de 70-80 %. Il génère du