Claude Gueux Analyse

(homonymie). Les Misérables Illustration de Les Misérables Cosette chez les Thénardier Auteur Victor Hugo Genre Roman Pays d'origine Drapeau : France France Date de parution 1862 Dessinateur Émile Bayard Chronologie Claude Gueux Claude Gueux Claude Gueux Les Travailleurs de la mer Les Travailleurs de la mer Les Travailleurs de la mer Les Misérables est un roman de Victor Hugo paru en 1862. Ce roman, un des plus populaires de la littérature française, a donné lieu à de

A toute époque, un roman a été constitué d'un ou Plusieurs personnages principaux. Ces derniers varient en fonction de plusieurs critères comme leur âge, l'époque a laquelle ils appartiennent, leur physique, leur caractère etc. L'auteur élabore donc plusieurs techniques afin que le lecteur s'intéresser a son ou ses personnages principaux. Mais un bon personnage de roman doit il vraiment sortir de l'ordinaire ? Pour répondre a cette question nous allons voir dans un premier temps les raison pour lesquelles

Au XIXème siècle, on a couramment recours à la peine de mort, et l’on n’hésite pas à infliger le châtiment suprême à quiconque commet une faute qu’elle soit mineure, telle qu’un simple vol, comme dans Claude Gueux, ou plus importante telle qu’un meurtre. Cependant, Victor Hugo s’y oppose et rédige plusieurs ouvrages dans lesquelles il en plaide l’abolition. Le dernier jour d’un condamné, qu’il écrit en 1828 alors qu’il n’a que vingt six ans, est un réquisitoire contre la peine de mort, prenant partie

FICHE LECTURE CLAUDE GUEUX Claude gueux a été écrit par Victor Hugo récit publié en 1834, inspiré d’un fait divers ayant eu lieu le 7 novembre 1831. Claude GUEUX était un voleur récidiviste, qui fut exécuté en 1832. Claude GUEUX vivait en concubinage avec une femme, et leur fille. Un jour ils se retrouvent en manque de pain et de bois, Claude GUEUX va voler pour nourrir et réchauffer sa famille, mais il va se faire arrêter. Arrivé en prison il se fait une notoriété auprès des prisonnier

l’histoire: Ce roman raconte l’histoire d’un pauvre ouvrier, Claude Gueux que la pauvreté et les conditions de vie difficiles ont mené jusqu’a la peine de mort. Il a été envoye a la maison centrale de Clairvaux. Tout au coup tous les prisonniers admirer lui mais les geôliers le détestent. Claude avait toujours faim dans la prison et un jour Albin, un homme maigre et faible lui offre un demi de ces rations. Une vraie amitié s’est commence entre Claude et Albin. Le directeur des ateliers, M-D était un homme

Claude Gueux, Victor Hugo Un plaidoyer pour l'éducation : Le discours à la tribune de la Chambre. p. 80 à 83. « Messieurs, il se coupe trop de têtes par an en France. Puisque vous êtes en train de faire des économies, faites-en là-dessus. Puisque vous êtes en verve de suppressions, supprimez le bourreau. Avec la solde de vos quatre-vingts bourreaux, vous paierez six cents maîtres d'école. « Songez au gros du peuple. Des écoles pour les enfants, des ateliers pour les hommes. Savez-vous que

dernière préface du Dernier Jour d'un condamné en 1832. Quand il découvre dans la Gazette des tribunaux du 19 mars 1832, le compte rendu du procès d'un certain Claude Gueux condamné à mort pour meurtre, il y découvre comme un écho de son plaidoyer contre la peine de mort et décide alors d'en faire un roman. Il retranscrit donc la vie de Claude Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en passant par les motifs de son crime et son procès. Suit ensuite une longue réflexion de Victor Hugo

toutefois l’annonce de son premier vrai combat : combat contre la peine de mort. Il s’agit là d’un plaidoyer sous forme de fausse autobiographie dénonçant les atrocités provoquées par la peine capitale. Il complètera plus tard sa lutte par le roman « Claude Gueux », en 1834. Dans « Le Dernier Jour d’un condamné », au moyen d’un long monologue intérieur, Victor Hugo, attaque les idées générales reçues de la « mise à la guillotine ». Il fait part de la longue souffrance morale, encourue par le condamné

détenus. Cette grève survient a cause du manque défectif et de place dans les prisons. (DH 31/01/12) Le problème de la surpopulation des prisons ce posait déjà au temps de Victor Hugo il y avait lui même apporté une solution dans son ouvrage “Claude Gueux”. Cette solution est d’éduquer le peuple: « Cette tête de l’homme du peuple, cultivez-la, défrichez-la, ... ; vous n’aurez pas besoin de la couper. » Mais cette théorie est elle toujours d'actualité ? Il faut dire que malgré le fait que

(19). Les « contemplations » est la plus connue. Des romans (9) comme « le dernier jour d’un condamné » « Claude gueux » « notre dame de paris » et « les misérables ». Des pièces de théâtre (12) les plus connus étant « Hernani » et « Ruy Blas ».