Claude Gueux Analyse

Hugo cherche à émouvoir son lecteur en utilisant le registre pathétique qui renforce la stratégie argumentative car le lecteur est ému par la souffrance du condamné même si il ne sait rien de lui, ni son nom, ni son crime. Ou bien dans son récit Claude Gueux il veut la suppression des bourreaux pour pouvoir investir dans l'instruction et l'éducation du peuple, il utilise dans son récit une métaphore filée qui compare la tête à un jardin, elle est ici représentée comme un symbole de savoir et de quelque

ce poème est une plaidoirie dans laquelle Victor Hugo s'engage bien contre la guerre et ses ravages. On retrouve d'autres textes qui sont des plaidoiries contre tout ce qui est barbare chez l'homme, comme Le dernier Jour d'un condamné, ou encore Claude Gueux.

Trinh, Chuong Gr. 502 Fiche de lecture Titre : Claude Gueux Auteur : Victor Hugo Maison d’édition : Flammarion Année de publication : 1834 Commentaire d’experts : « […] plusieurs éléments stylistiques et thématiques de Claude Gueux sont, sinon uniques, au moins rarissimes dans l'œuvre de VH; l'ensemble de ces éléments contredit tellement les grands courants de l'œuvre qu'il exige une explication.» Résumé : Claude Gueux, un pauvre homme, vit avec sa maîtresse et leur fille. Un jour, il

Mon client, Claude Gueux, ici présent est coupable du meurtre du Directeur d'atelier de la prison de XXXXXXX, je voudrais plaider en sa faveur et expliquer la raison de ce meurtre. Mon client fut arrêté il y’a 3 ans de cela pour avoir volé de la nourriture afin de nourrir sa famille. Il fut conduit a la prison de XXXXXX ou il fut condamné a 4 ans de prison ferme, cette prison traite les prisonnier comme des moins que rien, ils passent la majorité de leur temps a fixé 4 murs et quand ils ont l’occasion

spectacle est très importante car elle permet à Victor Hugo de dénoncer l’horreur de la peine de mort, en mettant en scène la joie et l’excitation des spectateurs face à la souffrance du condamné. Nous pouvons rapprocher cet extrait à celui de Claude Gueux de Victor Hugo car ce roman dénonce aussi la peine de mort.

Claude gueux Victor Hugo Hugo : le poète et le juste A plusieurs reprises, l’enfance de Victor Hugo (1802-1885) est traversée de scènes qui peupleront l’imagination du poète, du dramaturge et de l’homme politique. A 5 ans, il traverse l’Italie avec sa mère pour retrouver son père, le colonel Hugo, en poste à Naples. Il n’oubliera jamais les suppliciés, pendus aux arbres, les membres humains rouges de sang. A 9 ans, l’enfant rencontre à nouveau, dans l’Espagne en révolte contre l’armée impériale

Claude Gueux, un appel à la justice En 1834, Victor Hugo publie la nouvelle «Claude Gueux» dans laquelle il affirme sa position contre la peine de mort. Il y décrit par une séquence narrative la condamnation à mort du prisonnier Claude Gueux afin d’en faire un sujet amené anecdotique dans la séquence argumentative qui suivra le récit et qui défendra sa thèse, son opposition à la peine de mort. Claude Gueux est un pauvre ouvrier de Paris qui est obligé de voler du pain pour nourrir sa maîtresse

jeunesse, « Le dernier jour d’un condamné » et « Claude Gueux » qui montrent l’injustice et l’inefficacité de cette cruelle sentence. « Le dernier jour d’un condamné » se présente sous la forme d’un journal qu’écrit un condamné durant son dernier jour avant son exécution ou il raconte ce qu’il s’est passé depuis son procès jusqu’au moment de son exécution. « Claude Gueux » est un roman dénonçant la peine de mort. Hugo s’appuie d’un personnage réel, Claude Gueux, condamné à l’exécution. Cela ne suffit pas

Claude Gueux Victor Hugo 1834 Page 1: Claude Gueux vie a Paris Il est capable habile intelligent fort maltraité par l'éducation fort bien traité par la nature et ne sachant pas lire et sachant penser. Il vola pour nourrir sa fille et sa maîtraise. Il eu 5 ans de prison. Dans un cachot la nuit et dans un atelier le jour Description de Claude Gueux Claude Gueux, honnête ouvrier naguère, voleur désormais, était une figure digne et grave. Il avait le front haut, déjà ridé quoique

historiques en vogue au début du XIXe siècle mais n’en sont pas vraiment ; c'est que Hugo n’est certainement pas Walter Scott ; chez lui en effet, les temps modernes pointent toujours derrière l’Histoire. Le Dernier Jour d'un condamné en 1829 et Claude Gueux en 1834 ne sont pas plus aisés à définir. Ce sont des romans à la fois historiques et sociaux qui sont, surtout, engagés dans un combat — l’abolition de la peine de mort — qui dépasse de loin le cadre de la fiction. On pourrait en dire autant des