Clausewitz De La Guerre

D) Choix stratégiques • Deux ouvrages historiques de référence : – L’ouvrage de Sun Tse (L’art de la guerre), théoricien militaire qui vécut en Chine environ cinq an avant notre ère, est considéré comme le premier ouvrage sur la stratégie et la guerre. • Illustration : « le dernier samouraï » - Tom cruise – Général prussien Carl Von Clausewitz (1780-1831) dans son ouvrage intitulé « de la guerre » a défini la stratégie comme une combinaison de 3 éléments : (1) la concentration des forces, (2) l’économie

de candidature très stricte …). La légalité est l'élément central de la légitimité du pouvoir. * la domination charismatique : Le chef est obéi en raison de ses qualités personnelles exceptionnelles. Exemple : qualité de parole, chef de guerre … Dans le raisonnement sociologique on considère que le charisme ne désigne pas tant les qualités d'une personne mais comme une relation spécifique, à la manière dont il va mettre en scène des qualités. Le charisme est un mode de légitimation du pouvoir

stratos qui signifie « armée » et ageîn qui signifie « conduire » : conduire les armées. La stratégie a donc une conception guerrière. Pour Zun Tse (auteur de "L’art de la guerre", 5eme siècle av. JC), il s'agit d’obliger l'ennemi à abandonner. Pour Von Clausewitz (auteur de "De la guerre", 1780- 1833), l'objectif est de gagner la guerre en éliminant l'ennemi. On retrouve ces deux conceptions en stratégie de l'entreprise. Selon STRATEGOR, élaborer la stratégie de l’entreprise c’est "choisir les domaines

démocratie sont l’égalité, la liberté, le pluralisme, la discussion… Vu comme ça, on peut se demander si un régime tourné ainsi vers les libertés de l’homme peut rencontrer des ennemis. En effet, l’inimitié semble être un impensé de la démocratie. Clausewitz définit l’ennemi comme quelqu’un qu’il faut exterminer, celui qu’i faut soumettre à sa volonté par la violence et la force. Est considéré comme ennemi tout ce qui est antagoniste et cherche à nuire. Comment comprendre que l’on puisse vouloir nuire

GÉOGRAPHIE POLITIQUE, GÉOPOLITIQUE ET GÉOSTRATÉGIE Quelques réflexions Paul CLAVAL Apparue au début du siècle, la géographie politique a connu un développement rapide jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, puis a pratiquement disparu dans les milieux universitaires en Europe occidentale. Elle n’était plus guère pratiquée qu’aux Etats-Unis, où la place qu’elle tenait était médiocre. Cette défaveur tenait au nouvel équilibre mondial, marqué par la prépondérance de deux superpuissances

TROIS VISIONS DE LA GUERRE FROIDE Les espions (G.-H. Clouzot, 1957) La mort aux trousses (North by Northwest, Hitchcock, 1959) Dr Folamour (Dr Strangelove, S. Kubrick, 1963) La Guerre Froide appartient à une période historique révolue, qui tend à s’effacer dans les mémoires [1]. Les souvenirs qui restent évoquent des images contradictoires. D’un côté un affrontement sans merci entre deux systèmes, deux groupes d’Etats, deux puissances mondiales, opposées sur tous les plans, hérissées d’armes

Le grand théoricien militaire chinois Sun Tzu a décrit les principes de la guerre dès 500 ans av. J.-C... Quelques siècles plus tard, la bataille de Cana est un superbe exemple d’une stratégie militaire bien conçue et bien exécutée. En effet, en 216 av. J.-C., l’Empire romain, qui s’appuie sur ses nombreuses légions est en difficulté ; la seconde guerre punique est en cours ; Hannibal, le commandant de Carthage est en guerre avec l’Empire romain, et après avoir traversé les Alpes, descend du Nord vers

l’art militaire : Stratégie = stratos = armée  agos = je conduis La stratégie est l’art de conduire des forces armées en vue de la victoire et/ou l’art de réfléchir aux moyens qui sont nécessaire pour gagner.    2 courants de pensée : - Von Clausewitz : La réflexion stratégique précède le combat, l’état-major choisit le terrain, promouvoir la créativité collective, mais on n’en bouge plu après. 2 écoles rationaliste, se fixer des buts et définir à l’avance les moyens de les atteindre.   - Sun

juges dans la mondialisation, Paris, Seuil, 2005. 2 qu’ils appliquent. Ce qu’on appelle la mondialisation du droit est donc plutôt une mondialisation de la justice. La multiplication des juridictions internationales depuis la fin de la seconde guerre mondiale, pour répondre à l’internationalisation croissante des litiges, renforce indubitablement le phénomène. Les requêtes devant ces juridictions ne cessent d’ailleurs d’augmenter. Mais la mondialisation de la justice ne concerne pas seulement

quasiment sombrer dans l’oubli sitôt la guerre d’Algérie terminée. Cette volonté tenace de continuer à mépriser « la guerre moderne », selon l’expression de Trinquier, tient sans doute à des causes objectives (la Guerre Froide annonçait plutôt un affrontement conventionnel de grande ampleur voire, dans le pire des cas, des échanges atomiques) mais aussi à une réaction de rejet suite aux défaites consécutives subies en Indochine et, plus encore, en Algérie. Ces guerres amères qui amenèrent les armées à