Clercs Et Laics

d ? ­ ? Ž Ø ’³´µÍÎÐõDQRnœi £ÏBDØè^v¨ÓÔåEüøüóüëçÙüÕüÑÇÑõí¥­¡™Ã¡?¡™¡‹ü‹ƒ‹‹ƒ‹{‹{‹{s{ Alphonse de Liguori (1696-1787) a consacré une partie de sa vie à l’apostolat des pauvres. Il est fondateur de l’ordre rédemptoriste [7] Sociétés de clercs ou de laïcs, hommes ou femmes, qui se réfèrent à une règle religieuse commune ou, à une constitution et prononcent des vœux simples (le plus souvent d’obéissance, de chasteté, de pauvreté). Ils se séparent des ordres religieux dont les membres prononcent

siècle où se forment les clercs. Ses motivations sont pastorales et non pas politiques. Il donne un prétexte à cette interdiction : c’est parce que dans le nord de la France on utilise le droit coutumier donc le droit romain est inutile. En d’autres termes, il n’a pas d’application dans la vie courante (ce n’est donc pas trop grave d’interdire le droit romain, car il n’est pas utilisé) L.6 « des lois séculières, (…), parce qu’en France et dans quelques provinces, les laïcs ne se servent pas des lois

clergé séculier et la puissance épiscopale Le clergé séculier est celui qui vit dans le siècle et qui s’oppose au clergé régulier, qui vit enfermé dans des monastères. Il subit le temps et est au contact de la société. Ce sont les clercs qui vivent au milieu des laïcs. Il est organisé principalement autour des évêchés. En Gaule, on en trouve une centaine, basés sur les cités romaines. Dan les évêché il existes plusieurs paroisses menées par des prêtres, il sont basé sur des cités romaines Ces évêques

reconstruction de l'État souverain. La mise en retrait des juridictions ecclésiastiques : La question se pose de savoir comment remettre l'Église, et donc ses juridictions, à sa place. Le roi choisit de la renvoyer à sa compétence exclusive : juger des clercs et des sacres. Mais en ce qui concerne des sacres, l'ordonnance de Villers-Cotterêts précisera en 1539 que la juridiction ecclésiastique ne pourra connaître que des litiges qui leur sont stricto sensu relatifs. b) La législation Les juristes

c'est-à-dire, en Italie, en Espagne, et en Gaule, des fondations se développent également comme celles de Ligugé ou de Lérins [34]. Au cours du IVe siècle se dégagent les trois grands principes de l'organisation de l'Église : séparation des clercs et des laïcs, exclusion des femmes du clergé et prééminence des évêques. La fin de la clandestinité permet un développement rapide des pratiques cultuelles visibles : la richesse ornementale gagne les églises, la musique chrétienne s'enrichit, c'est la grande

par conversion. Selon eux, également, l'Église accepte un compromis avec le monde, alors que la Secte la récuse. Enfin, dans l'Église, il y a deux catégories de personnes : clercs ou religieux d'un côté, laïcs de l'autre. Aux premiers, une morale exigeante ; aux seconds, une morale plus accessible. Cette distinction clercs laïcs ne se retrouve pas dans la Secte : tous les membres y sont, en principe, égaux et tous sont soumis à la même morale exigeante. II. Perte de crédibilité et montée des sectes

notamment avec la pratique selon laquelle un évêque ne peut pas être nommé sans le consentement du roi. Les pouvoirs de l’évêque eux-mêmes sont les mêmes qu’a l’époque précédentes (juridiction, discipline sur les clercs…). Le Clergé inférieur : Tous les ecclésiastiques, tous les clercs qui sont subordonnés à l’évêque dans le diocèse. Parfois il y a une certaine rivalité qui s’installe entre les Eglise des différentes régions. Les membres de l’Eglise réagissent en développement les membres du

cependant protéger ses sujets. Le roi de France s’appuie aussi sur la hiérarchie ecclésiastique représentée par le Clergé. L’Eglise est la seule institution administrative et politique qui ai perdurée depuis la chute de l’empire romain en 476. Les clercs sont également détenteurs de la culture, c’est par leur intermédiaire que sont diffusées les décisions du roi. Les membres du clergé soutiennent le pouvoir royal, seul susceptible d’apporter la paix. B) Les Grands Fiefs Le roi a dû affronter

organisation complexe, donc ces règles seront aussi complexes. Il va y avoir des dispositions sur le patrimoine, les personnes ecclésiastiques, le dogme. Les questions disciplinaires abordaient le sujet des rituels ecclésiastiques, l’absence du mariage des clercs, il règle le cursus clérical et l’accès aux ordres. Entre le 6ème et le 12ème l’Eglise va élaborer des listes de péchés auxquels étaient joints des tarifs de pénitences. Ces recueilles sont appelais les pénitentielles. Au début, ils sont relativement

l’ensemble des clercs. Puis vient l’ordre de ceux qui combattent : les nobles et puis au dessous c’est l’ordre de l’immense masse de la population, l’ordre de ceux qui travaillent, qui sont voués aux tâches de la terre et donc à l’entretien de la société toute entière. Dans la société médiévale, ces trois missions qui ont été définies sont étroitement complémentaires car chacune est indispensable aux autres, chacune a un rôle à jouer dans cette société. §1. Les clercs. La société ecclésiastique