Clitandre

représentent les qualités et les défauts humains. Nous allons donc vous les présenter : - Colombine : Elle représente une femme de chambre astucieuse et vive. une demoiselle qui ne sait garder sa langue dans sa poche et est amoureuse de Clitandre. - Clitandre (ou Léandre) : C’est un jeune soupirant sentimental et rêveur. - Arlequin : C’est un valet qui symbolise la fantaisie et la ruse. Il est originaire de Bergame. - Pierrot : valet non masqué, naïf et honnête, rival d'Arlequin. Il est amoureux

Mandoline Les donneurs de sérénadesEt les belles écouteusesEchangent des propos fadesSous les ramures chanteuses. | C'est Tircis et c'est Aminte,Et c'est l'éternel Clitandre,Et c'est Damis qui pour mainteCruelle fait maint vers tendre. | Leurs courtes vestes de soie,Leurs longues robes à queues,Leur élégance, leur joieEt leurs molles ombres bleues | Tourbillonnent dans l'extaseD'une lune rose et grise,Et la mandoline jaseParmi les frissons de brise | Plan de commentaire

connaît pas, lui révèle que Clitandre, vicomte du voisinage, courtise sa femme. Si Lubin, qui fait la cour à Claudine, la servante d'Angélique, reconnaît à une femme la liberté de rencontrer qui lui plaît, George Dandin, lui, pense que le mariage est une « chaîne » qu'il faut respecter. Mais pour Angélique, être mariée ne signifie pas « renoncer aux plaisirs du monde ». À trois reprises, George Dandin tente de prouver aux parents de sa femme l'inconduite de leur fille : Clitandre nie être l'amant d'Angélique

Alceste se plaint à Célimène car elle témoigne de beaucoup de sympathie envers ses admirateurs. Les Marquis Acaste et Clitandre viennent rendre visitent à Célimène. Philinte et Eliante sont les cousines de Célimène et elles les accompagnent jusqu'à Célimène. Dans un premier temps Alceste se retient devant les deux Marquis puis explose. Célimène riposte et menace de punir. Acaste et Clitandre se retirent à l'arrivée d'Arsinoé. Elle essaye de séduire Alceste et promet de lui donner des preuves de la trahison

mariage : veut-elle l’épouser ou non ? Scène 2 Au moment où il va parler, le valet de Célimène, Basque, annonce l’arrivée d’Acaste, jeune marquis à la mode. Scène 3 Célimène va le recevoir. Alceste proteste. Scène 4 Et Basque annonce encore Clitandre, autre marquis. Alceste veut partir, mais Célimène le retient. Scène 5 (« Scène des portraits ») Avant les deux marquis, on voit arriver avec Philinte une jeune fille, Éliante, cousine de Célimène. Tout le monde prend place pour la conversation

cousine de Célimène , elle étais amoureuse de Aceste mais elle se marie finalement avec Philinte à la fin de la pièce. Oronte est un homme qui est gentil bien qu'il soit vaniteux, celui-ci étant l'amant de Célimène . Acaste et Clitandre sont deux marquis qui s'intéressent à la mode, à leurs apparences physiques et aussi de leurs faits et gestes face au Roi. Ils ont un peu de personnalités et sont souvent parût comme des « commères de service ». Ce sont des rivaux qui peuvent être

bouffonne qui ridiculise et caricature les mœurs de son époque. Dans la scène 8 de l’acte II, Angélique porte des coups de bâtons à Clitandre, puis Clitandre pousse Dandin à sa place et Angélique fait semblant de ne pas s’en apercevoir. Si elle fait cela, c’est parce que elle entend son mari et ses parents arriver alors qu’elle est entrain de s’entretenir avec Clitandre. C’est par un comique de gestes (les coups de bâton sont un acte typique de la farce, et ici Molière le remet en valeur dans une

avis sur le sonnet d’Oronte (« bon à mettre au cabinet »). Acte II : Alceste reproche à la femme qu’il aime, Célimène, d’être trop accessible pour d’autres prétendants. Célimène, encouragée par Clitandre et Acaste, fait des portraits satiriques, ce qui ne plaît pas du tout à Alceste. Acte III : Clitandre et Acaste croient tous les deux avoir gagné le cœur de Célimène. Arsinoé, une fausse prude, raconte à Célimène tout le mal qu’on dit d’elle derrière son dos. Célimène répond de la même façon. Arsinoé

Les Femmes savantes (1672) : Clitandre, après s’être épris d’Armande, préfère finalement jeter son dévolu sur sa sœur Henriette. Les deux jeunes gens vont devoir affronter la cabale de la sœur, de la mère et de la tante d’Henriette, toutes trois gagnées à la cause de Trissotin, poète fat et vain qui profite de la prétention de ces dames pour tenir salon et arriver à ses fins. La mère d’Henriette désire qu’elle l’épouse, et que ce soit Armande qui se marrie avec Clitandre, contre l’avis de celui-ci

est bon« à mettre au cabinet ». Oronte réagit, le ton monte et la querelle éclate. Alceste fait grief à Célimène de la complaisance qu'elle témoigne à ses soupirants et s'apprête à la mettre au pied du mur, quand arrivent les marquis, Acaste et Clitandre, ainsi que Philinte et Éliante, une cousine de l'héroïne. Célimène brosse avec esprit, mais non sans médisance, selon l'usage mondain, quelques portraits d'amis absents, ce qui met Alceste, jusque là silencieux, en fureur. Célimène réagit cruellement