Clitandre

amoureux . L’amour medecin Confrontée à l'austérité d'un père qui lui refuse d'épouser Clitandre, Lucinde décide de feindre la maladie avec la complicité de Lisette, sa suivante. Sganarelle, le père, décide alors de faire venir des médecins, dont il constate bien vite l'incompétence. Lisette annonce alors qu'elle connait un médecin révolutionnaire qui fait des miracles. C'est ainsi que, déguisé en docteur, Clitandre parvient à approcher Lucinde pour la première fois, puis à l'épouser en prétextant un

que provient l’extrait « Acte V, scène 4 ». Dans Les femmes savantes, Molière raconte l’histoire d’Henriette qui veut épouser Clitandre, mariage qui ne plaît guère à sa mère Philaminte, à sa tante Bélise et à sa sœur Armande, des femmes savantes qui la préfèrent dans les bras d’un prétendu savant, Trissotin. Suite à plusieurs tentatives pour les faire changer d’avis, Clitandre finit par recevoir la bénédiction de Philaminte lorsque l’oncle d’Henriette, Ariste, feint la perte de fortune de la famille

Emilie). Nous avons appris qu’Alceste aime une coquette (ce qui est contraire par rapport à son caractère), et deux marquis (Clitandre & Acaste) sont arrivés à nous allons avoir une galerie de portraits successifs, et le jeu consiste à lancer un nom à Célimène pour que Célimène dresse un portrait sur le défaut du personnage. Vient le portrait de Cléon, lancé par Clitandre. Phlinte pense que cela va être dur de dresser un portrait de lui car tout le monde en dit du bien… Plan I - Portrait de Cléon

Elle met en avant les défauts de ses « amis » avec les encouragements de ses auditeurs. C'est avec humour et ironie qu'elle argumente ses propos, dans le but de faire rire son « public ». Dans la scène sont présents, les deux marquis, Acaste et Clitandre. Ils représentent le monde superficiel et frivole qui tourne autour de la coquette et médisante Célimène. Trois autres personnages, Alceste, Philinte et Eliante, sont eux aussi installés dans le salon de la belle, bien que le texte étudié ne les

et pleine d'énergie lorsqu'il s'agit de séduire Alceste. Hélas pour elle ses efforts n'auront pas payés. Elle parvient malgré tout à séparer les deux amants mais Alceste la rejette durement. Personnages des marquis Les marquis qu'incarnent Clitandre, Acaste et Oronte sont présent sur scène près de la moitié de la pièce ils tiennent des rôles de personnages secondaires. Les marquis incarnent les personnes auxquelles Alceste se réfute. Ils sont très fièrent de la société dans laquelle ils vivent

dernier (Ariste) et la cadette des filles (Henriette) ; mais ces derniers ne s'opposent pas frontalement aux « chimères » des autres femmes de la famille. Pendant longtemps, Clitandre a courtisé Armande, sœur d'Henriette, mais cette dernière s'est toujours refusée à lui, lui préférant « les beaux feux de la philosophie ». Clitandre est alors devenu amoureux de Henriette, et tous deux veulent se marier. Dans ce but, ils vont devoir obtenir le soutien de la famille. Chrysale et Ariste sont favorables

bon « à mettre au cabinet ». Oronte réagit, le ton monte et la querelle éclate. Alceste fait grief à Célimène de la complaisance qu'elle témoigne à ses soupirants et s'apprête à la mettre au pied du mur, quand arrivent les marquis, Acaste et Clitandre, ainsi que Philinte et Éliante, une cousine de l'héroïne. Célimène brosse avec esprit, mais non sans médisance, selon l'usage mondain, quelques portraits d'amis absents, ce qui met Alceste, jusque là silencieux, en fureur. Célimène réagit cruellement

Philaminte, entichée de Trissotin et mère opposante. Grâce à un mensonge, à une comédie (on sait que cela se retrouve ailleurs chez Molière !), la savante prend conscience de la médiocrité morale de son héros d'esprit et, touchée de la générosité de Clitandre, lui accorde aussitôt sa fille Henriette. "J'en ai la joie au coeur", affirme-t-elle [13] : elle ne pense pas seulement à la satisfaction d'apprendre que la perte de son procès n'était qu'une fausse nouvelle, ni à la déconvenue de Trissotin, mais

Les femmes savantes: Clitandre et Henriette sont amants, mais pour se marier, ils doivent obtenir l'accord de la famille d'Henriette. Le père, Chrysale, et l'oncle, Ariste, sont favorables au mariage mais malheureusement la mère, la tante, et la sœur d'Henriette, veulent qu'elle épouse un faux savant, Trissotin, qui mène par le bout du nez ces « femmes savantes ». Finalement, Ariste et Chrysale arrivent à dévoiler l'hypocrisie de Trissotin, Henriette et Clitandre peuvent alors se marier.

vu de la société ; les nobles sont dangereux pour l’être humain. Selon lui, se serait ces hommes qui altèrent le comportement humain et serait à l’origine du mauvais fonctionnement d’une société, Problématique. ACASTE ET CLITANDRE Les deux marquis, Acaste et Clitandre, font partie de la cour, mais sont en faite issu d’une médiocre noblesse. Ils se préoccupent sans cesse de leurs apparences, de la place qu’ils occupent dans cette société. Cette idée devient alors une obsession, et leurs seul