Clitandre

Action générale très simple: Alceste qui proclame sa haine à l’égard de l’hypocrisie de la cours, est amoureux de Célimène, une jeune veuve mondaine avec laquelle il souhaite pouvoir s’expliquer en privé. MAIS : plusieurs personnages (Oronte, Acaste, Clitandre, Arsinoé, Duboi) ne cesse repousser l’entrevue entre Alceste et Céli. → Révélant l’impossibilité de l'amour d’Alceste et Célimène. Actes Acte 1 → Alceste confie à Philinte son intention d’obtenir un entretien privé avec Célimène → Premier d’une longue

 un  libertin   Clitandre  et  son  amie  Cidalise.  Ce  dialogue est celui d’un homme cherchant à séduire une femme en lui racontant ses  conquêtes, pour obtenir d’elle ce qu’il veut, car en lui faisant ces contes, elle prend  plus confiance en lui car il lui paraît touchant de sincérité même s’il se glisse nu dans  son lit et contre son grés. Nous pouvons voir qu’il cherche à la séduire en justifiant,  avec une parodie de vocabulaire moraliste, ses débauches. « Clitandre : Comment voulez­vous qu'on fasse 

dicuter), Adraste (l'homme orgueilleux), Cléon (qui a un excellent cuisinier) et Damis (qui cherche à être cultivé). Célimène se révèle être une véritable « concierge », qui dit beaucoup de choses sur beaucoup de monde... Alceste reproche reproche à Clitandre et Acaste de dire du mal de certaines personnes et derrière leur serrer la main comme si rien n'était. Célimène fait du portrait d'Alceste un portrait négatif, qui contredit toujours ce que les autres disent. Eliante dit que l'amour transforme les

conflit. L’acte III est caractérisé par la remise en cause de Célimène, en effet Arsinoé l’ami de Célimène intervient dans cet acte à la scène 4. Mais nous pouvons voir dès le début de l’acte une entrevue entre les deux marquis Clitandre et Acaste qui présente clairement les caractéristiques de la société mondaine notamment à travers la tirade d’Acaste v. 781 à 804 qui présente le caractère du marquis celui-ci étant en effet prétentieux et orgueilleux, il se complimente, se distinguant

jalousie logique avec Acaste et Clitandre, et la jalousie noble avec Philinte et Éliante. Tous les sentiments jaloux ici sont enveloppés dans la grande émotion d’amour. Premièrement, il y a la jalousie d’Alceste. À son avis, sa femme, Célimène, a trop d’amants. Nous savons qu’elle n’est pas vraiment sa femme et qu’elle a le droit de faire ce qu’elle veut, mais Alceste n’est pas d’accord avec cette idée. Quand il parle du procès de Célimène et son rapport avec Clitandre, il dit : « Perdez votre

connus de cette période La Fontaine, Boileau ou encore Mme de Lafayette. Dès la première scène Molière plonge le lecteur au cœur d’une conversation animée qui donne un aperçu de la situation initiale et relève l’enjeu de la pièce, Armande a repoussé Clitandre (amoureux d’elle), ce dernier courtise à présent Henriette sa soeur cadette qui répond à ses avances et veut l’épouser. Armande se lance dans une diatribe contre le mariage dont on ne sait si elle est dirigée contre cette institution ou contre sa

–L'installation de ces sièges signale le début de la conversation, on s'assoit pour causer( « commodités de la conversation » ( fauteuil ds le dictionnaire précieux de Somaize 1660) –Ce n'est pourtant pas Célimène qui lance la conversation, mais Clitandre et Acaste . - Mais tous deux servent uniquement de "lanceurs" de parole à celle qui doit se dévoiler, à la demande d'Alceste. –dénonciation du spectacle par Alceste b) La conversation - Le dispositif organise une sorte de circulation de la

travers un jeu mondain puis la critique sociale des portraits. De prime abord nous nous intéresserons aux portraits critiqué par Célimène en évoquant la vigueur mondaine de Célimène puis à l'esprit du jeu des portraits. Au début de cette scène Clitandre et Acaste se plaignent des défauts des autres et se posent en victimes devant ceux-ci.« Damon, le raisonneur, qui m’a, ne vous déplaise Une heure, au grand soleil, tenu hors de ma chaise. »(vers 577-578) ces paroles permettent donc de justifier leur

promis sa main à Clitandre, homme de bonne compagnie et de bon sens qui ne se gêne pas pour railler les ridicules de la famille et dit à Trissotin : « Qu’un sot savant est sot plus qu’un sot ignorant. »   Henriette n’a point caché à celui-ci sa préférence pour Clitandre, mais cet homme bel esprit ne se pique pas de délicatesse et, encouragé par Philaminte, il ne renoncera pas pour si peu à la dot qu’il convoite et que seule il recherche. Heureusement pour Henriette et pour Clitandre, Ariste, frère

 qu’Acaste  se  dérobe  aux  demandes  pressantes  de  Clitandre.  Dans  les  réponses   d’Acaste,  Molière  réemploie  la  répétition  non  pas  des  mots,  mais  d’un  sens  global    qui  tend  à   mettre  en  relief  la  vanité  du  marquis  s’étalant  avec  une  parfaite  inconscience.     Extrait  :  Acte  4,  Scène  7   (…)   CLITANDRE  :  Tu  penses  donc,  marquis,  être  fort  bien