Clitandre

Analyse Intérêt de l’action Genre : “Les femmes savantes” sont une «grande comédie» avec des éléments de farce qui apportés par Bélise (le quiproquo sur les propos de Clitandre, la répétition du mot «chimères»), les pédants, Trissotin et Vadius, et la servante Martine (son langage où elle se plaît à l’enchaînement de proverbes). C’est une comédie de moeurs aux dialogues étincelants. Originalité : Molière y a mis beaucoup de lui-même, y expose ses propres idées. Il faut même penser

Philaminte reçoit une lettre du copmte Vadius,celle-ci accusant Trissotin d'être un plagiaire et un intéressé.Elle n'y croit pas et annonce que le soir même sa fille se mariera mais avec Clitandre. Acte5: Henriette supplie Trissotin de renoncer au mariage mais il refuse par force.Chrysale revient en voulant être le maître et assure sa fille du mariage avecClitandre.Survient alors Philaminte,Bélise et Armande accompagnées du notaire.L'évènement qui va transformer la pièce en tragédie,les fausses

quatre noms apparaissent dans la 2ème strophe, Tircis, Aminte, Damis, Clitandre, tous d'amoureux transis que l'on rencontre dans la littérature pastorale ou la comédie italienne. Verlaine les affectionne et présente ces bergers, soupirants et autres pantins, au fur et à mesure de sa ronde. Dans la réalité, ils n'ont pas d'existence, ils symbolisent des rôles d'amoureux stéréotypés. Le qualificatif " éternel " pour Clitandre souligne à quel point ce jeune premier de comédie a fourni des modèles rebattus

« glaner » ça et là selon son humeur ou selon ses besoins.      De plus, la théâtralité de certains segments permet une lecture, voire une mise en scène en public, de quoi agrémenter les soirées dans les salons. Ainsi mimer les va-et vient de Cimon et de Clitandre, peut-il faire l’objet d’une distraction avec effet garanti.      Par ailleurs, Les Caractères proposent une lecture dynamique. En effet, , la variété des procédés évite au lecteur l’ennui et la lassitude. De fait, la Bruyère décline sur tous les

involontaire du mépris pour un homme dont seule la richesse les intéressait.George Dandin n’est ainsi plus le bienvenu dans son propre foyer et demeure sur le pavé de la cour devant sa porte. Derrière cette porte, ce sont les intrigues de sa femme avec Clitandre, dont elle reçoit les hommages. Sur le seuil, George Dandin, lui, subit les assauts, les passes et les piques de ses beaux-parents, fiers de leur bonne naissance ; même les serviteurs soutiennent les entrevues entre sa femme et son amant, que George

en train de se réaliser. George Dandin, Molière George Dandin est un héros éponyme de la pièce, il soupçonne sa femme Angélique de se laissé courtiser par Clitandre, mais il a voulu s'en plaindre auprès de ses beaux parents. 1er axe : - Clitandre est présent à l'insu de Dandin, petit manége galant entre Angélique et lui, Clitandre sort aperçu par Dandin, les 2 époux se retrouvent face à face - Dandin répond le plus, il réprimende Angélique qui répond briévement; Angélique parlera plus

de vilénie (le « flatteur » exagère la réaction du cerf, le livrant aux foudres royales : v.28, « Bref, il ne pleura point. Un flatteur l’alla dire, Et soutint qu’il l’avait vu rire). La Bruyère pour sa part décrit ses deux personnages, Cimon et Clitandre, comme des courtisans possédés par une activité débordante en apparence comme le souligne l’énumération « l’empressement, l’inquiétude, la curiosité, l’activité », mais en réalité parfaitement inutile, tout juste bonne à faire croire qu’ils sont

fenêtres d'une personne qu'on veut séduire ou honorer". On a une impression d'éloignement (travelling arrière) qui structure le poème : - Deux quatrains qui présentent les acteurs d'une scène galante: des personnages conventionnels du théâtre( Clitandre, Damis) ou de pastorale (Tirsis, Aminte ), des amoureux transis - Deux autres quatrains réunis en une seule phrase. La fête galante semble devenir évanescente. Les personnages disparaissent, leurs habits s'effacent à leur tour pour laisser place

| | |Pedro Calderón de la |Corneille : L’Illusion |Honoré d’Urfé : L’Astrée |Scarron : Virgile travesti |Pascal : Les Pensées | |Barca: La vie est un |comique, Clitandre | | | | |songe | | |

offices d'avocat à Rouen tout en se tournant vers la littérature, comme bon nombre de diplômés en droit de son temps. Il écrivit d'abord des comédies[->13] comme Mélite[->14], La Place royale[->15], L'Illusion comique[->16], et des tragi-comédies Clitandre[->17] (vers 1630) et en 1637[->18], Le Cid[->19], qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses rivaux et des théoriciens. Il avait aussi donné dès 1634-35 une tragédie mythologique (Médée[->20]), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la