Clitoris

de l’homme. L’homme est la femme sont des différentes expressions du type humain. Diderot s’intéresse à la biologie dvlp. et à l’anatomie. L’homme et la femme sont des analogues et sont très similaires au niveau de leurs traits sexuels (testicules-clitoris, scrotum-vulve, pénis-vagin). Cela laisse suggérer que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas radicales. Ce sont juste des expressions différente du genre humain. Aussi ils y’a des des gens inter-sexes (sexe indéterminé). Encore

une femme qui se rend chez son docteur. Elle se plaint d'avoir des poils sur la poitrine. Le médecin lui demande : - Montrez-moi donc ça... Ah oui effectivement ... Mais jusqu'où cela descend-il ? - Hé bien jusqu'aux couilles, docteur ! Deux clitoris se rencontrent... l'un dit à l'autre : - Il paraît que tu es frigide? L'autre répond : - Ce sont les mauvaises langues qui disent ça. Après 20 années, trois copains se retrouvent. Le premier dit : - Ma femme a une taille de guêpe et tous

et la col. Il est maintenu en place par des ligaments Vagin : conduit qui s’étend du col de l’utérus à la vulve Endomètre : tunique muqueuse de la cavité utérine Myomètre : couche de tissu musculaire de l’utérus Vulve (grandes/petites lèvres – clitoris – glandes de Bartholin) : ensemble des organes génitaux externes de la femme Périnée : situé entre la vulve et l’anus. Lors de l’accouchement, afin de faciliter le passage de la tête de l’enfant, et pour éviter une déchirure des muscles du périnée

va être alors objectifiée et l’homme s’en appropiera par le mariage. Puis elle va être diabolisée car la crainte de l’homme vis-à-vis du sexe féminin et de la maternité n’a pas disparue. Il a peur de se faire tromper également. La solution? “ sans clitoris, pas de jouissance sexuelle et donc pas de3M02 Sierra Juliana 17.01.23 risque d’adultère.” (p.93) Ce qui donnera lieu aux excisions

nombreux. Ils jouent sur le processus de croissance pubertaire, la production de sébum par les glandes sébacées, et le développement sexuel (en particulier chez le fœtus). Quelques exemples des effets virilisants de ces hormones sont la croissance du clitoris chez les femmes et du pénis chez les enfants de sexe masculin (chez l'adulte, le pénis ne se développe pas, même lorsqu'il est exposé à de fortes doses d'androgènes), une croissance accrue des poils (pubis, barbe, poitrine et membres), une augmentation

lit et je me suis couché sur elle tout en la couvrant de baisers. Au début, elle s’est un peu révolté, mais sans dire un mot, puis je me suis installé entre ses cuisses, en rampant progressivement pubis contre pubis et en me frottant contre son clitoris. Elle attendait, je ne sais quoi, mais elle regardait mes yeux et semblait rechercher si dans mon regard, il y avait un signe de vainqueur, qu’elle aurait pu envoyer promener avec fracas. Mais, il n’y avait qu’une trace de demandeur, une trace

propension au masochisme. La question que se pose Freud : comment la petite fille se développe psychiquement jusqu’à devenir femme au vue de cette bisexualité ? Le premier élément repose sur le constat de la présence de deux zones érogènes (clitoris, vagin) et dont l’une cèdera sa place au profit de la seconde au fur et à mesure que l’on tend vers la féminité contrairement au garçon dont le pénis est la seule zone érogène. Le deuxième élément est l’attachement à la mère comme premier objet

Université Mohammed Premier d’Oujda Faculté Pluridisciplinaire de NadorDépartement des Etudes FrançaisesMaster Langues, Cultures Marocaines, EcologieMODULE : AnthropologieAnthropologie du corpsRéalisé par : Supervisé par : Houda IBENKHAYAT ZOUGARI Professeur Okacha BEN EL MOSTAFA Année universitaire : 2019-2020PlanI . Les conceptions

Pour expliquer la relation entre ces deux termes, Freud utilise son concept du « complexe de castration » féminin. En effet, lorsque la petite fille découvre qu’elle ne possède pas d’organe génital ressemblant au pénis du garçon (si ce n’est le clitoris qui peut en représenter une miniature), elle ressent un complexe de masculinité car elle ressent un désir particulier et irréalisable : celui d’avoir elle aussi un pénis. C’est ce que Freud nomme « l’envie du pénis ». Dès lors, la petite fille serait

forme classique “virilisante pure”, il n’y a pas risque de deshydratation. NB : Dans ces deux formes, la sécrétion excessive de testostérone a pu, pendant la grossesse, entraîner une virilisation des organes génitaux externes d’une petite fille : le clitoris est souvent de taille excessive mais les organes génitaux internes, utérus et ovaires, sont normaux. Plus tard, quel que soit le sexe de l’enfant, en l’absence de traitement hormonal, la croissance staturale s’accélère franchement et les premiers