Clivage Ethnique

fonctionnement de l’organisation, ces clivages n’ont pas disparu. En effet, après la création en 19602, l’OUA n’a pas pu assurer le développement économique, social et politique de l’Afrique. Le continent africain occupe une place marginale dans l’économie mondiale (moins de 2% des échanges internationaux) et est en proie à de nombreuses crises qui entravent sont développement et on intégration. On peut citer les conflits frontaliers, les guerres civils et inter-ethniques, les maladies graves, l’endettement

irlandais catholique, qui s’est profondément engagé dans la lutte pour l’indépendance irlandaise pacifiste. Souvent surnommé « The Liberator » (Le Libérateur), il s’illustre à de nombreuses reprises dans le combat nationaliste, et tente de mettre fin aux clivages sociaux et religieux en abrogeant les lois anti-catholiques de l’époque. Son action est telle, que l’avenue principale de Dublin porte aujourd’hui le nom de cet homme : « O’Connell Street », une façon de se souvenir de lui. Le nom donné aux rues

floue contribuant à la richesse énonciative et pragmatique à laquelle les énonciateurs/locuteurs peuvent puiser. La concession est un autre élément discursif, relevant cette fois-ci de la syntaxe, qui permet de profiter du flou pour dépasser les clivages et les oppositions possibles et pour renforcer le consensus. Le dernier chapitre ouvre le discours institutionnel à l’interdiscours et à la polyphonie, tout en revenant sur des notions chères à l’AD comme celles de «  préconstruit  » et de «  prédiscours 

partis susceptibles de ce percevoir comme les porte parole des habitants ». Les banlieues s’éloignent politiquement et socialement et donc se retrouvent dans au cœur d’une question sociale d’exclusion. En effet, c’est à cette période que s’accroît le clivage ville/banlieue. Les banlieues sont de plus en plus marginalisées et stigmatisées. Des violences émergent de cette nouvelle situation, comme par exemple l’émeute des Minguettes (Rhône-Alpes), pendant l’été1981. De nouvelles mesures politiques sont

LES ORIGINES ET LES EFFETS DE LA CRISE ALIMENTAIRE DE 2008 1- Cadre théorique : Système-Monde. 1.1- Définition selon Immanuel Wallerstein. 1.2- Une ligne de clivage nord-sud. 1.3- Une conception asymétrique. 2- Les origines et effets de la crise alimentaire de 2008. 2.1- Le protectionnisme agricole des pays riches. 2.1.1- La conférence de Doha. 2.2- La forte hausse des prix de produits agricoles 2.2.1.- Les troubles sociaux en Haïti. 2.2.2- L’aggravation

universaux en musique et de la musique comme espace communicationnel[1] Feki Soufiane[2] 1. La musique et le rapprochement des peuples : l’histoire d’un musicien martyrs Le pouvoir de la musique de pacifier nos sociétés, de rompre avec les clivages communautaristes et de favoriser l’harmonie du vivre ensemble dans des sociétés multiethniques ou multiconfessionnelles, est aujourd’hui un fait avéré. Même les faucons (partisans de la guerre) l’ont très vite compris. Je voudrai rappeler ici un

chances. Remarque : selon l’article 3 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen « les citoyens cessent d’être des individus concrets pour agir dans l’espace public en tant que citoyen ». Donc quelques soient leurs origines (sociales, ethniques, religieuses…) tous les individus qui deviennent des citoyens dans une société démocratique (dans l’espace public) sont égaux. Ainsi, dans une démocratie, tout particularisme (revendications identitaires ou communautaires) est renvoyé dans la sphère

qu'ils prétendent à un Etat , à une reconnaissance internationale de leur existence . II- Les revendications Kurdes . A- Des revendications d'unité et d'autodétermination . Les kurdes revendiquent un territoire unifié, établie sur une base ethnique, disposant de pouvoirs importants et du contrôle des ressources naturelles . De plus ce territoire devrait etre sous le contrôle d'un Etat Kurde, reconnu internationalement . Cela pose probléme : en effet les pays possédant une partie du Kurdistan

supérieur. Les groupes minoritaires sont donc ceux qui, bien que représentant une part importante de la population ne sont pas représentés proportionnellement au niveau des instances économiques et sociales. Ils sont définis aux EU à partir de critères ethniques (Noirs, Hispaniques, Asiatiques) et de genre (les femmes). De ce fait, les groupes minoritaires sont définis sur un critère de non représentativité sociale et non sur des critères religieux. Les populations ciblées par les traitements préférentielles

G.Sheffer (1993) pour qui la diaspora se définie par elle-même, quels que soient les caractéristiques du pays d’origine et des vagues migratoires. Les caractéristiques essentielles sont selon lui : la conscience et la revendication d’une identité ethnique ou nationale, l’existence d’une organisation du groupe dispersé et les contacts réels ou imaginaires avec le territoire d’origine. Ainsi selon lui, la condition ultime est, au-delà des conditions tangibles et plus que le sentiment ou la conscience