Clivage Ethnique

la compétition électorale 17 3) La personnification de l'activité politique 18 4) La collectivisation 18 CHAPITRE II : LES PARTIS POLITIQUES 20 Section I : Les clivages et constructions de l'offre politique 20 a) Des clivages dominants différents selon les sociétés 22 b) Vers de nouveaux clivages politiques ? 26 Section II: Les systèmes de partis 29 a) Principes de classement des systèmes de partis 29 1) Les systèmes de partis fondés sur l'existence de partis

possible ensemble, chemin vers l’autre, mais aussi chemin vers soi. Parler d’ interculturel c’est parler nécessairement de choc culturel, le choc des cultures, c’est la rencontre entre nous même et cet autre, un autre qui peut être un être, un groupe ethnique, une culture nationale ou une culture d’entreprise. En interculturel cette rencontre est source d’incompréhensions, parfois, on a le sentiment de se heurter à des murs redoutables car insaisissables, en effet, les codes culturels sont parfois redoutables

peut être question de protéger les minorités du système. Apparaît alors la fonction tribunitienne (appellation tirée de l’institution romaine du tribun de la plèbe). Elle serait une exigence fonctionnelle d’un système politique où il y aurait des clivages. Le système politique remplira cette fonction par le parti politique si aucune autre institution ne peut s’en acquitter. Or cette fonction remplie par le parti politique ne serait pas officielle mais latente. Le système politique doit accepter

1approche sociologique ➢ Pb d’insert° et intégrat° → Variété de notre société avc ts ces pbs (ex : les rooms) 1générat° est unique, habitée d’1certaine unité / cohérence, ms elle est plurielle cr il peut y avoir plusieurs origines ethniques ⇨ Difficulté à l’insert° sociale pr les pers qui diffèrent de la « normalité » ➢ Générat° : regroupement autour d’1mode de vie Technologies : générat° Internet Générat° téléréalité – « The trueman show » virtuelle ou non 

social.» Mayer et Schweisguth invoquent encore l’organisation électorale et son fort attachement à l’emplacement dans les hiérarchies et sous-hiérarchies sociales, «…donc dans le système des clivages constitutifs de la structure sociale.». L’appartenance à des groupes sociaux (professionnelle, religieuse, ethnique ou autre) influence les choix politiques. L’origine social des agents et les comportements adoptés sont dépendants «…des schèmes d’appréciations intériorisés dès l’enfance ou l’adolescence

abstraction faite de toute frontière politique, ethnique ou religieuse. Il s’agit donc d’instaurer des mécanismes juridiques et techniques inter étatiques pour le renforcement de la gestion des ressources partagées au sein d’organisations et de programmes structurés au niveau régional, et international à l’échelle des grands écosystèmes (espèces migratrices, fonds marins…) Enfin, il est urgent de pacifier ce continent au-delà des clivages ethniques et des querelles frontalières dans le but de focaliser

citoyen. Le citoyen étant le composé de la cité, que Aristote va s'attacher à définir, à travers le cas d'Athènes, représentatif, du reste du monde grec. Ainsi, la citoyenneté grecque, s'étendra dans la totalité de ce monde, monde marqué par un clivage de cités rivales ( on en dénombre environ 850 durant la période classique ), et restera longtemps, effective dans un ensemble géographiquement limité, celui de la cité, et ne s'acquierant que sous certaines conditions décrites par la loi. Le modèle

issue de la philosophie allemande du début du XIXe siècle, défendue par Johann Gottlieb Fichte, selon laquelle les membres d'une Nation ont en commun des caractéristiques telles que la langue, la religion, la culture, l'histoire, voire les origines ethniques, tout cela les différenciant des membres des autres nations. Fichte, dans ses Discours à la nation allemande (1807-1808) , insiste sur l’idée de peuple et l’importance de la langue. Il est vrai, l'étymologie de "Nation" est liée à la notion de naissance

incontestablement dominé par l’Inde : elle représente les trois quarts de l’espace, des populations et PNB cumulés des huit Etats qui se partagent cet espace. L’influence indienne est pourtant contestée et les rapports difficiles avec les voisins font écho aux clivages internes. La question majeure est depuis l’indépendance celle des rapports avec le Pakistan. Revendiquée depuis les années 1930 par la Ligue musulmane animé par Mohammed Ali Jinnah, la création d’un « Etat des purs » rassemblant les terres à majorité

du Sud et au régime d’apartheid) qu’économique (l’Afrique ne représente même plus 1 % du commerce international, malgré ses richesses en matières premières), sans parler des crises humanitaires (exodes massifs de population, guerres et massacres ethniques au Rwanda, au Burundi, au Congo, au Sierra Leone, au Liberia, en Côte d’Ivoire). L’OUA connaît parallèlement des difficultés financières, notamment du fait de multiples impayés des États membres. Enfin, la règle de non-ingérence a empêché toute évolution