Clonage thérapeutique

et celui de le maintenir en vie. La loi de 2002 a ainsi abouti à la reformulation du Code de déontologie médicale, lequel dispose désormais que le médecin : « doit s'abstenir de toute obstination déraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique et peut renoncer à entreprendre ou poursuivre des traitements qui apparaissent inutiles, disproportionnés ou qui n'ont d'autre objet ou effet que le maintien artificiel de la vie11. » Le Code de santé publique (L1110-5) prévoit par ailleurs la

nous vivons sans aucune dignité à nos yeux. Nous n’avons plus le contrôle de nous-même, nous détestons ce que nous sommes devenus. Nous ne vivons plus pour nous, mais supportons notre corps devenu trop lourd pour partir au ciel. L’acharnement thérapeutique n’est pas une solution. Bien au contraire, elle accentue notre enfer de la fin de vie. Nous ne nous mettons pas suffisament à la place du malade. Certes, il faut évaluer le degré de souffrance et prendre en compte l’avis du malade, mais il ne

dans une approche globale de la personne atteinte d'une maladie grave, évolutive ou terminale. Soins curatifs: Tous les soins, thérapeutique mise en oeuvre pour guérir le patient de sa pathologie. Euthanasie : À l'origine, l'euthanasie désigne le fait d'avoir une mort douce, que cette mort soit naturelle ou provoquée. Acharnement thérapeutique : L’acharnement thérapeutique désigne, dans le domaine médical, l'emploi de thérapies exagérément lourdes pour le patient, disproportionnées par rapport à l'amélioration

médical leurs explique qu’en l’absence de places disponibles dans les centres de soins palliatifs, ils prennent le problème en charge, grâce entre autres au centre de la douleur de l’hôpital. L’entourage familial, dans le cas d’un acharnement thérapeutique intense, pense et dit que le devoir essentiel est de se battre, de ne pas abandonner un être dans sa lutte, de le garder aussi aux regards et aux caresses de ses proches. b) Les personnes âgées malades et handicapées Pour compléter ce

déraisonnable, ( acharnement thérapeutique). Elle assure l'information du patient, une personne de confiance et prendre en compte un refus du traitement par le malade ( on à le droit de refusé de prendre les traitements). La loi clage Léonétie 17 mars 2015 : « vers une sédation profonde et continue ». Les directives anticipé permet à toute personne majeur et capable de faire connaître ces souhaits relatif à sa fin de vie et notamment son refus de toute acharnement thérapeutique pour le cas ou elle serait

en plus sur le budget de la Santé, d’où certaines tentations... Aide au suicide - suicide assisté Méthode qui consiste à mettre du poison dans la seringue et à faire appuyer par le malade afin d’éviter les poursuites. Acharnement thérapeutique Poursuivre un traitement lourd qui devient disproportionné par rapport au bien qu’en retire le patient. Soins palliatifs Accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur, même si cela consiste à prendre des

malade à mourir" La loi relative aux droits des malades et à la fin de vie, votée en avril 2005 et élaborée sur la base d'un rapport de 2002 du Comité consultatif national d'éthique, permet d'arrêter un traitement ou de refuser un acharnement thérapeutique (l'obstination déraisonnable dans la dispense de soins). Cependant, il ne légalise absolument pas l'euthanasie. Cette loi a aussi introduit une nouvelle notion, celle de "testament de vie" : toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées

à l'euthanasie passive qui consiste simplement dans l'omission de thérapeutiques qui auraient pu prolonger la vie du malade. b) Contexte en France, et dans d'autres pays (au regard du droit): En France: La Loi n°2005-370 d'avril 2005 : la loi leonetti instaure un droit de « laisser mourir » mais ne légalise pas l’euthanasie. La loi votée en avril 2005, permet d'arrêter un traitement ou de refuser un acharnement thérapeutique (l'obstination déraisonnable dans la dispense de soins). Cependant

L'acharnement thérapeutique désigne, dans le domaine médical, l'emploi de thérapies exagérément lourdes pour le patient, disproportionnées par rapport à l'amélioration attendue. Elles témoignent d'une « une obstination déraisonnable, refusant par un raisonnement buté de reconnaître qu’un homme est voué à la mort et qu’il n’est pas curable »[ Le traitement n’entraine aucun bénéfice ou avantage et ne contribuera pas à maintenir ou amélioré sa qualité de vie ni a lui assurer une fin de vie digne

« ​ assistante​ ». Cependant cette phrase est directement suivie par celle-ci : « ​ Certes, les affections sévères et les affections mortelles ne doivent pas être confondue : le renoncement thérapeutique chez une personne curable constitue un risque aussi inacceptable que celui d'un acharnement thérapeutique injustifié. Mais lorsque la mort approche, la personne âgée doit être entourée de soins et d'attentions adaptés à son état ». Ce qui a été le cas de Mme F qui​ a été accompagné tout le long de