Club des Jacobins

Documents utilisés 1. Fiche bibliographique d’Olympe de Gouges 2. Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne 3. Extrait de cahier de doléances 4. La marche des femmes sur Versailles Gravure, Paris, Musée Carnavalet 5. Un club patriotique de femmes, Gouache de Lesueur, paris, Musée carnavalet 6. Les femmes de l’Assemblée, Dessin de F. Gérard, XVIIIème, Musée du Château de Versailles Résumé des échanges lors de la mise en commun et de la confrontation aux

faubourgs ou des salons, oratrice ou émeutière, savante ou tricoteuse, tous les statuts et toutes les natures de femme se sont illustrées dans la révolution. Prenons l’exemple de ces femmes du peuple, les tricoteuses, que l’on nomme aussi parfois Jacobines, on associe souvent à la guillotine, au sang et à la mort. Ainsi l’image, qui vous ai présenté ici, montre bien les différentes associations que l’on donne à ces femmes. En effet ce premier document représente trois tricoteuses, la première avec

Révolution et Terreur, celle-ci devenant l'œuvre d'une bande de « buveurs de sang » suivie par une populace ignorante et violente. L'alliance entre République et démocratie se fragilise. La Convention est désormais déterminée à en finir avec les Jacobins et le mouvement populaire. Elle assimile, après les journées parisiennes du printemps, la démocratie à l'anarchie. Pendant quinze mois, elle va s'efforcer de réaliser son idéal : le gouvernement des notables. La bourgeoisie a pour objectifs la

de Convention Girondine. D’abord radicale, elle devient l’aile droite de la Convention Nationale face aux Montagnards. Radicaux favorables à la République, dominés par Danton, Marat et Robespierre. La plupart de ses membres sont inscrits au club des Jacobins. Lequel s’était donné pour but de ne pas se séparer avant d’avoir doté la France d’une Constitution. Elle essaya d’éviter un procès du Roi, en vain. Le procès débute le 10 décembre, qualifié d’ennemi étranger au corps de la nation et « d’usurpateur »

par le comité de la future DDHC. REFUS : trop favorable à la monarchie Nuit du 4 août 1789 : abolition des privilèges pour mettre fin à la Terreur dans les campagnes qui s’évie depuis le mois de juillet. Décrets des 4 et 11 Août. Cf. importance du club breton. Fin des servitudes personnelles ms les droits seigneuriaux st supprimés à charge de rachat (faut attendre 1793 avec la convention). Fin dîmes+vénalité des offices+exemptions fiscales. Égalité d’accès aux offices publics 12 Août 1789 : un

Marat, et le Patriote Français dirigé par Brissot. Club des jacobins : ce club a pour nom « la société des amis de la Constitution ». Cette société s’est installée dans un ancien couvent qui a pour nom les jacobins. Ce club est ouvert à tous les députés, ouvert aussi à ceux qui peuvent payer un équivalent à 25 livres (soit un mois de travail d’un ouvrier qualifié). Ouvert aux patriotes aisés, aux bourgeois. Importante ramification en Province. Club élitiste qui a vocation à s’adresser à la province

siéger 2 a 2 pour fonctionner en permanence. Le club des Jacobins (officieux) qui est associé à l’histoire de la Terreur devra préparer en amont les réunions des révolutionnaires. Aux députés vont s’ajouter des citoyens plus ordinaires. Ce club évolue vers des bords sociaux plus modernes, ce la s’accompagne des mutations des revendications politiques. Ils défendent l’idée de la souveraineté du peuple qui correspond aux membres du club des Jacobins. Il fait l’opinion publique, « dresse le peuple »

parisiens (le club des Jacobins, le club des Cordeliers…). Les journaux se multiplient et les citoyens français se passionnent pour la politique. À Paris, les sans-culottes (artisans, petits commerçants) sont les plus révolutionnaires. • L'affaiblissement des pouvoirs du roi et le contrôle du clergé divisent les Français : * les monarchistes pensent que la Révolution va trop loin, que le roi doit garder plus de pouvoirs ; * les Feuillants, sont modérés ; * les Jacobins pensent qu'il

grande pompe à Paris. Fermeture du club de Jacobins Sa chute n’entraîne pas immédiatement la fin des Jacobins. Le club est fermé, puis épuré des éléments supposés robespierristes, il rouvre ses portes peu après. Mais la pression de l’opinion contre la Terreur et ses responsables détermine la Convention à fermer la salle de réunion le 12 novembre 1794. Elle sera détruite six mois plus tard, un décret de 1795 ordonnant de transformer l’immeuble des Jacobins en marché public sous le nom de «

membres. Il y a plusieurs types de clubs : Le club des jacobins : fondé fin 1789, avec des révolutionnaires assez dures et pensent que la révolution n’est qu’à ses débuts. Et veulent la fin d’une monarchie et avènement de la république. L’ambition aussi de propager les idées du patriotisme partout. Convertir le plus de monde possible, même en dehors de frontière françaises. CAMILLE Desmoulins «  dans la propagation du patriotisme …. (cf. feuille citation) Le club des fuyants : veulent monarchie constitutionnelle