Clystère

peut même tuée Argan 2)Le corps A l’époque du XVII ème siècle, le corps est vu comme sale, mauvais. M. Purgon dénonce beaucoup le corps car pour lui c'est de la moisissure car on doit toujours le changer en le lavant en faisant des Purgations,Clystère Molière dénonce ces idée car pour lui le corps c'est quelque chose de bon , sain , naturel D'un autre cotes les amoureux Cléante et Angélique disent que leur corps et un objet de jouissance . Voici des exemple : Cléante est « bien fait » et a «

cette parole à la ligne 7 «  m. Fleurant, mon apothicaire ». Le déterminant possessif « mon » souligne la proximité maladive d’Argan face aux gens de médecine. Le personnage semble se délecter d’un lexique technique, spécialisé «  petit clystère » ( = connaître la définition), le rythme ternaire des adjectifs souligne cette délectation, ce goût pour la médecine «  insinuatif, préparatif et rémollient », de même le rythme ternaire est utilisé pour les verbes marquant le but «  pour amollir

devant lui, compte des parties d'apothicaire avec des jetons ; il fait, parlant à lui-même, les dialogues suivants : Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt ; trois et deux font cinq. « Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif et rémollient, pour amollir, humecter et rafraîchir les entrailles de monsieur ? » Ce qui me plaît de monsieur Fleurant, mon apothicaire, c'est que ses parties sont toujours fort civiles. « Les entrailles de monsieur, trente

pierre, qui avoit souvent besoing de clysteres; et se les faisoit diversement ordonner aux medecins, selon l'occurrence de son mal. Apportez qu'ils estoyent, il n'y avoit rien obmis des formes accoustumées; souvent il tastoit s'ils estoyent trop chauds. Le voyla couché, renversé, et toutes les approches faictes, sauf qu'il ne s'y faisoit aucune injection. L'apotiquaire retiré apres cette ceremonie, le patient accommodé, comme s'il avoit veritablement pris le clystere, il en sentoit pareil effect à ceux

psychique est dressé dès les premières lignes. Dans Le Malade imaginaire, le monologue d’Argan met en avant son caractère hypocondriaque. Argan est centré sur sa propre souffrance qui devient un véritable marché financier : « Plus, dudit jour, un bon clystère […] pour balayer, laver, et nettoyer le bas-ventre de Monsieur, trente sols. » La scène d’exposition est une présentation de la pièce, de l’intrigue et des personnages. Elle est essentielle à la compréhension de la pièce pour le lecteur, ou

un bourgeois proche de ses sous et un malade acidu qui se soigne intensément,il va jusqu’à recevoir deux traitements dans la même journée et un deuxième traitement le 28 eme jour . Le chant lexical du corps et de la médecine,le clystère est un lavement. Le clystère carminatif a pour but de chasser les humeurs (theorie de galien)et donc cette méthode de lavement est reprise avec le terme bonne médecine à la ligne 4. Le passage porte sur même thème ,les gaz et les excréments et les moyens de

scène). C’est pour cela que la pièce se nomme Le Malade Imaginaire , il imagine ses propres maladies.Nous avons également la présence d’un vocabulaire représentant la médecine du 17ème siècle avec des mots savants comme « clystère », « lavement », « saignés » montrant la présence de la discipline. Enfin, pour Molière, le médecin n’impressionne que par son habit et ses discours savants. C’est ainsi qu’Argan se fait introniser médecin lors du troisième intermède, pour cela ce

n'arrive pas a se justfier. Une éxagération des mots est aussi présente dans ce texte, comme lorsque le médecin déclare a Argan que c'est un "crime", "une action exorbitante", "un attentat énorme contre la médecine" que de ne pas prendre pas faire le clystère qu'il lui avait prescrit. On retrouve ce comique de mots dans le texte deux. Par exemple, une exagération est présente lorsque Harpagon dit qu'il est "perdu... assassiné" sans son argent, qu'il a "perdu son support, [sa] consolation"... Dans ce texte

fausse mort d’Argan : elle est prête à le dépouiller sur-le-champ. 2) Le corps Au XVII ème siècle, le corps est considéré comme sale, mauvais. M. Purgon brutalise le corps car pour lui, c’est de la pourriture qu’il faut constamment nettoyer (clystère, lavements, purgations, …) Molière ridiculise ces idées, car il a toujours défendu le corps comme étant bon, sain et naturel D’un autre point de vue, les amoureux de la pièce (Cléante et Angélique) réhabilitent le corps comme objet de désir et

incompétence. 3. Les médecins sont incompétents car leur savoir est purement théorique, ils n’ont aucune connaissance réelle du corps et de son fonctionnement. Les traitements qu’ils proposent pour guérir sont très limités et parfois dangereux : des clystères et des saignées, ou bien des préconisations diététiques assez hésitantes. Exemple : I, 1 : la liste des traitements qu’Argan a reçus se limite à des traitements laxatifs (lavements). A la fin de la consultation II, 6, M. Diafoirus lui prescrit