Clémenceau Discours Chambre Des Députés

crise de 1877, le Président de la République est marginalisé. Le Président est élu pour sept ans par l'Assemblée nationale (les deux chambres réunies). Ainsi, même s'il n'a pas une grande légitimité du point de vue du suffrage, la durée de son mandat est source de stabilité. Dans le domaine législatif, il dispose de l'initiative des lois partagée avec les deux chambres ainsi que de la promulgation. Il peut demander une deuxième délibération de la loi. Il dispose également de moyens sur les assemblées

précédents , répugnant à qualifier expressément le Président de la République de chef de l'État , préférant le désigner sous le nom de chef de l'exécutif , une pratique constante lui donne ce titre sous les IIIe, IVe et Ve Républiques , aussi bien dans le discours politique que dans le vocabulaire juridique . Le Président de la République a la responsabilité de l'État et de ses intérêts supérieurs par opposition au gouvernement qui prend en charge les aspirations du peuple considéré comme une réalité

présidence Séparation des pouvoirs – dissolution de l’Assemblée Nationale – Parti de l’Ordre 2. Le Parti de l’Ordre au pouvoir ou la réaction à l’œuvre Clérical – réactionnaire – pouvoir temporel – « liberté » de l’enseignement Étudier un discours parlementaire justificatif C – Bonaparte met fin à l’expérience républicaine 1. Pourquoi ? Dérive antidémocratique – révision constitutionnelle 2. Le Coup d’État du 2 décembre 1851 Étudier un texte d’affiche légitimant un événement

sénateurs et représentants que cet État est autorisé à nommer au Congrès ». Le nombre des grands électeurs par État est donc égal à celui des parlementaires élus dans cet État5, soit un total de 538 grands électeurs (100 sénateurs + 435 membres de la Chambre des représentants + 3 délégués pour le district de Columbia). Nb. : Les « grands » États sont largement représentés dans ce collège (ex. : 55 grands électeurs pour la Californie6, 34 pour le Texas, 31 pour l’État de New York, 27 pour la Floride …)

les décennies 1880-1890 : Comment l’enracinement de la culture républicaine contribue-t-il à rendre incontournable la République en France dans les années 1880-1890 ? A. Une République minoritaire dans les années 1870 : Documents à utiliser : discours de Léon Gambetta du 9 octobre 1877, document 2 p. 303. Document 1 : L’éloge du suffrage universel et du système républicain : Aujourd'hui, citoyens, si le suffrage universel se déjugeait, c'en serait fait, croyez-le bien, de l'ordre en France, car

se fait entre les républicains modérés (le centre gauche de l’assemblée) et le centre droit (orléanistes). Il se fait autour de 2 principes : Il faut un exécutif fort. Il faut une seconde chambre (le sénat) dont la vocation serrât de s’opposer à une supposé démagogie de la 1ère chambre (l’assemblée). Elle devra freiner les élans de l’assemblée, elle devra être plus sage, plus composée de notable, se sont les monarchistes qui la veulent. Premier principe : Un président. Monarchistes

De plus, dans les faits, l’école républicaine reste le lieu de reproduction des inégalités sociales. La force mythique dont elle reste chargée de nos jours tient néanmoins à sa capacité à promouvoir un discours méritocratique auquel adhérait la majorité des

sous-représentation indépendante de leur volonté. Ils vont alors appeler à la constitution d’une Assemblée Nationale ! Les représentants du Tiers-Etat se constituent seuls en Assemblée Nationale (491 voix contre 90) sur une mention de l’Abbé Sieyès, député du Tiers-Etat de Paris. Sur le plan idéologique, cela revient à admettre que le troisième ordre (le moins privilégié et représenté) peut représenter seul la Nation française. La constitution de cette assemblée, premier acte de rébellion révolutionnaire

Monarchistes eux mêmes car ceux ci sont divisés en deux branches. La première étant les Légitimistes qui sont les partisans du compte de Chambord (petit fils de Charles X, frère de Louis XVIII qui était le père de de Louis XVI). Ils regroupent 180 députés. Et l'autre branche étant les Orléanistes, les partisans du Duc d' Orléans (la branche cadette des Bourbons). Ils sont des partisans de la Monarchie libérale , ils souhaitent une alliance entre la Monarchie et les acquis de la Révolution , une Monarchie

petite noblesse et de la commune britannique. Cette réunion est à l’origine de la création des deux chambres parlementaires qui sont les organes représentatifs et qui disposent d’une légitimité populaire faisant contrepoids au pouvoir royal. A partir du 14ème siècle, il existe deux chambres qui sont les ancêtres des chambres du parlement britannique (Lords & Communes). Dès le 15ème siècle, les chambres se partagent le pouvoir législatif (adoption de grands textes). A la fin du 17ème siècle, la séparation