Coagulase

toxi infections alimentaires (TIA), toxines qui agissent directement sur la muqueuse intestinale, provoquent des perturbations biochimiques ou des lésions cellulaires qui entraînent des pertes d’eau de la muqueuse. Les enzymes non toxiques :  La coagulase-libre : exo-enzyme coagulent le plasma d’homme ou de lapin, protection contre la phagocytose  La fibrinolysine : provoque la dislocation des caillots  peut entraîner une septicémie  La desoxyribonucléases (ou DNase) : facteurs de destruction des

à 37 °C – Méthode de routine -12p. NM 08.0.112-2003 Microbiologie alimentaire - Méthode de routine pour le dénombrement des Staphylocoques à coagulasse positive par comptage des colonies à 37 °C – Technique avec confirmation des colonies -16p. NM 08.0.113-2003 Microbiologie alimentaire – Méthode de routine pour le dénombrement des Staphylocoques à coagulasse positive par comptage des colonies à 37 °C – Technique sans confirmation des colonies -08p. NM ISO 4831-2008 Microbiologie des aliments - Méthode

(Bacillus subtilis) Critères biochimiques Fermentation des glucides /exp la Fermentation du glucose (test Voges Prauskauer) Dégradation des protéines /exp Dégradation de la peptone exp Dégradation des lipides Cas particuliers: catalases (H2O2) et coagulases (plasma) Critères immunologiques L'établissement de la carte antigénique = sérotypage. Chaque sérotype étant un groupe de souches présentant une réaction avec un même anticorps ou un groupe d'anticorps. Les souches du même sérotype peuvent appartenir

facteurs : - facteurs émotionnels, - relations entre le système nerveux, le système endocrinien et le système immunitaire, - facteurs environnementaux, - circonstance favorisante. Exoenzymes Mode d’action Hémolysine Hémolyse (hémolyse ß) Coagulase Collagénase 107 5.6 Syndrome infectieux (Faucher, Chapitre 12, p. 190-197) Telle que vue dans la première partie du cours (1. Introduction), l’infection peut soit être d’origine exogène ou endogène. Ainsi, les infections suivantes sont : 

d’un milieu de culture gélosé sélectif, coulé dans une boite de pétrie, avec une quantité déterminé de l’échantillon pour essai. Une confirmation est établie en deuxième lieu pour les colonies caractéristiques. Puis calcul du nombre des staphes à coagulase positive par ml ou par gramme. b- mode opératoire : - Préparation des boites de milieu gélosé Couler la quantité nécessaire du milieu complet dans les boites de pétri et laisser se solidifier, de façon à obtenir une épaisseur de gélose

partie supérieure des follicules pileux et des conduits des glandes sébacées. | |Les micro-organismes sont profondément en chassés et adhérents à la surface de la peau. Les espèces bactériennes les plus représentatives sont les staphylocoques à coagulase | |négative, les Staphylocoques aureus et les corynébactéries. | |Flore transitoire

Pseudomonas aeruginosa Anaérobies à Gram + Brucella ofloxacine + ceftriaxone ciprofloxacine + ceftazidime clindamycine (si érythromycine S) doxycycline + rifampicine ceftriaxone Spondylodiscite Infection sur prothèse Fréquence des stahylocoques à coagulase négative et Propionibacterium dans les infections tardives Proposition d’adaptation de l’antibiothérapie en fonction de la bactérie en cas d’atteinte articulaire isolée Staphylocoque métiS Staphylocoque métiR Entérocoque Streptocoques ofloxacine

| |Entérobactéries* |< 1/ g | |Bactéries ASR |Absence dans 1 g | |Staphyloques coagulase* + |Absence dans 1 g | |Listéria* |Absence dans 25 g | |Salmonelles* |Absence dans

Martin, S. E. and Chaven, S. (1987). Synthesis of catalase in staphylococcus aureus MF-31. Applied and environmental microbiology 53, 1207-1209. * Mauriello G., casaburi A., Blaiotta G., Villani F. (2004). Isolation and technological properties coagulase negative streptococcus lactis from fermented sausages of southern Italy. Meat Sci., 67, 149-158. * Metchnikoff E . (1907). Lactic acid as inhibiting intestinal putrefaction. In: The prolongation of life: Optimistic studies. W. Heinemann, London:

souvent employée en utilisant les termes de « pathogènes majeurs » (Staphylococcus aureus, Streptococcus uberis, Escherichia coli, Klebsiella spp), ou agents d’infections mammaires graves en général, et de « pathogènes mineurs » (Staphylocoques coagulase négatifs, Corynebacterium bovis) qui sont à l’origine de mammites discrètes ou subcliniques. Plusieurs études ont évalué la conductivité en fonction de l’agent bactérien en cause. Il apparaît que l’augmentation de la conductivité électrique du lait