Codage arithmétique

objet i j p1 p2 (Institute) adresse 4831836000 4831836004 4831835984 4831835992 valeur 3 6 4831836004 4831836004 01/02 25 / 46 Arithmétique des pointeurs La valeur d’ pointeur étant un entier, on peut lui appliquer un certain un nombre d’ opérateurs arithmétiques classiques. Les seules opérations arithmétiques valides sur les pointeurs sont : – l’ addition d’ entier à un pointeur. Le résultat est un pointeur de meme un type que le pointeur de départ ; – la soustraction

Terminale S Exercices suites numériques 2011-2012 Exercice 1 : Dire en justifiant si les suites (un) définies ci-dessous sont arithmétiques, géométriques ou ni l'un ni l'autre. Dans le cas où elles sont arithmétiques ou géométriques, préciser le premier terme et la raison. 1) un+1 = un + 1 et u0 = -5 2) un = n – 5 1 3) un = n 3 52n+1 4) un = 2× 3(n+1) 7 Exercice 2 : étude d'une suite du type un+1 = a×un + b × Soit la suite (un) définie par u1 = 2 et, pour tout entier n de

de Scilab incompatibilit´e avec Matlab lenteur relative d’ex´ecution Calcul Matriciels Les operations sur les vecteurs 1- Assemblage de vecteurs La caractéristique essentielle de MATLAB pour l’utilisateur est de permettre les opérations arithmétiques sur les vecteurs et matrices, comme en mathématique. En calcul scientifique, on parle de calcul vectoriel. Un élément fondamental de l’apprentissage de MATLAB consiste donc à savoir effectuer des opérations matricielles de façon compacte, sans

"condition"] ORDER BY "nom de colonne" [ASC ou DESC] SQL Fonctions : Aussi ,on peut effectuer des calculs arithmétiques avec des chiffres, tels que l’addition ou le calcul de la moyenne. SQL dispose des fonctions suivantes : -AVG - COUNT- MAX - MIN et SUM. La syntaxe pour utiliser ces fonctions est : SELECT "nom de fonction"("nom de colonne") FROM "nom de table". SQL COUNT : Une autre fonction arithmétique qui permet de compter le nombre de lignes incluses dans une table. La syntaxe est :SELECT COUNT("nom

Les différentes règles de calcul Calcul d'une somme : Lorsque l'on a une addition il y a une règle de calcul. Si on a deux signes moins qui se suivent il faut les remplacer par un plus. Sinon le calcul est normal Exemple : 15-(-3)=15+3=1815-3=12 Calcul d'un produit et d'une somme : Lorsque l'on a un calcul avec une multiplication ou une division et une addition, il faut tout d'abord effectuer la multiplication ou la division. Exemple : 15*3+915/3+9 =45+9 car on fait d'abord

|z| = 1 et |z +z ′ | = 2 2 2 2 1 3 + = 1 = 1 et z ′ = 0. 4 4 3. VRAI : z + E XERCICE 2 Réservé aux candidats n’ayant pas choisi l’enseignement de spécialité 5 points 1. Si p 1 , p 2 , p 3 et p 4 dans cet ordre, forment une progression arithmétique de raison r , alors p 2 = p 1 + r, p 3 = p 1 + 2r et p 4 = p 1 + 3r . On a donc : p4 p 1 + p 1 + r + p 1 + 2r + p 1 + 3r p 1 + 3r 4p 1 + 6r = = 0, 4 1 = = p 1 + 3r = 0, 4 1 (loi des probabilités totales) ⇐⇒ ⇐⇒ 2p 1 + 6r 4p 1 + 6r = =

- La mémoire centrale - L’unité arithmétique et logique (UAL) - Unité de contrôle L’unité arithmétique et logique et l’unité de contrôle constituent le processeur de l’ordinateur. 1. La mémoire centrale Contient les informations (programmes, données à traiter, résultats des traitements) utilisées par le processeur. Elles sont de deux types : les séquences d’instructions et les données sur lesquelles vont opérer ces instructions. 2. L’unité arithmétique et logique Elle exécute sur les données

rotations les comparaisons les calculs de compléments etc. Exemple : (A) + $90 avec (A) = $80 10010000 10000000 C 100010000 Les registres internes 2. Le registre d’état CCR V ( oVerflow = débordement ) : positionné à 1 lorsque l’opération arithmétique a généré un débordement de l’accumulateur utilisé en complément à 2. Exemple : (B) + $80 avec (B) = $9F 10011111 10000000 V 100011111 Les registres internes 2. Le registre d’état CCR Z ( Zéro = Nul ) : passe à 1 lorsque le résultat de

d p(0)d φ(0)=R0,103×303×3R0,1.⋯.Rj-1,j03×303×3Rj-1,j.I3×3-Pi,n(j)03×3I3×3.Ji (j).dqδdp(p)dφ(p) * Effectuer les produits de droite à gauche * Introduire une variable Ei chaque fois qu’un élément fait intervenir plus d’une opération arithmétique 4. Calcul de dX (vitesse de translation et de rotation de l’OT) 4.1. Calcul de dXp (vitesse de translation de l’OT) (coordonnées cartésiennes) dXp =d O0On+1 (0)=dXdYdZ = d p0 + d φ0˄ OnOn+1 0 4.2. Calcul de dXr (vitesse de rotation de l’OT)

nombre ou de formule. Une cellule est référencée par une lettre et un N° ou même par un nom. • Les classeurs : permettent d’organiser plusieurs feuilles de calcul et/ou graphique d’un même travail. • La formule de calcul : est une expression arithmétique et/ou logique construite à partir des règles de gestion, permettant d’exprimer les relations existant entre les données, d’effectuer des opérations et générer des résultats (SOMME - MOYENNE – MIN – MAX • La table : Une table est un regroupement