Code de déontologie médicale

ACTIVITES POUVANT ETRE ASSOCIEES • Encadrer les stagiaires (employé de pharmacie, élève préparateur, étudiant en pharmacie). • En officine, vendre des produits parapharmaceutiques (cosmétiques...) et de l'appareillage médical. • Possibilité d'effectuer certaines analyses médicales dont la liste est prévue par la loi. • Etendre son rôle d'éducateur sanitaire aux soins et conseils, dans les limites de ses compétences. • Faire des garde de nuit et des garde le dimanche et les jours fériés. 6. DANGERS

sont atteints les enfants. Pour notre situation, on peut citer l'infirmier, les éducateurs spécialisés, les moniteurs éducateurs, les psychomotriciennes.De plus, une diététicienne participe ponctuellement au suivi des soins. Enfin, Chloé a un suivi médical par son médecin généraliste.a) Conceptogramme des acteurs professionnelsb) Réflexion générale sur les professionnels identifiés dans la situationInfirmier Pour exercer ce métier, il faut obtenir le Diplôme d’État d'infirmier (DEI) après une formation

DEONTOLOGIE PROFESSIONNELLE 25/09/2006 14:55 Page 1 Déontologie du commissaire aux comptes Aide à la réflexion Code de déontologie : G L’indépendance des commissaires aux comptes G Les outils méthodologiques Guide pratique Septembre 2006 IFEC - Institut Français des Experts-comptables et des Commissaires aux comptes 139 rue du Faubourg Saint-Honoré - 75008 Paris - Tél. : 01 42 56 49 67 - Fax : 01 42 25 52 61 - Mail : ifec@ifec.fr - Site : www.ifec.fr DEONTOLOGIE PROFESSIONNELLE

pénales qui manifeste l’attachement du législateur. Par ailleurs, il y a un très grand nb d’infractions obstacles qui sont des infractions de prévention. Par exemple, interdiction de la conduite en état alcoolique (code de la route L234-1). La mise en danger de la personne d’autrui (code pénal art 121-3 alinéa 2 et 223-11). Dernier exemple, l’administration de substance nuisible pour la santé (Cp 222-15). L’Etat français ne peut plus sanctionner par la peine de mort. Protection de la vie humaine importante

particularité de la médecine B : L’éthique médicale C : Responsables de production des normes médicale : D : Evolution de l’éthique médicale II : L’Association Médicale Mondiale « AMM » : A : L’éthique médicale d’un pays à l’autre B : Le rôle de l’AMM C : L’AMM et éthique D : Individus et éthique médicale Conclusion Bibliographie Introduction L’éthique a toujours été une composante essentielle de la pratique médicale. Les principes éthiques comme le respect

ARNm, traduction (passage ARNm->chaîne polypeptidique), maturation de ou des chaînes polypeptidiques et assemblage en une protéine. Le code génétique correspond à une étape principale: le passage ARNm-> chaîne polypeptidique. C'est l'étape la plus rigide et la mieux connue. Pour "simplifier" dans le manuel scolaire Bordas (p 179) on présente un FAUX code génétique dans lequel les codons de l'ARNm sont remplacés par les triplets de base de l'ADN (U est simplement remplacé par T). L'ensemble

peut se vérifier à l’aide de certain texte de droit. Dans les textes de droit il y a de la morale. Par exemple l’article 1034 alinéa premier du Code civil ,affirme que les contrats conclus entre deux personne sont revêtu d’une force obligatoire , cette article ne fait que respecter le respect de la parole donnée. , De plus dans l’art 1016 du code civil, interdit le dol, des tromperies lors de conclusion d’un contrat. Il ne faut pas forcer un individu avec des manouvres frauduleuses pour amener

des domaines, le droit ne contient aucune référence à la morale. Tout d’abord, le droit peut être tout à fait indifférent à toute considération morale parce que les problèmes à résoudre sont seulement techniques, comme dans des matières telle que le code de la route, la comptabilité, le droit constitutionnel ou la plupart des règles fiscales dont le seul but cherché est de faire rentrer de l’argent pour alimenter le budget des collectivités publiques. Parfois aussi le droit s’affranchit volontairement

d’euthanasie. Cependant durant les années 1970, la notion « d’acharnement thérapeutique » émerge et c’est dans ce cadre que s’opère un retour à un emploi plus proche du sens initial, tout en lui ajoutant des acceptions nouvelles. En effet, les avancées médicales concernant la préservation et le prolongement de la vie ont connu des progrès décisifs, et c’est alors que s’est posée la question des limites à prévoir aux pratiques de « maintien de la vie ». Corollairement, des débats eurent lieu au sujet de

formidables progrès, notre durée de vie a considérablement été allongée. Dans ce cadre, qui offre le meilleur accompagnement médical possible en termes de prise en charge de la douleur, tout malade peut être réanimé et maintenu en vie presque indéfiniment. La question se pose donc de savoir, si l’euthanasie est un acte légitime dans le sens où une personne peut, étant sous une tutelle médicale, demander sa mort. Pour répondre à ce problème, il serait intéressant d’étudier la question morale qu’implique cette