Codominance

individus. La sexualité crée donc des individus différents de leurs parents par brassage génétique des allèles apportés par les deux parents au cours de la méiose et de la fécondation créant de nouvelles associations alléliques. Notion de Codominance : Il est possible que deux allèles du même gène soient dominants. Dans ce cas, lorsque ces deux allèles sont réunis les deux caractères se mélangent. IV/ Les anomalies de la méiose Pb : Comment expliquer cette anomalie du nombre de chromosomes 

exemple, un enfant possédant deux fois l'allèle « A » pour le gène du groupe sanguin sera de groupe A, alors qu'un enfant hétérozygote avec un allèle « A » et un allèle « B » sera de groupe AB. Ces deux allèles s'expriment également : on parle de codominance. Mais tous les allèles ne sont pas codominants : l'allèle O (zéro, c'est-à-dire pas de marqueur) ne l'est pas. Un homozygote « O/O » est de groupe O, mais un hétérozygote « A/O » est de groupe A, « B/O » de groupe B. On dit que l'allèle O est récessif

PROPORTIONS MENDELIENNES CLASSIQUES................................................. 17 1) EN MONOHYBRIDISME ......................................................................................................................................... 17 a) Codominance .................................................................................................................................................. 17 b) Létalité .................................................................................

phénotype. * Un organisme avec des oreilles identiques est un homozygote et ceux avec des allèles différents sont hétérozygotes. * Résultat : Monohybridisme : 3 ;1 (avec dominance) => 2 phénotype différent. Monohybridisme : 1 ;2 ;1 ( avec codominance) => 3 phénotypes différents Dihybridisme : 9 ;3 ;3 ;1 (caractères indépendants) => 4 gamètes différents. * Les gamète ce sont se que les parents ont donné.

multipolaire. En fin, les prémices du nouveau découpage de l’espace mondial, les vagues successives de décolonisations et la naissance du tiers-monde à la Conférence de Bandung en 1955 donnent consistance à des Etats qui tentent d’échapper à la codominance des systèmes antagonistes de la guerre froide. C’est dans ce contexte que le sport devient peu à peu un moyen incontournable d’affirmer non pas sa supériorité mais son droit à l’indépendance. Au tournant des années soixante, un certain nombre de

elle est vraie ou fausse 1) Un individu de phénotype récessif est toujours homozygote. 2) Un individu hybride pour un caractère donne un seul type de gamète. 3) Un gamète ne peut contenir qu'un seul allèle pour un caractère. 4) Dans le cas de codominance un homozygote et un hybride ont le même phénotype. 5) Dans le cas mono hybridisme avec dominance absolue, le croisement de deux hybrides donne trois génotypes. 6) Un individu de phénotype dominant peut être un hybride ou de race pure. Exercice

|-résultats statistiques |puis dégager la notion de dominance | | |théoriques de la F1 et de | | | |intermédiaire ou codominance ; | | |la F2 d’un monohybridisme | | |b. croisement des hybrides F1 |Constater la réapparition des 2 aspects |

niveau du phénotype. L’allèle est qualifié de dominant s’il s’exprime toujours au niveau du phénotype même en un exemplaire. Il existe au cours de la présence de 2 allèles se traduit au niveau du phénotype, à ce moment là on parle de codominance. La notion de codominance récessivité, conduit à ce qu’un même phénotype peut correspondre à plusieurs génotypes. 2) plusieurs gènes pour un même caractère. Un caractère phénotypique qui dépend de l’expression d’un seul gène est qualifiée de mono génique

caractère intermédiaire. Comme le croisement de deux visons kohinor peut donner soit un vison noir, soit un vison kohinor, c’est que le vison kohinor possède deux allèles, un pour blanc (B) et un pour noir (N) . Il a pour génotype B /N, c’est une codominance. Les deux allèles s’expriment chez l’hétérozygote qui présente un phénotype intermédiaire. Le phénotype traduit le génotype. I) Etude de la transmission de deux caractères héréditaires 3 A) Résultats de croisements chez la drosophile

n'apparaît que chez les individus possédant l'allèle O en double exemplaire: il est récessif Deuxième cas: l e phénotype résulte de l'expression des deux allèles, qui interviennent donc « à part, égale » dans la réalisation du phénotype. On parle de codominance. C'est le cas du groupe sanguin AB qui résulte de l'expression de l'allèle A d'une part et de l'allèle B d'autre part. Troisième cas: le phénotype résulte de l'expression d'un seul des deux allèles mais la quantité de produit formé (synthèse