Codominance

Fleurs [ Blanche] P: (RR) X (BB) 0,5 Production des gamètes gamètes ( R ) Fécondation ( R B) fleurs [ Rose] 100 % 0,5 Comme on n’obtient pas des fleurs du phénotype d’un des 2 parents,cela veut dire que les 2 caractères s’expriment. Ils sont codominances ou les 2 allèles sont codominants. Deuxième croisement : Soit le caractère violet V le caractère B Fleurs [ violette] X Fleurs [ Blanche] P: (VV) X (BB) ( B) Production des gamètes gamètes ( V ) Fécondation ( V B) fleurs [ violette] 100 % comme

l'allèle de la maladie ne s'exprime pas il est donc RECESSIF.(m) Allèle normal dominant. (s) Exemple des groupes sanguins. > Un individu homozygote A exprimera une molécule A et sera donc de groupe sanguin A > Un individu ayant une codominance A et B sera de groupe sanguin AB car les deux molécules seront présente sur les hématie. Origine des troubles Les cellules des bronches du tubes digestif fabriquent le mucus. Ces cellules possédent des canaux dans leurs membranes pour permettrent

Deuxième partie : Les limites du modèle de Mendel 1) Les limites du modèle de Mendel a. Le principe de codominance ou dominance incomplète : Quand on a un génotype hétérozygote. On obtient une nouvelle couleur (rose) après avoir croisée une fleur rouge et une blanche de souche pure. Cette nouvelle expression du gène s’appelle la codominance et la loi de Mendel ne l’explique pas. b. Le polyallélisme : C’est quand il existe plus

Résolution des problèmes de génétique Génétique des haploïdes  cas d’un couple d’allèle ou monohybridisme Chaque gène est présent en un seul exemplaire dans la cellule, donc pas de relations de dominance, de récessivité ou de codominance. On croise une souche de Sordaria à spores blanches avec une souche de Sordaria à spores noires. On observe les résultats du croisement en classant les différents types d’asques présentes dans les périthèces suivant la disposition des spores. Les

deux allèles du gène en question. Le croisement n°1 entre deux lignées pures (homozygotes) blanche et noire aboutit à une descendance 100% bleue. Aucun des deux allèles n'est strictement dominant ou récessif : les deux s'expriment et on parle de codominance. On écrira donc les deux allèles avec des majuscules, soit respectivement B et N. Le premier croisement s'écrit alors, au niveau des génotypes (et des phénotypes entre parenthèses) : P: F1 : Le second croisement s'écrit alors : P : N/B (bleu de

 Bilan : Pour un grand nombre de gènes, les individus sont hétérozygotes, c'est à dire qu'il a hérité de ces parents, un allèle paternel différent de l'allèle maternel par rapport au gène considéré.  2) notions de dominance, récessivité et de codominance (1°S) exemple : on considère le gène responsable des groupes sanguins, qui possède 3 allèles A, B et O. (voir 1°S) |  Relation de dominance/récessivité |L'allèle A est dominant sur l'allèle O | Génotype :[pic]

dominance des allèles du gène étudié - Un allèle est dominant s’il permet l’expression du phénotype en étant présent seulement en un seul exemplaire. Un allèle est récessif si pour s’exprimer il doit être présent en 2 exemplaires. On parle de codominance quand les deux allèles s’expriment en même temps. Si les parents sont sains mais qu’un de leur enfant est atteint d’une maladie on en déduit que l’allèle responsables de cette maladie est récessif car il ne s’exprime que lorsqu’il est en double

est homozygote (les deux allèles sont identiques), son phénotype est celui déterminé par l’unique version du gène qu’il possède. Il se peut, cependant, que le phénotype d’un individu corresponde à l’expression des deux allèles : on dit qu’il y a codominance entre ces allèles. • L’étude du devenir des allèles au cours de la reproduction sexuée dépend du nombre de gènes étudiés. Dès que l’on considère plusieurs gènes (au moins deux), l’analyse génétique se fait en tenant compte du caractère lié

e) Une fille peut être malade si son père est lui-même atteint et que sa mère estconductrice.12) La couleur de la peau chez l’Homme est contrôlée par un ensemble de gènes, chacun ayant au moins deux allèles. C’est un exemple de : (1pt) a) Codominance b) Polyallélisme c) D’hérédité polygénique d) D’hérédité quantitative e) D’interaction intergénique 13) Un crossing-over est un échange entre : (1 pt) a) les deux chromatides d'un chromosome dédoublé b) les chromosomes de deux paires chromosomiques

souris noires / PHENOTYPE INTERMEDIAIRE 16,8 souris albinos (PHENOTYPE INTERMEDIAIRE mais ces resultats ne sont pas conforment aus resultats qu'on obtient si c'etait un monohybridisme avec dominance (F1xF1= 75% DOMINANT 25% RECESSIF ou codominance 25% PARENT 1 25% PARENT 2 50% INTERMEDIAIRE ce n'est donc pas un monohybridisme et l'hyppothése eestt infirmée !on doit donc formuler une autre hypothése et la verifier != l'hypothése : c'est un cas de dihybridisme !t,aprés croisement, 3