Codominance

croise les deux lignées parentale ont obtient des hétérozygotes qui ne sont pas pile à la moyenne comme tout à l’heure. On défini alors dB qui est l’effet de dominance, l’écart pour les hétérozygote et la moyenne pour les deux parents : d = 0 : codominance (cas précédent) d = a : dominance totale d < a : dominance partielle (notre cas) d > a : superdominance On perd la relation de linéarité. Exemple du gène pygmée chez la souris avec un effet de dominance : Une lignée à 6g et une lignée à 14g, la

paternel différent de l'allèle maternel par rapport au gène considéré. 17. Notions de dominance, récessivité et de codominance : Dominance : qualité d’un gène qui supprime l’expression de son allèle (dit allèle récessif) chez un hétérozygote. Récessif : gène dont l’expression est masquée par son allèle quand ils sont tous deux présents chez un individu diploïde. Codominance ou dominance intermédiaire : l’hétérozygote présente un phénotype intermédiaire entre les deux parents

Code génétique : ensemble des règles de correspondance et des signes de ponctuation permettant la traduction du "langage" des acides nucléiques (codons formés de trois nucléotides dans l'ADN et l'ARNm) en celui des protéines (acides aminés). Codominance : expression phénotypique simultanée de deux allèles différents d’un gène. Codon : unité de codage de l'information génétique correspondant à la succession de trois nucléotides dans l'ADN et l'ARNm permettant de spécifier un acide aminé.

test. Coccolithophoridés : algues unicellulaires planctoniques munies d'un test calcaire formé de plaques microscopiques, les coccolithes. C'est l'accumulation de ces tests dans les mers du Crétacé qui a conduit à la formation de la craie. Codominance : expression des deux allèles différents d’un gène. Col de l’utérus : extrémité inférieure de l’utérus faisant saillie dans la partie supérieure du vagin. Collision : affrontement de deux plaques lithosphériques convergentes après disparition

multipolaire. En fin, les prémices du nouveau découpage de l’espace mondial, les vagues successives de décolonisations et la naissance du tiers-monde à la Conférence de Bandung en 1955 donnent consistance à des Etats qui tentent d’échapper à la codominance des systèmes antagonistes de la guerre froide. C’est dans ce contexte que le sport devient peu à peu un moyen incontournable d’affirmer non pas sa supériorité mais son droit à l’indépendance. Au tournant des années soixante, un certain nombre de

- Identifier l’un des couples dont la descendance permet de déterminer facilement la dominance complète (cas d’une anomalie à allèle récessif) ; - Identifier l’un des couples dont la descendance permet de déterminer facilement la codominance (cas du polyallélisme) ; - Montrer que l’anomalie ne saute pas de génération et que chaque descendant malade a au moins un ascendant malade (cas d’une anomalie à allèle dominant). 3-Analyse du pédigrée L’homme A malade et sa femme

b)  croisement  des   hybrides  F1 entre eux     ­résultats numériques    ­résultats statistiques        c)  analyse  et  interprétation   des  résultats  des  deux  croisements,    ère ­vérification  de   la  1​   loi  de Mendel    ­notion  de  codominance ou  dominance intermédiaire,    ­vérification  de   la  2è  loi de   Mendel,    ­Echiquier  de  la   F1 puis de   la F2.  Dégager  la  notion  de  croisement­test  ou  test­cross,    Expliquer  le  principe  du  test­cross  par  le  testeur  récessif

d’exemples (albinisme, groupes sanguins, drépanocytose, thalassémie...), on montrera comment un phénotype donné peut résulter de l’expression de génotypes différents. Ensuite, on introduira les notions d’homozygotie, d’hétérozygotie, de dominance, de codominance et de récessivité. (TP) Maladies héréditaires autosomales et gonosomales A partir d’analyse d’arbres généalogiques, on mettra en évidence le mode de transmission autosomal, gonosomal et récessif de certaines maladies héréditaires. On mentionnera

polymorphisme, les parents sont souvent hétérozygotes pour de nbx gènes. ( Dans le cas d’un ind. hétérozygote, le phénotype peut être déterminé par un seul des 2 allèles (qualifié alors de dominant par opp. à récessif). Il existe aussi des rapports de codominance. Pour connaître le génotype d’un individu, on fait un test-cross avec un parent homozygote récessif. ( Test cross : F1 permet d’obtenir le rapport de dominance. II. Le brassage génétique induit par la méiose : Chaque méiose crée une nouvelle

progressives du monde multipolaire. Prémices du nouveau découpage de l’espace mondial, les vagues successives de décolonisations et la naissance du tiers-monde à la Conférence de Bandung en 1955 donnent consistance à des Etats qui tentent d’échapper à la codominance des systèmes antagonistes de la guerre froide. C’est dans ce contexte que le sport devient peu à peu un moyen incontournable d’affirmer non pas sa supériorité mais son droit à l’indépendance. Au tournant des années soixante, un certain nombre de