Codon

naturelle et dérive génétique (programme de Seconde) Vocabulaire : Diploïde, haploïde, méiose, phases du cycle cellulaire eucaryote, mitose, Réplication semi conservative, ADN polymérase, Allèles, mutations, Transcription, traduction, pré-ARNm, ARNm, codon, génotype, phénotype, Catalyse, substrat, produit, spécificité. GEOLOGIE - L’apport des études sismologiques et thermiques à la connaissance du globe terrestre - La connaissance du globe à travers la connaissance de la croute continentale

| | | |- principe de la transcription : un seul brin d’ADN sert de modèle | | | |- principe de la traduction : un codon d’ARNm correspond à un acide aminé | | | |Adopter une démarche scientifique |

cellulaire.Code génétiqueSystème de correspondance des triplets de nucléotides de l'ARNm avec les acides aminés. Il est universel, redondant et univoque.CodonTriplet de nucléotides de l'ARNm déterminant un acide aminé particulier ou aucun dans le cas des codons STOPDDélétionmutation par disparition d’un nucléotide. DiploïdeSe dit des cellules possédant des chromosomes homologues (paires de chromosomes)Dominantun allèle est dominant s’il s’exprime toujours (même chez les hétérozygotes)DuplicationPhénomène

protéine Bétaine Aldéhyde Déshydrogénase (BADH2) dans les variétés non aromatiques. Cette BADH2 inhiberait la biosynthèse de la 2AP. Une mutation (délétion) sur le gène codant la BADH2 entrainerait la troncature de cette dernière (apparition d’un codon stop) et son inactivation partielle ou totale. Cependant, les dernières études ont montré qu’un certain nombre de riz aromatiques provenant d’Asie du sud ne portait pas l’altération alors qu’il contenait de la 2AP. La suppression des 8pb dans l’allèle

est un polymère d'acides aminés reliés entre eux par des liaisons peptidiques ). On remarque alors qu'il y a une séquence nucléique pour les allèles A et B et une pour les acides aminés. De plus, pour une suite de 3 nucléotides bien précis (appelé codon), on voit qu'il est associé un acide aminé qui lui est propre. Donc il y a bien un lien entre le support ADN et les protéines, bien que la synthèse des protéines ait lieu dans le cytoplasme alors que les informations génétiques sont contenues dans

traduit en protéines dans le cytoplasme. La traduction correspond à l’expression dans le cytoplasme de l’information génétique portée par l’ARNm en séquence d’acides aminés (polypeptide). Elle nécessite : – Des ribosomes, organites de lecture des codons de l’ARNm et d’assemblage des acides aminés. – Des acides aminés libres du cytoplasme et leur transfert au niveau des ribosomes. – Des enzymes (et de l’énergie). – La traduction comporte trois phases : l’initiation, l’élongation et la terminaison

5 nous montre la séquence nucléotidique du gène de responsable de la tyrosinase pour les deux races de lapin ainsi que la chaine peptidique de la tyrosinase pour les deux races. En effet une enzyme est une protéine. Or on observe une différence de codon à partir du 4 jusqu’à la fin de la séquence. Cependant on sait que grâce au phénomène de traduction et de transcription un changement dans la séquence nucléotidique entraine par conséquent un changement dans la chaine peptidique que l’on observe dans

unité de base nucléiques. Séquence : Une séquence biologique est la description de l'enchaînement des éléments (ou monomères) qui constituent une macromolécule biologique, acide nucléique ou protéine Traduction : La traduction est l'interprétation des codons de l'ARNm en acides aminés Transcription : est un processus biologique omniprésent important dans la transmission de l'information cellulaire présente dans l'ADN. Elle se déroule dans le noyau d'une cellule (chez les eucaryotes) et consiste à copier

souvent le cas lorsqu'il y a insertion ou délétion d'un ou deux nucléotides, ou que la mutation implique la présence d'un autre acide aminé que celui initialement présent. Il peut aussi très bien ne pas y avoir de protéine du tout (rencontre d'un codon stop dès le début de la traduction). 3.2 Dominance et récessivité Lorsqu'un allèle donné s'exprime chez les individus homozygotes pour ce gène mais aussi chez les individus hétérozygotes, on dit qu'il est dominant. Lorsqu'un allèle donné ne

t en protéines dans le cytoplasme.     La traduction correspond à l’expression dans le cytoplasme de l’information génétique portée  par l’ARNm en séquence d’acides aminés (polypeptide). Elle nécessite :  – Des ribosomes, organites de lecture des codons de l’ARNm et d’assemblage des acides  aminés.   – Des acides aminés libres du cytoplasme et leur transfert au niveau des ribosomes.   – Des enzymes (et de l’énergie).  – La traduction comporte trois phases : l’initiation, l’élongation et la terminaison