Coercition

Pouvoir et autorité en éducation Pouvoir : trois critères pour définir le pouvoir  La légalité que confère l’institution Les légaux de coercition et de gratification La compétence : tout pouvoir exercé sans compétence est source de conflit » Le pouvoir est caractérisé par son rapport à la loi L’autorité : 2 Critères pour définir l’autorité : La légitimité tout pouvoir exercé sans autorité est source de conflit Le charisme ou la valeur reconnue à la personne Le distinguo entre la fonction (le statut)

qu'elles sont durables et constantes dans le temps, entre l'entrée en vigueur et la modification ou l'abrogation. II/ MISE EN ŒUVRE DE LA RÈGLE DE DROIT A/ A travers le caractère spécifique de la règle de droit à savoir la coercition étatique Tout d'abord, la coercition étatique est une contrainte émanant de l’État. En effet, la règle de droit est rendue obligatoire et sanctionnée par l’État. Il est nécessaire qu’elle soit respectée et donc elle doit être imposée, rendue obligatoire. Cependant

Soft power (C) 1. Capacité d’un État à combiner la coercition et la cooptation pour influencer le comportement d’un autre État ............................................ A B C 2. Capacité d’un État à inciter un autre État à adopter ses propres valeurs en raison de l’attractivité du modèle qu’il incarne ............................. A B C 3. Capacité d’un État à influencer le comportement d’un autre État par des incitations ou par la coercition ..................................................

cas n'apporte pas le sentiment de coordination consciente parmi les participants, en revanche celle issue du second cas implique l'établissement de contrats. Enfin, le troisième cas donne lieu à un régime développé par les acteurs dominants via la coercition, la cooptation ou la manipulation, dans lequel le consentement n'est pas explicite. La recrudescence des régimes issus d'ordres négociés est expliquée par Young par le désir des Etats à satisfaire leur intérêt propre au sein d'un système mondialisé

manières d’agir, de penser et de sentir, extérieures à l'individu, et qui sont doués d'un pouvoir de coercition en vertu duquel ils s'imposent à lui. Le fait social remplit plusieurs caractéristiques : * Généralité CAD on doit trouver un élément qui se répète : constance sur le plan collectif * Extériorité CAD un fait extérieur à l’individu (ne nait, ni ne vit avec l’individu) * Coercition CAD qui s’impose à nous, il nous est naturel * Histoire Quand ces critères sont réunis, il faut

L’APPORT D’APTER À L’ANALYSE DU SYSTÈME POLITIQUE David Apter met en exergue dans son analyse systémique du système politique la relation entre communication et coercition. Il considère que chaque système politique a deux impératifs importants : celui d’établir la communication entre lui et son environnement et celui du monopole de la coercition. Le système doit établir un certain équilibre entre ces deux éléments qui sont contradictoires. En effet, un système extrêmement coercitif va induire une rupture

sentir extérieures à l’individu et qui sont douées d’un pouvoir de coercition en vertu duquel elles s’imposent à lui ». Il s’intéressera à la société dans son fonctionnement normal et pathologique. Il étudiera le suicide. Il fera notamment la différence entre le « suicide égoïste » (qui est le fait d’un trop fort degré d’individuation et le résultat d’une faible intégration) et le « suicide altruiste » (qui est le fait d’une forte coercition sociale et d’une individuation trop faible). 1.2.5. Sigmund

occidentale dans le sens que l'État et institutions politiques sont systématiquement associées à l'exercice d'une autorité. Comment ces sociétés arrivent-elles alors à subsister ? Clastres montre ici que l'exercice du pouvoir ne se fait pas par la coercition dans ces sociétés, contrairement à ce qu'on a l'habitude en Occident. Il cite le texte de 1948 de Robert Lowie, anthropologue des civilisations nord-américaines, qui établit trois récurrences dans la chefferie des tribus étudiées : le chef est « faiseur

la finalité de l'homme dans l'Univers ; – principes immuables, découverts par la raison, permettant d'éprouver la valeur des règles de conduite admises par le droit objectif, qui dérivent du comportement « naturel » (instinctif) desêtres. COERCITION La coercition est l'action de contraindre, exercée sur quelqu'un, pour le forcer à agir ou à s'en abstenir. Elle existe notamment par contrainte physique et/ou psychologique. L'usage légitime de la force de la part d'une autorité peut exister : - dans

évolutions sociales. Au libéralisme classique fondé davantage sur la liberté en tant que droit négatif (protection contre la coercition directe du souverain), s'oppose parfois le libéralisme social fondé sur la liberté en tant que droit positif (protection exigée du souverain contre la misère matérielle ou la pression morale communautaire, quitte à accorder au souverain un droit de coercition sociale à cette fin). Ainsi le libéralisme peut se manifester de façon forts diverses, voire opposées. Le libéral peut