Coercition

préservatifs. Aujourd’hui, on développe toutes sortes de campagnes et de projets autour du planning familial, comme le fait de proposer des crédits aux parents qui n’ont pas plus de deux enfants. Ces projets s’accompagnent souvent de mesures de coercition, directe et indirecte. Les gouvernants ont beaucoup de mal à réduire le nombre d’enfants procréés dans chaque famille. Les enfants constituent une assurance-vie pour la plupart des pauvres. Ceux-ci n’ont pas d’argent pour acheter des machines, et

anonymement ses destinataires. Elle ne dépend pas de la personnalité de tel ou tel individu. Ainsi soumis aux mêmes lois, les citoyens sont juridiquement égaux. - obligatoire et sanctionnée car son respect est assuré par la force publique (la coercition) Coercition : contraindre quelqu'un à adopter un comportement aux options qui obligent privation La règle de droit peut intervenir en toutes matières (ex. Singapour : interdit d'acheter des chewings-gums ; Suisse : interdit de tirer la chasse d'eau au

Tocqueville Pour Tocqueville, le changement social résulte de l'aspiration à l'égalité des hommes. Pour lui, si l'humanité doit choisir entre la liberté et l'égalité, elle tranchera toujours en faveur de la seconde, même au prix d'une certaine coercition, du moment que la puissance publique assure le minimum requis de niveau de vie et de sécurité. L'enjeu, toujours d'actualité, est l'adéquation entre cette double revendication de liberté et d'égalité : « les nations de nos jours ne sauraient

poser au départ une définition préalable,qui permet de constituire et de mieux cerner l’objet de la recherche.Pour lui,les faits sociaux sont les manières d’agir,de penser et de sentir extérieures à l’individu,et qui sont dotées d’un pouvoir de coercition que s’impose aux individus.Il faut traiter les faits sociaux comme des choses càd on peut les observer scientifiquement comme ils étaient des objetets naturels,et sont donc des objets de science. Il dit bien en effet le coup de force qu’il réalise

produites par l’individu que nous sommes. Ces choses préexistent et nous n’en sommes pas les auteurs mais bien les héritiers. Quelque chose agit hors de l’individu et le fait agir et penser. Exemple : « Sous la plage les pavés » Cette idée d’une coercition qui serait présente même lorsque nous pensons exercer notre liberté a, par exemple, été soulignée dans le travail mené par Jean-Claude Kaufman sur la pratique des seins nus sur la plage[1] Il constate dans ces analyses que cette pratique répond

contestable de l’idée d’absence de coercition dans les sociétés amérindiennes étudiées par Clastres et plus largement dans les sociétés traditionnelles. Lapierre réfute la rhétorique dualiste de Clastres (sociétés coercitives/sociétés non coercitives, etc.). Il conteste l’idée selon laquelle les sociétés amérindiennes seraient des sociétés d’abondance et de loisirs, par essence égalitaire, dénuées de toute stratification sociale, comme de toutes formes de coercition et de violence, de domination et

pouvoir obtenir, par grâce ou compétence, par rayonnement ou ascendant, le consentement d’un sujet ? L’autorité se rapporte à la dignité, non point à la contrainte ou à la coercition. Devant l’autorité, l’on s’incline, car elle se fonde sur le prestige. Elle renvoie à l’ascendant, et non point à l’usage de moyens externes de coercition. Etrangère à la force, mais aussi à la persuasion rationnelle, elle ne se révèle pas de l’ordre du discours argumenté. « L’autorité […] est incompatible avec la persuasion

Etat entre divers groupes. » - Le mot politique peut être défini au masculin, le politique, en s’inspirant de l’analyse Wébérienne, comme « un champ social dominé par des conflits d’intérêts, régulés par un pouvoir lui-même monopolisateur de la coercition légitime ». Ces 3 facettes ne sont pas antinomiques, mais renvoient plutôt à des perspectives différentes. Parler du politique implique une vision globale et savante des phénomènes politiques, et surtout, une recherche systématique de ses déterminants

une privatisation des secteurs publics. Ils se fondent sur un fort individualisme qui réclame la liberté des mœurs, une suppression des frontières et un anti militarisme. Pour ce qui est de l’impôt, l’école libertarienne conteste la notion de coercition dans l’impôt. Pour ces auteurs, l’impôt doit être un choix et non une obligation. En effet la liberté engendre naturellement l'ordre et donc de ce fait il serait normal que chacun ait la possibilité d’accepter ou non de payer l’impôt. Murray

sociaux, relation fondée sur la légitimité et sur la contrainte. C’est une relation asymétrique par laquelle un acteur social obtient d’autres acteurs des comportements qu’il n’aurait pas obtenu spontanément. Au-delà de la légitimité, il peut avoir coercition. Cette dernière approche sera privilégiée. Le pouvoir politique s’appuie sur une concetpion du bien commun. Son exercice revient à une forme de gouvernemnet qui s’exercer sur une population sur un territoire donné. Il faut mobiliser pour cela des