Coercition

référence à l’une ou l’autre des sources suivantes.  John FRENCH et Bertran RAVEN ont identifié des sources de pouvoir que nous pouvons regrouper en deux catégories.   Les pouvoirs de position   Ceux-ci comprennent : -        le pouvoir de coercition  fondé sur la capacité de contraindre et d’exercer des sanctions. -        le pouvoir de renforcement fondé sur la capacité d’offrir une faveur ou un avantage apprécié à une personne ou à un groupe de personnes ; d’autres auteurs l’appellent « pouvoir

que pure chimère et faux clinquant. 3. - FREUD On acquiert (...) l'impression que la civilisation est quelque chose d'imposé à une majorité récalcitrante par une minorité ayant compris comment s'approprier les moyens de puissance et de coercition. Il semble alors facile d'admettre que ces difficultés ne sont pas inhérentes à l'essence de la civilisation elle-même, mais sont conditionnées par l'imperfection des formes de culture ayant évolué jusqu'ici. De fait, il n'est pas difficile de mettre

certains, l'état est une société, une sorte de vie d'un ensemble de personnes, une communauté d'habitants ; c'est ici une approche sociologique. D'autres définissent l'état comme étant un pouvoir, une organisation de la contrainte, un appareil de coercition. Les 2 approches sont complémentaires. Il est indéniable que l'homme ne vit pas seul, il y a à la base, la famille, puis les associations, l'union de familles au sein des cités, qui existe depuis des temps immémoriaux. Dès lors qu'on vit ensemble

transformation de leur société (augmentation démographique et apparition de l’envie de pouvoir) les conduisait vers la formation d’un État, tout en concluant que le prophétisme par essence lui aussi conduisait à la mise en place d’un pouvoir de coercition. Pierre Clastres ne montre pas les facteurs qui sont à l’origine de l’apparition de l’État et sa principale interrogation sur l’origine même de l’État reste sans réponse. Cependant il démontre que les sociétés dites primitives ne sont pas «

personnel et le serment: chef barbare lié à ses sujets qui lui prètent un serment de fidélité, serment par oral et publiquement. Le Roi parle et le sujet obéit. Le « Banum », le droit de Ban, c'est le droit de commander, donner des ordres, droit de coercition, appartenant au Roi. Le « Mundium », le Mund exprime le devoir et le pvr de protéction du Roi à l'égard de ceux placés sous sa parole. Un serment entre le Roi et le peuple, lien réciproque. -Patrimonialité du pouvoir: Pouvoir mérovingien basé

(notamment entre eux en « factions ») : l 6 « de l’Eglise divisée » ; l 5 «  le peuple désuni » ; l 17 «  répandre et semer la division » Métaphore filée de la course : l 7 «  sans obstacle » ; l 16 « lâcher la bride » ; l 18 «  aucune barrière ni coercition, des lois the village qui brident sa course et lui fassent obstacle » b) Stratégie Politique La sentence, l 11-12 «  il n’y a point de bête au monde qui soit tant à craindre pour l’homme que l’homme » présent de vérité générale, valeur universelle

Hardin, la « tragédie des communs » entraîne une conséquence imparable. Pour prévenir l’effondrement environnemental et démographique, il faut recourir à des formes sévères de gouvernement, relevant – selon une expression restée célèbre – d’une « coercition mutuelle décidée en commun ». Pour lui, les ressources naturelles doivent être gérées sur un mode impératif, selon une alternative : pour durer elles devraient être soit privatisées, soit contrôlées par une instance politico-administrative supérieure

n’est pas chose évidente pour des entités souveraines qui, depuis des siècles, appréciaient librement le recours ou non à la force armée dans le cadre de leur politique. En effet, dans le droit interne, l’État possède exclusivement le pouvoir de coercition tandis qu’à l’échelon international, il se trouve sur un pied d’égalité avec tous les États. Le recours à la force contre un État était alors un révélateur important de la souveraineté et de la capacité de celle-ci à s’imposer. Néanmoins un long

le monopole de la violence physique légitime. Bourdieu a tout simplement transposé le pouvoir de coercition physique de l’armée au pouvoir de coercition symbolique des autres institutions notamment étatiques de la société. C’est la violence symbolique qui entretient la légitimité de l’institution scolaire. Légitimité n’est pas pour autant pouvoir, c’est-à-dire l’exercice d’une coercition unilatérale sur autrui. Cette notion de légitimité au cœur du concept de domination suppose d’appréhender

que le directeur général se sent bousculer et il porte ce différent devant le Président du Conseil d’Administration. 3 A- Sur quelles bases le pouvoir est-il réparti entre les principaux acteurs? Bases du pouvoir Légitimité Coercition Récompenses Identification Expertise Directeur général x Directeur adjoint x Secrétaire général x Directeur d’études x Chargés d’études x Pour le directeur général : Un pouvoir légitime