Coercition

qu’elles profitent à tout le groupe ou à l’organisation . Les sources du pouvoir des leaders Le pouvoir lié au POSTE OCCUPE Le pouvoir du TITULAIRE Les récompenses: « si vous faites ce que je demande, je vous donnerai une récompense. » La coercition: « si vous ne faites pas ce que je vous demande, je vous punirai. » La légitimité: « je suis le patron, vous devez exécuter mes ordres. » L’expertise: en tant que réservoir de connaissances et d’informations particulières. La référence: en tant

 »[6]. Ainsi, « l’institution totalitaire est un mixte social, à la fois communauté résidentielle et organisation réglementée […]. Mais il y a d’autres raisons de s’intéresser à ces établissements qui sont, dans nos types de société, des foyers de coercition destinés à modifier la personnalité [du reclus] »[7]. Mais l’auteur nous met en garde quand il dit qu’ « aucun des traits [décrits] ne s’applique aux seules institutions totalitaires et aucun ne se trouve partagé au même titre par chacune. »[8]

le non respect d’une règle de droit est alors sanctionné par contrainte juridique. La contrainte juridique est la monopolisation par l’Etat de la force qui se caractérise par des moyens de coercition spécifiques pour garantir le droit étatique. Les effets des règles de droit et donc des moyens de coercition se ressentent physiquement par l’application des normes. En résulte la formule de WEBER de la définition du pouvoir de l’Etat : “monopole du pouvoir légitime“. Il en résulte, en vue de l’ordre

et à la capacité des personnes produisent leurs effets en France indépendamment de toute décision d’exequatur( principe développé jusqu’ici) , SAUF le cas où ces jugements doivent donner lieu à des actes d’exécution matérielle sur les biens ou de coercition sur les personnes » C) Arrêt BIESKI , 10 février 1971 : Continuité jurisprudentielle Cette limitation au principe de reconnaissance de la décision étrangère sans exequatur pour les jugement d’état des personnes est maintenant solidement ancrée

la théorie générale de l’état, Carré De Malberg voit l’Etat tel « une communauté d’hommes, fixée sur un territoire propre et possédant une organisation d’où résulte pour le groupe envisagé, une puissance suprême d’action, de commandement et de coercition ». Se référant à cette définition et sur l’objet d’étude qui désigne les fonctions et les éléments constitutif de l’Etat, nous traiterons de deux manières le sujet : premièrement en voyant comment se caractérise l’Etat dans l’organisation sociale

l'État lui inflige. Mais si la règle de droit porte sans cesse le lourd fardeau de la contrainte, la sanction étatique l'entoure t-elle nécessairement ? I. La sanction est nécessaire à l'application de la règle A] La sanction conduit à la coercition étatique B] Les caractères de la sanction II. Les limites de la sanction A] La sanction n'est pas inhérente à la règle de droit B] Des problèmes d'équité dans l'application de la sanction Extrait du document: La règle de droit est une

la force des décisions d’ordre physique, moral, intellectuel ou psychologique, à un ou plusieurs individus ou groupes d’individus. Les facteurs déterminants du pouvoir  sont au nombre de cinq (5) : le pouvoir de récompense - le pouvoir de coercition - le pouvoir de légitimité - le pouvoir de référence - le pouvoir d’expertise Les trois premiers types de pouvoir constituent le pouvoir de position, ou Encore le pouvoir formel (on pourrait dire qu’il s’agit du pouvoir en tant que tel)

façon d’éduquer, les moyens mis en oeuvre pour cette éducation. Distinction entre ce qui est de l’ordre des faits et ce qui est de l’ordre de la réflexion. L’éducation comme fait social relève de la contrainte sociale. Il se manifeste car la coercition, la contrainte, « on n’est pas libre d’éduquer ces enfants comme on veut ». le fait éducatif entre dans un cadre préétabli. Il fait référence aux institution, a l’école, aux politique et aux pratique( pratiques des maîtres d’école). La pédagogie

règles de charité mais il s'agit plus de solidarité sociale ou familiale que de charité. La morale, n'implique qu'une sanction «interne» tel que des remords. Alors, que la règles de droit est assortie de sanctions externes, cela est appelé la coercition étatique, comme la prison, la peine (travaux d'intérêt général) ou encore l’amende pécuniaire. Cependant, si la règle de droit a pour particularité d’être sanctionnée par l'autorité publique, cela ne signifie pas qu'elle s'accompagne toujours par

antécédents ; Rejeter le principe du pluralisme causal et préconiser au contraire le principe de l’unicité causale ; Ce sont les structures sociales qui influencent et expliquent les comportements individuels par l’intermédiaire du pouvoir de coercition des faits sociaux. V- Mode de démonstration: Durkheim constitue sa matière première à la fois par les opinions communes sur l’Etat, le droit, la morale, la famille et par les théories philosophiques ou économiques des phénomènes sociaux :