Coercition

et non pas d'actes de guerre, ce que la communauté internationale a mis du temps à reconnaître. a) Peur et coercition Claudine Vidal étudie la question de l'obéissance dans la participation au génocide. Elle cite des enquêtes de Scott Strauss portant sur les génocidaires2. Aux questions portant sur les motivations des participants au génocide, la plus citée est la coercition, à 64 %, liée à l'obéissance à la loi (13%) ; vient ensuite le thème de la guerre entre Hutus et Tutsis (22%), associé

abstraite puisqu’elle prétend régir la vie d’un groupe. Le second caractère commun réside dans la coercition, dans la contrainte à laquelle on soumet les hommes sous peine de sanction. L’objet de toute règle est de définir les comportements auquel les hommes doivent se conformer. La sanction est consubstantielle à toute règle. Une règle est sanctionnée ou n’est pas règle. Communes à toutes règles, coercition et abstraction ne sont donc pas distinctives aux règles de droit. L’originalité de la règle de

traitement de cette information par l'organisation du pouvoir qu'on a pu comparer à une sorte de système nerveux (Karl W. Deutsch, The Nerves of Government). Autorité et coercition Les détenteurs du pouvoir politique assurent généralement l'exécution de leurs décisions par un mélange, en proportions variables, d'autorité et de coercition. Pour soumettre les personnes ou les groupes récalcitrants aux règles prescrites, aux jugements rendus et aux ordres donnés pour l'action collective, ils ont recours

origines du pouvoir politique I) Pouvoir politique entre domination et contrainte : A) Les thèses classiques en sciences politique : La violence légitime n'appartient qu'à l’État dans le but d'organiser la société selon Weber. Ce pourvoir de coercition dépend d'un projet mettant en œuvre des actions politiques. Ce pouvoir peut être exercé à l'encontre de la population. La police et l'armée sont les instruments de cette violence, cela pour éviter la justice par soi-même. La violence légitime se

ou l’attirance 4. Information : détention d’informations donne du pouvoir sur ceux qui ont besoin 5. Gratification ou coercition : pouvoir de donner un bien et d’accroître ou de diminuer l’aversion de quelqu’un vis-à-vis d’une situation. A ce jour, l’expérience professionnelle nous laisse à penser que les pouvoirs de la norme, de l’information et celui de la gratification/coercition sont réellement dangereux pour l’entreprise. En effet les 2 autres sont généralement détenus naturellement par des personnes

principes : il existe des faits sociaux. Pour Durkheim, « les faits sociaux sont des manières d’agir, de penser et de sentir extérieurs à l’individu, et doués d’un pouvoir de coercition en vertu duquel ils s’imposent à lui » On voit que les faits sociaux se définissent par l’extériorité par rapport à l’individu et la coercition. Quelles conséquences peut-on en tirer ? 2 conséquences : D’abord, la société est autonome et ne peut pas se réduire à la simple addition des individus, c’est ce qu’on appelle

penser, bien au contraire, elle l’institue, elle contribue à donner sens à l’obligation, au respect de la règle et en tout premier lieu à celui qui l’incarne : l’éducateur. Le rapport du maître à l’élève n’est pas un rapport de soumission teinté de coercition, c’est un véritable rapport de droit basé sur la réciprocité de la loi. Ce que commande le maître est fondé sur une légitimité institutionnelle, sur son savoir et sur son expérience. Mais inversement, ce qu’apprend l’enfant débouche sur l’exercice

parler de pouvoir d’injonction quand la personne a qui est adressé un ordre risque une punition si elle ne le fait pas. La désobéissance est suivi d’une détérioration ultérieure. La crédibilité de la sanction dépend de l’existence des moyens de coercitions mais aussi de leurs usages * L’influence : le pouvoir d’influence exclu l’idée de contraintes matérielles, physiques… L’obéissance repose sur la possibilité pour l’autorité d’offrir des gratifications, offrir des sanctions positives. La conséquence

votre plan!]. Qu'est-ce à dire? On a l'explication au début de la deuxième moitié du texte, avec la fiction théorique, ou raisonnement par l'absurde, faisant l'hypothèse d'une société (= simple groupe d'individus) où n'existerait aucun moyen de coercition: "si on supprimait toute contrainte", en comptant sur le sens moral des individus pour se fixer des limites, on serait très déçu selon AS. Toujours aussi réaliste, il affirme qu'il ne faut pas croire qu'en l'absence de contraintes extérieures

d’incertitude qui confère aux dirigeants le pouvoir qui est le leur. French et Raven, (1959), considèrent quant à eux, cinq sources de pouvoir. Trois sources relèveraient de l'organisation: le pouvoir légitime, le pouvoir de renforcement et le pouvoir de coercition. Les deux autres relèveraient de la personne: le pouvoir de référence et le pouvoir d'information. * Le pouvoir légitime: Le pouvoir légitime s'apparente à l'autorité, en ce sens qu'il est décerné par l'organisation. * Le pouvoir de renforcement