Cohabitation Giscard Et Chirac

(psd peut faire référendum) et article 12 de la C° (dissolution mais un tabou depuis la crise du 16 mai 1977)… La Ve République : restaure le régime parlementaire dualiste (sur le papier). Mais dans la pratique : tantôt en régime parlementaire (cohabitation), tantôt en régime mi-parlementaire et mi-présidentiel (coïncidence). Ccl sur la notion de pouvoir d’Etat : art 5 de la C° = fondamental car il définit le rôle du Président en donnant l’idée de DG (psd fort). Le psd est élu mais il y a un effet

auprès de dirigeants et de parlementaires UDF. Denis Baudouin, chargé des relations avec la presse durant la campagne de Jean Lecanuet, devient responsable de la communication à la mairie de Paris (1977-1984), puis conseiller à Matignon pendant la cohabitation. Si la variété des parcours rend incertaine la cohérence de ce métier, c’est surtout la multiplicité des tâches et des fonctions qui rend flous les contours de la profession : de la campagne « clés en main » au conseil « à la carte » en passant

celles de 1969, après la démission du Général de GAULLE qui porte Georges POMPIDOU au pouvoir. Puis, celle de 1974 qui porte Valéry GISCARD D'ESTAING au pouvoir après la mort de Georges POMPIDOU. Ensuite, au terme du mandat de Valéry GISCARD D'ESTAING en 1981, c'est l'élection de François MITTERRAND qui fut réélu en 1988. Enfin, en 1995, celle qui voit Jacques CHIRAC l'emporter sur Lionel JOSPIN. Les dispositions de la Constitution qui nous intéressent sont contenues dans ses articles 6 et 7. L'article

trouve en période de cohabitation (la coexistence d’un président de la République et d’une majorité politique qui lui est opposée à l’Assemblée nationale) ou non. Dans les deux cas, le président de la République nomme les membres du Gouvernement. Il désigne le Premier ministre puis, sur la proposition de ce dernier, les ministres. Il ne peut pas les révoquer, la démission du Gouvernement est présentée par le Premier ministre et acceptée par le président. En période de cohabitation, le président, qui

Commentaire de texte Extrait du rapport du comité Vedel Introduction « Et maintenant, le quinquennat ! » Valéry Giscard d’Estaing A l’origine, le mandat du président sous la Vème République était régis par la pratique du septennat de la loi du 20 novembre 1873 dite « loi du septennat » qui confiait à Mac Mahon le pouvoir exécutif pour 7ans, règle constitutionnelle finalement votée par un « amendement Wallon » le 30 janvier 1875, cependant certains auteurs pensent que cette pratique du septennat

l’idée qu’il fallait appeler Mitterrand « tonton » (oncle âgé ayant une autorité morale sur la famille…). En 1988, Mitterrand fait une lettre à tous les français sans engagement précis, où l’on veut créer un lien, et cela fonctionne, parce que jaques Chirac au 2nd tour n’aura pas une excellente campagne, et il se fait écraser au débat. Cette victoire amène Mitterrand à dissoudre l’assemblée nationale, et on tombe dans une situation inédite de la vie politique, il s’ouvre une période de majorité relative

change profondément. En 1969, De Gaulle est de nouveau contesté, il est désavoué par le vote des Français et démissionne. Suite à un référendum défavorable, De Gaulle démissionne. C’est Georges Pompidou (RPR) qui lui succède en 1969 puis Valéry Giscard d’Estaing (UDF) en 1974 (il favorise les réformes sur la société et les mœurs, ex : légalisation de l’avortement, la majorité passe à 18 ans) = la droite Parallèlement, l’opposition de gauche s’organise et la SFIO devient le PS en 1969 et

mandant à 5 ans, mais sans réunir le Congrès pour achever la réforme de peur de ne pas obtenir la majorité des 3/5ème. Le débat sur la durée du mandat a été relancé au printemps 2000 par Valéry Giscard d’Estaing, proposant l’adoption du quinquennat. Lionel Jospin y était depuis longtemps favorable et Jacques Chirac ne s’est pas opposé, malgré des réticences avouées, à une révision de la Constitution. Les Chambres ont approuvé la réduction à 5 ans du mandat présidentiel, sans limitation du nombre de renouvellements

Vème république a d’autre part consacré une évolution présidentialiste. L’exception au phénomène de primauté présidentielle incarnée par une période de cohabitation est de plus en plus hypothétique avec la révision constitutionnelle du 2 octobre 2000 (instauration d’un quinquennat qui rend de moins en moins probable les périodes de cohabitation). - La portée du principe de l’irresponsabilité politique est problématique. Elle implique en effet l’inviolabilité du président de la République et

effet, au premier tour, on enregistrait un taux d'abstention record de 28,40 %, et au second tour, un taux d'abstention toujours élevé de 20,29 % ( cette baisse entre les deux tours étant dû à la volonté d'aller protester contre Le Pen, en votant pour Chirac ). 1/13 Graphique du comportement électoral des inscrits au second tour . Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lection_pr%C3%A9sidentielle_fran%C3%A7aise_de_2002 La majorité des abstentionnistes était des jeunes (18-34 ans) : 34 %. Une