Coïncidences

La naissance de la monnaie : du troc à la monnaie métallique 1)- La notion de troc Le troc existe depuis l’antiquité ; il correspond à un échange de biens : produit contre produit . Le problème du troc est la nécessité d’une double coïncidence des besoins : chacun des contractants a besoin du produit que l’autre veut échanger. 2)- L’invention de la monnaie marchandise Dans l’antiquité, les hommes échangeaient les objets qu’ils fabriquaient (des pierres précieuses, des tissus

exclut l’usage de la monnaie : les agents économiques échangent les marchandises les unes contre les autres. Avec le troc, le système d’échange n’est pas simple à appliquer : ? Il faut trouver un partenaire à l’échange : il doit y avoir double coïncidence des besoins. ? La marchandise n’est souvent pas divisible ? Le stockage des produits a un coût Le troc freine donc le développement des échanges. Dès la haute antiquité, l’intensification du commerce a montré la nécessité de la mise en place

sa mort connaît des victoires et des échecs, tout comme l’Histoire. Vie en pointillés : vide, chgts d’états. ‘Moi défunts’ et ‘moi nouveaux’ 2) Chateaubriand et l’espace Coïncidence entre l’espace et le temps. Les paysages lui rappellent un moment, une émotion, un souvenir...→ obsession du temps qui passe Coïncidence entre la nature et la passion : observation aigue, amour de la nature, esthétisme raffiné, description minutieuse : 1) Elts d’architecture du paysage

fonctionne le double coup de théâtre des scènes 4 et 5.A la scène 4, dans un long dialogue, Donald et Elisabeth Martin, au constat de toute une série de coïncidence, en déduisent qu’ils sont mariés. Mais le coup de théâtre incohérent est bientôt annulé par un autre tout aussi surprenant .Dans un monologue, Mary, à la scène 5, révèle que toutes ces coïncidences n’ont aucune signification parce que l’une d’elle est fausse : « mettre texte » L’alliance paradoxale de l’incohérence et de la logique est à la

.................................................................................................4 4. Un héros plutôt sympathique même si on sait qu'il n'existe pas ..........................................................................4 B. Coïncidences et invraisemblables ......................................................................................................................4 1. Les personnages meurent et réapparaissent ..........................................................

politique, à une nation, c'est-à-dire des individus qui se considèrent comme liés et appartenant à un même groupe. C'est donc la coïncidence entre une notion d'ordre identitaire, l'appartenance à un groupe, la nation, et une notion d'ordre juridique, l'existence d'une forme de souveraineté et d'institutions politiques et administratives qui l'exercent, l'État. Sans cette coïncidence, on parlera plutôt d'un État multinational. Il existe deux possibilités de création d'un État-nation : • Soit l'État préexiste

processus subtil de co-création* (voir ci-dessous) de l'univers. Par une approche scientifique, elle nous fait découvrir les mécanismes d'une seconde causalité, capable d'expliquer de nombreux phénomènes étranges comme la synchronicité, les coincidences extraordinaires et certaines intuitions salutaires. Elle est présentée dans un livre* intitulé < La Route du Temps >, qui est à la fois un roman initiatique et un essai de vulgarisation scientifique. La Théorie de la Double Causalité ou

un caractère invraisemblable aux événements qui sont décrits par Navarre. En ce qui concerne le deuxième inceste (le mariage pernicieux), on se doit de discuter du fait qu’il n’est conçu que par un ensemble de coïncidences des plus invraisemblables et improbables. La liste de coïncidences menant au deuxième inceste est bien longue : la mère interdit son fils de revenir à la maison à moins qu’il ne soit marié, donc « qu’il n’eust jamais à se trouver devant elle, s’il n’estoit marié à quelque femme

souhaiterait un bien Y. Dans ce cas il pourrait y avoir échange car il y a une double coïncidence des biens, c'est-à-dire que l'agent A pourrait échanger avec l'agent B. Maintenant, s'il y a un troisième agent C qui a un bien Z et qui souhaiterait un bien X et que l'agent A souhaiterait le bien Y et que l'agent B souhaiterait le bien Z, alors il ne pourrait pas y avoir d'échanges car il n'y a plus une double coïncidence des biens. Autrefois, c'étaient les Princes qui fabriquaient les pièces

peuvent esquisser un semblant d’intrigue… En gros : suite de coïncidences rythmée avec monotonie. A partir du coup de pendule, on pourrait croire que l'émotion les gagne mais les didascalies indiquent le contraire. Le début de la scène 5 est marqué par l’apparition de Mary, la bonne, qui vient totalement éliminer cette esquisse en apprenant au lecteur-spectateur qu’il y a un quiproquo : les Martin, malgré les nombreuses coïncidences, ne sont pas en couple. Les nombreuses répétitions syntaxiques