Collège de Sorbonne

se marie en 1870 avec Laure Mondot 2 – avec laquelle il aura cinq enfants dont deux seulement lui survivront - puis enseigne dans divers établissements scolaires, notamment à Angers, et devient proviseur au lycée de Nice3. Il présente en 1872 en Sorbonne une thèse d’histoire antique publiée ensuite sous le titre Hérode Atticus. Étude critique sur sa vie, prélude à une réorientation de son parcours vers une discipline encore secondaire en France à l'époque mais qui va connaître sous son magistère

son livre Histoire générale et système comparé des langues sémitiques (1855), il établit un rapport étroit entre les religions et leur racines ethnico-géographiques, thèse qu'il développera en 1862 dans son discours d'ouverture au 3%A8ge_de_France"Collège de France, opposant le « psychisme du désert » des peuples sémites (« le désert est monothéiste ») au « psychisme de la forêt » des 3%A9ens"Indo-Européens dont le 3%A9isme"polythéisme paraît modelé par une nature changeante et la diversité des saisons3

génial général Vo Nguyen Giap. Léopold Sédar Senghor Biographie Né à Joal, au Sénégal, le 9 octobre 1906, Léopold Sédar Senghor fait ses études à la mission catholique de Ngasobil, au collège Libermann et au cours d'enseignement secondaire de Dakar, puis, à Paris, au lycée Louis-le-Grand et à la Sorbonne. Il est reçu à l'agrégation de grammaire en 1935. Tout en enseignant les lettres et la grammaire au lycée Descartes à Tours (1935-1938), il suit les cours de linguistique négro-africaine de

Hudson), a reçu la médaille d’histoire de l’art de l’Académie française en 1997. Bazin, Louis (France) : spécialiste en philologie et en histoire culturelle du monde turcophone et turco-mongol ; professeur émérite à l’Université Paris III- Sorbonne nouvelle ; directeur d’études (histoire et philologie turques) dans la 4 e section de l’École pratique des hautes études ; membre de l’Institut de France (Académie des inscriptions et belles lettres). Benaboud, M’hammad (Maroc) : spécialiste

Florence sous le règne des Médicis. (grd Mécènes) Le début de l'humanisme français fut marqué par le philosophe et théologien Jean de Gerson et ses amis du collège de Navarre, fondé en 1304 sur l'emplacement de la future école Polytechnique sur à Paris. Comme dans le reste de l'Europe, le développement des imprimeries (celle de la Sorbonne fut installée vers 1470) facilita l'enseignement du grec ainsi que du latin et de l'hébreu. Le même engouement humaniste pour la culture et la tolérance se

Il était l'aîné d’une fratrie dont chaque membre tient un rôle important dans la vie de l'écrivain. De 1723 à 1728 il était dans un collège jésuite dans sa ville natale, mais comme ses études ne l’intéressaient pas, il part étudier à Paris. Ses premières années parisiennes sont mal connues. Néanmoins nous savons qu’il suivait des études de théologies à la Sorbonne. À la fin des années 40, en fréquentant de plus en plus le théâtre, il commence à s’intéresser à la littérature. En 1742, Diderot

Langres que quatre fois, en 1742, à l'automne 1754, en 1759 et en 1770 et essentiellement pour régler des affaires familiales. Ses premières années parisiennes sont mal connues. De 1728 à 1732, il suit sans doute des cours au collège d'Harcourt puis étudie la théologie à la Sorbonne. En tous cas, le6 août 1735, il reçoit une attestation de l'université de Paris qui confirme qu'il a étudié avec succès la philosophie pendant deux ans et la théologie durant trois ans. Les années 1737-1740 sont difficiles

une nouvelle pédagogie en rupture avec la scolastique médiévale. De nouvelles universités, à programme humaniste, sont créés et d'autres (Vienne, Cracovie, Florence,...) rejoignent le mouvement. Néanmoins, certaines universités, comme celle de la Sorbonne à Paris, restent imperméables aux idées nouvelles. Les foyers européens de l'humanisme Le « prince » de cette première Europe intellectuelle est le Hollandais Erasme de Rotterdam (1469-1539). Après un séjour à Paris où il fréquente les cercles

ballet de Cour et de l’Opéra. COMITE D’HONNEUR Georgie Durosoir, Professeur émérite en musicologie (Université Paris IV Sorbonne) et chercheur associée au Centre de Musique Baroque de Versailles, Nathalie Lecomte, Docteur 3ème cycle Musique et Esthétique des Arts Musicaux (Paris I), Eugénia Roucher, Linguiste et Historienne de la danse, Emmanuel Leroy-Ladurie, Professeur au Collège de France, Vladimir Skouratoff, danseur étoile des Ballets du Marquis de Cuevas, Maître de Ballets de l’Opéra de Bordeaux

1935 et s'inscrit en lettres classiques à la faculté des lettres de l'université de Paris, où il contribue à fonder le « Groupe de théâtre antique de la Sorbonne »[3] et obtient la licence ès-lettres en 1939 (certificats d'études grecques, d'études latines, de littérature française et d'histoire de la philosophie). Il est nommé professeur au Collège de France en 1976. En 1995, ses dessins ont été exposés au musée de Bayonne. En 1979, Il incarne William Makepeace Thackeray dans le film d'André Téchiné