Collège

d’enseignants : Serge Abiteboul (académicien, Inria), Jean-Pierre Archambault (association EPI, Enseignement public & informatique), Christine Balagué (Institut Télécom), Georges-Louis Baron (université RenéDescartes, Paris), Gérard Berry (académicien, Collège de France), Gilles Dowek (Inria), Colin de la Higuera (SIF - Société informatique de France - et université de Nantes), Maurice Nivat (académicien), Françoise Tort (École normale supérieure de Cachan), Thierry Viéville (Inria). Gérard Berry en assure

célèbres sont Guillaume Budé (1468-1540) étudie le droit avant de se consacrer aux belles-lettres grecques et latines, à une époque où le grec est encore inconnu en France. Il obtient du roi la fondation d’un collège pour l’enseignement du grec, du latin et de l’hébreu, qui deviendra le Collège de France. Lefèvre d’Etaples (1450-1536) se consacre aux éditions d’Aristote et parcourt l’Italie en écrivant de nouvelles exégèses de la Bible. Symphorien Champier (1471-1573) introduit l’humanisme à Lyon.

commentaires). Ce sont les tragédies de Sénèque – inconnues du Moyen Âge – qui sont les plus appréciées ; mais c’est Térence – plus que Plaute – qui est le plus édité et commenté (sur ses pièces repose l’enseignement du latin et de l’éthique dans les collèges). En termes de théorie, L’art poétique d’Horace (trad. fra. en 1541) est mieux connu que La Poétique d’Aristote (peu alléguée avant 1561). Comme pour la poésie ou l’art, le relais italien est très important. Les ruines des amphithéâtres des Anciens

vrai dire, cette Brigade constitue moins une école qu'un groupe, d'ailleurs variable, fédéré par la même volonté de rénover les formes poétiques :
Ronsard, Du Bellay, Jean-Antoine de Baïf (1532-1589), condisciples au collège de Coqueret, constituent son «noyau dur»;
venus du collège de Boncourt, s'y agrègent en 1553 Étienne Jodelle (1532-1573) et Jean de La Péruse (1529-1554), remplacé en 1554 par Rémy Belleau (1528-1577);
plus lointainement (ils appartiennent à l'école lyonnaise), s'y associent

maître ès art Mais dès 1455, il est impliqué dans l'affaire du meurtre du prêtre Philippe Sermoise et en 1456, la nuit de Noël, il est accusé d'un vol avec effraction au Collège de Navarre, mais il ne fut dénoncé qu'en 1457. Il avait entre-temps eut le temps de fuir Paris. La nuit du 24 ou 25 décembre 1456 (la nuit du vol du collège de Navarre), il écrit le Lais. C'est un poème dans lequel il prend congé d'une femme et lègue ses biens avant de partir pour Angers. De 1456 à 1461, il erre tout seul

devait durer jusqu'à la mort[2]. En effet, c'est à la Faculté des sciences de Paris qu'il entra par la suite. Il commença vraiment ses recherches dans le laboratoire privé de Théophile-Jules Pelouze, où il pouvait expérimenter à sa guise. Il entra au Collège de France comme préparateur d'Antoine-Jérôme Balard, son ancien maître, en 1851. Comme plusieurs autres chimistes de son temps, Berthelot commença ses recherches sur des composés organiques de nature assez complexe. Il obtint son doctorat en 1854

premier stage au collège Joseph Hennequin en Sciences de la Vie et de la Terre avec madame Colomb, j’ai été surprise par le fait que des élèves de 4ème n’étaient pas du tout à l’aise avec le microscope optique. En effet après un TP d’observation de spermatozoïdes, madame Colomb a annoncé une évaluation sur microscope pour la semaine suivante. La majorité des élèves se sont affolés! D’usage courant au lycée, l’utilisation du microscope fait l’objet d’un apprentissage régulier au collège et la classe

était chirurgien. Son éducation est un mélange de succès et de résultats médiocres: il était très mauvais en mathématiques mais excellent en français, histoire, grec et latin. Afin qu’il ne redouble pas sa troisième année, sa mère l’a inscrit dans un collège religieux. Il ne retient pas de bons souvenirs de ses secondaires puisqu’il détestait l’atmosphère religieuse et méprisait les cours qu’il a reçu. Il entre en classes préparatoires à Paris où il est un élève brillant puis à l’école normale supérieure

L'histoire de l'Homme 22 ans d'amphi au Collège de France (1983-2005) Yves Coppens Sobrement intitulé L'Histoire de L'homme, cet ouvrage met en lumière toutes les découvertes qui ont permis de reconstituer tous les jours un peu plus l'arbre généalogique de notre espèce, Homo sapiens. Yves Coppens a pris la suite, au Collège de France, de l’abbé Breuil, de Teilhard de Chardin, de Leroi-Gourhan, les grands maîtres français de la préhistoire : « J’ai eu la chance de vivre, de bout en

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