Colonie du Dahomey

les nouveaux Etats qui aspirent au développement politique et économique »[15] et pour Joseph OWONA, « une répulsion vis-à-vis des exécutifs faibles et un attrait pour les exécutif forts, tel semble être le legs constitutionnel de la France à ses colonies d’Afrique noire »[16]. Un régime qui concentre presque tous les moyens juridiques et politiques dans les mains du chef de l’Etat pour consolider également l’unité nationale dont le pays a tant besoin après la lutte pour l’indépendance qui avait

convention de Cotonou. Au moment de la signature du Traité de Rome, la France, la Belgique, l'Italie et les PaysBas obtiennent de leurs partenaires, que la constitution du Marché commun ne compromette pas les relations entretenues jusque là avec les colonies et territoires d'Outre-Mer. Bien qu'il n'existe pas, à ce moment-là, de définition d'une véritable politique de coopération et de développement, un pont est désormais jeté entre l'Europe en formation et les pays d'Outre-mer en pleine période

transmettre des indications ou des ordres, de caractère politique ou économique. » L’histoire de ce tambour, en deux versions contradictoires, est relevée par G. Niangoran-Bouah40. ● Version tchaman des faits  : en 1916, l’administrateur des colonies Simon reçut l’ordre du gouvernement général de « pacifier » le pays qui, à maintes reprises, avait pris les armes contre les autorités françaises d’occupa34  NIANGORAN-BOUAH (G.), Introduction à la drummologie, Abidjan, Institut d’Ethno-sociologie

elite and the darker-skinned Afro-Caribbean slaves of the plantation-plot society. For the first time in history, skin color could not be considered a sure marker of racial / socioeconomic borders—a phenomenon that placed more than miles between the colonies and their racially segregated mother countries. As colonialists grew more isolated from their European origins, Caribbean culture became definable only as an amalgamation of languages, religions, races, and social mores, an independent system closely

deux en songhay) portant sur les relations maître-esclave et leur avenir. J’avais fini la traduction quand un ami, professeur d’Université, me fournit la photocopie des réponses de Diapaga, Dori et Say à l’enquête de 1904 sur l’esclavage dans les colonies françaises ; l’exploitation n’est pas terminée parce que je n’ai pas trouvé un traitement satisfaisant dans les commentaires relatifs à l’éventuelle suppression de l’esclavage. Je vais donc présenter les données tirées de neuf autres entretiens,

Saint-Laurent dans l’Est de l’actuel Canada, parvenant à faire fructifier des petites colonies en dépit des conditions de vie très difficiles. La région attire les aventuriers car le commerce des fourrures est fructueux. Dans les années 1660, 4000 Français vivent ainsi au milieu des populations indiennes, s’associant avec les Hurons ou les Micmacs et faisant la guerre aux Iroquois. La Nouvelle-France devient en 1663 une colonie de la Couronne française avec pour capitale Québec. En quelques années, un encadrement

dans le mouvement anti-colonialiste. Mais l’administration coloniale française résiste à la poussée anti-colonialiste « en confisquant de nouveau la dramaturgie pour mieux la surveiller. »[18]. A partir de 1952, dans toutes les grandes villes des colonies, des Centres culturels sont construits (en 1955, plus de 117 Centres sont créés). Deux grands concours annuels, l’un de théâtre, l’autre entre dramaturges, sont mis en place. Si cette institutionnalisation du théâtre donne un élan nouveau au théâtre

avant les indépendances, chaque écrivain tente de faire sienne la langue française et l’utilise souvent comme une arme, "un butin de guerre", qu’il retourne contre le colonisateur. En ce qui concerne l’étude présente, elle portera sur deux anciennes colonies françaises : Haïti et le Québec où s’élabore une littérature en français qui apporte à la langue, un changement au niveau du sens et de l’expression, tout en respectant la syntaxe. La création littéraire se manifeste ici en particulier grâce au mélange

cela se met en marche, c'est pour descendre. Qu'est-ce que l'Histoire ? Un ver rongeur. La civilisation qui veut évoluer n'est jamais qu'une civilisation qui décline. Alors quoi ? L'Impérialisme ?... Pas même. Que gagne-t-on à mettre la main sur des colonies, sinon de se dégrader soi-même. Le rêve de Gobineau est impossiblement insulaire. La race ? Elle n'existe plus. Les gens du Nord ? Si vous saviez combien l'on s'ennuie à Stockholm. Les Allemands ? Ils gâtent tout bonnement les Anglo-Saxons

sculpture» (Préface, P. X) qu'est le livre de J. Delange, elle se trouve, non pas dans le contenu explicite du texte mais, dans l’implicite. Passer en revue les grands centres artistiques du Moyen et Haut-Niger à l'Afrique du Sud en passant par le Dahomey (actuel Bénin), le Nigéria sans oublier l'Afrique de l'Est et l'Afrique centrale, c'est offrir au lecteur une vue d'ensemble de ce qu'est l'art africain, démarche qui était rare à l'époque (1967). Cette description générale avait une prétention