Com 23 Mars 1999

sans issue de l'entreprise par le créancier, dès lors qu'il a été alerté par des motifs lui permettant de douter de la bonne santé financière de son débiteur, mais qu'il n'a pas fait preuve de davantage de diligence et ne l'a pas vérifié en s’informant[23]. Ainsi, la responsabilité du dispensateur de crédit est engagée lorsqu'il connaissait ou « aurait dû connaître, s'il s'était informé »[24], de la situation irrémédiablement compromise du débiteur[25]. Cependant, la preuve du caractère ruineux

1200 C. civ.). La solidarité passive présente pour le créancier des avantages évidents ; elle constitue d'ailleurs une garantie personnelle pouvant être consentie par une personne non intéressée à la dette (art. 1216 C. civ.) - Cass.civ., 17 nov. 1999. A. Sources de la solidarité passive La solidarité ne se présume pas. — En matière civile, ]a solidarité ne se présume pas ; elle doit être expressément stipulée ou alors résulter de la loi (art. 1202 C. civ.). Ainsi, par exemple, la solidarité

sommes perçues de l'ancien actionnaire n'a pas davantage été considérée comme un « flux anormal » : à chaque fois, il s'agissait d'opérations qui ont été considérées comme explicables. Cette décision n'est pas aussi nouvelle qu'on a bien voulu l'écrire (23) ; depuis longtemps, la Cour de cassation se montre vigilante sur les conditions de l'extension ; l'arrêt Metaleurop a également démontré que les juges du fond sont aussi exigeants sur le respect des critères, et qu'il ne suffit pas d'une ambiance d'«

irrévocable pour une durée de six mois renouvelable par tacite reconduction pour une durée d’un an. La vente ayant été conclue, l’agent immobilier assigna les époux en paiement de sa commission. La cour d’appel de Papeete, dans son arrêt du 27 mai 1999, l’avait débouté de sa demande, confirmant ainsi la décision des premiers juges. Dés lors, un pourvoi en cassation fut formé par l’agent immobilier. Ce dernier soulevait que sa rémunération était justifiée par l’exécution de sa mission consistant à

Groupe Carrefour 1 Groupe Carrefour Logo du groupe Carrefour Création Dates clés Fondateur(s) 1959 1999, fusion avec Promodès Marcel Fournier Denis Defforey Forme juridique Action Siège social Société anonyme à régime de Conseil d’administration (28/07/08) Euronext : CA [1] Levallois-Perret  France Lars Olofsson Blue Capital 10,69% Autocontrôle 2,82% Blue Partners 2,15% Salariés 1,05% Groupe Arnault 0,71% Autres actionnaires 82,28% Halley Participations 0,57% [2] (2009) Grande

du 8 juin 2000 relative à certains aspects juridiques de la société de l’information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur5, ci-après dénommée directive commerce électronique et plus récemment par la directive 2002/65/CE du 23 septembre 2002 concernant la commercialisation à distance de services financiers auprès des consommateurs6, qui doit être transposée avant le 9 octobre 2004. La France n’a pas su rapidement mettre en avant les atouts de ce nouvel outil technologique

Document 1 – Com., 28 avril 1998, Bull. civ IV, n°134. Document 2 – Articles 51 à 53 du Décret n° 92-755 du 31 juillet 1992. Document 3 – Civ. 2e, 15 janv. 2009, Procédures avril 2009, n°113, obs. R. Perrot. Document 4 – Article L. 4732-2 du Code du travail. Document 5 – Civ. 2e, 8 avril 1998, Bull. civ. II, n°122. Document 6 – Civ. 2e, 30 avr. 2002, Bull. civ. II, n° 83. Document 7 – R. Perrot, obs. sur Civ. 2e, 28 octobre 1999, R.T.D.Civ. 2000, p. 162. Document 8 – Civ. 2e, 22 mars 2001, Bull

textes réglementaires publiés à cet effet est le décret no 67-236 du 23 mars 1967 sur les sociétés commerciales. Plusieurs fois remanié, et en particulier très sensiblement par un décret no 2006-1566 du 11 décembre 2006 (D. no 2006-1566, 11 déc. 2006, JO 12 déc.), le décret du 23 mars 1967 a finalement été codifié dans la partie réglementaire du Code de commerce par le décret du 25 mars 2007 (D. no 2007-431, 25 mars 2007, JO 27 mars). Sur cette partie réglementaire, cf. G. Notté, JCP E 2007, no 163

Efficacité du contrat ▫ Doc. n° 4 Com., 12 février 2008, p. 06-19204, inédit A/ Prix déterminé ou déterminable 1/ Article 1591 C. civ. ▫ Doc. n° 5 Com. 12 novembre 1997, p. 95-14214, inédit re ▫ Doc. n° 6 Civ. 1 , 24 février 1998, p. 96-13414, B. I n° 81 re ▫ Doc. n° 7 Civ. 1 , 14 décembre 2004, p. 01-17063, B. I n° 327 e ▫ Doc. n° 8 Civ. 3 , 12 septembre 2006, p. 05-15998, inédit e ▫ Doc. n° 9 Civ. 3 , 26 septembre 2007, p. 06-14357, B. III n° 159 ▫ Doc. n° 10 Com. 8 avril 2008, p. 06-18042, B.

dans le cadre d'un contrat de distribution exclusive. Surtout l'arrêt, reprenant l'arrêt d'appel, se fonde sur « la circonstance que la société travaille sous une enseigne commerciale propre », ce qui tend à écarter l'existence d'une concession (Cass. com., 10 déc. 2003, no 99-20.687). La référence à l'enseigne distincte est en fait critiquable dans un contrat de distribution exclusive (voir no4343). Lamy Droit Économique - 2015 Partie 3 Distribution Titre 2 Les circuits de distribution Division 4