Comedie Triste

occasion d’écrire une série de mémoire, qui sont de vrais chefs-d’œuvre et qui fut sa réputation littéraire. Voltaire les lu et les trouva très amusante et bien écrites. Grâce à l’énorme succès de ses mémoires, cela va lui révéler son talent pour la comédie. Une fois son procès gagné, il détraqua ses adversaires jusque sur les planches. C’est là qu’il écrivit ses plus grands succès : Le Barbier de Séville et le Mariage de Figaro. Après plusieurs années de lutte pour faire reconnaître ses œuvres aux

aux obligations et règles d'écriture comme le cadre de la bienséance etc. C'est une forme de liberté d'écriture mis en place. De toute évidence, cela parle de romantisme comme il est indiqué dans l'expression elle-même, c'est l'amour malheureux et triste, qui finit le plus souvent mal. VICTOR HUGO ET LE DRAME ROMANTIQUE Le théâtre de Victor Hugo se situe dans un renouveau du genre théâtral initié par Madame de Staël, Benjamin Constant, François Guizot, Stendhal et Chateaubriand. Dans sa pièce

précisément les passions contemporaines mélangeant drame et mélodrame. 2.Théâtre du XVIIIe siècle : De la comédie italienne au drame bourgeois. Avec la mort de Louis XIV, le Théâtre-Italien redevient populaire à Paris. Dans les années 1720 il se crée un véritable répertoire littéraire avec des pièces écrites spécialement pour eux par des auteurs comme Marivaux. Marivaux invente une comédie d'exploration psychologique, qui traite le thème de la naissance de l'amour, mais crée aussi des pièces

Introduction : Au XVIIIème siècle, le théâtre a connu ses plus grandes lettres de noblesse. En tant que genre dominant, le théâtre s’est exécuté à travers la comédie, la tragédie et la tragi-comédie. Mais ici il importe de considérer Phèdre de Jean Racine qui est un fruit de la tragédie classique et symbolise en même temps le goût du XVIIème siècle en matière de culture gréco-latine. I)-Présentation de l’auteur : Jean Racine, né à Ferte-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 Avril

par une ceinture de cuir, d'un plastron et de culottes blanches à larges rayures vertes.   Pantalon Pantalon, le vieillard ridicule et avare,  apparaît  plus tôt que celui de Brighella, vers 1565. Il appartient à la tradition des vieillards de comédie déjà présente à Rome (Attelanes).    Il est ridicule et avare.  C'est le type même du personnage imbu de lui-même, incapable de se rendre à l'évidence du temps qui passe, réactionnaire et méfiant envers le progrès.  Comme il est en plus porté sur

ce n’est pas tant son crime qui fait l’objet du procès mais lui même. Ouverture : 1- Absurde : Meursault sert la philo camusienne puisqu’il est lui même la notion de l’absurde où la vie n’est qu’un éternel recommencement ( mythe de sesyphe), une comédie sans aucune signification transcendante où une succession de hasard peut amener à commettre un crime « La conscience toujours maintenu d’une fracture entre le monde et mon esprit »  et la seule issus se retrouve dans sa révolte qui confère la vie

dieu du vin et de la fertilité ) dont les trois principaux festivals sont les Dionysies champêtres ( de décembre à janvier ), les lénéennes ( de janvier à février ) et les grandes Dionysies ( de mars à avril ). Ces hymnes célébraient les aventures tristes ou gaies du dieu. Les membres du chœur, les choreutes, prenaient part à sa joie ou à sa douleur. Il y eut d’abord un chœur de 12 choreutes puis de 15. Au chœur, on ajouta d’abord un acteur, puis un autre et enfin un troisième. Peu à peu, le chant

théâtres ancêtres des comédies modernes. Rien de sérieux, il s’agit de faire rire (on retrouve thèmes empruntés aux fabliaux –misogynie– et goût calembours obscènes). Farce du cuvier (milieu du XVe) : habile variation sur le thème de la « femme qui porte la culotte » au grand dépit de son mari, ravi de trouver une occasion pour se venger et reprendre le dessus. p 158. Farce de Maître Pathelin (vers 1465) : chef-d’œuvre de la farce médiévale. Plus qu’une simple farce, comédie de mœurs et de

que Lisette eût du goût pour moi… ») Lisette et arlequin éprouvent pour leur part dès qu’ils sont travestis en habits de maitres les plaisirs de la vanité car séduire une personne de condition leur parait un véritable triomphe. L’Amour dans la comédie de Marivaux est un sentiment complexe auquel d’autres sentiments se mêlent parfois : le plaisir de la conquête et même la tromperie, jouissance et souffrance de l’amour propre où encore la jalousie. L’Amour propre demeure parfois un obstacle entre

discours. Vous êtes là sur une matière qui, depuis quatre jours, fait presque l’entretien de toutes les maisons de Paris, et jamais on n’a rien vu de si plaisant que la diversité des jugements qui se font là-dessus. Car enfin j’ai ouï condamner cette comédie à certaines gens, par les mêmes choses que j’ai vu d’autres estimer le plus. URANIE. Voilà Monsieur le Marquis qui en dit force mal. © H A T I E R 2009 DORANTE, LE MARQUIS, 5 www.annabac.com 10 15 20 25 30 LE MARQUIS