Comédies et proverbes

col.  « Que sais-je? ». Starobinski, Jean, Montaigne en mouvement, Paris, Gallimard, 1982. D. THÉÂTRE Lazard, Madeleine, la Comédie humaniste au XVIe siècle et ses personnages, Paris, PUF, 1978. Lazard, Madeleine, le Théâtre en France au XVIe siècle, Paris, PUF, 1980. Morel, Jacques, la Tragédie, Paris, A. Colin, 1968. Voltz, Pierre, la Comédie, Paris, A. Colin, 1964. E. SITES GÉNÉRAUX www.Renaissance-France.org : [ « Le portail de la Renaissance française » ] http://gallica

vocation de LA FONTAINEs à l’Académie française 1687 Querelles des anciens et des modernes : LA FONTAINE fait partie des anciens 1692 fables sont oublies en édition complète † 13.04.1695 à Paris Les fables de La FONTAINE « Mes fables sont une ample comédie en cent actes divers, Dont la scène est l’univers » Dans ses fables, La Fontaine peint et critique la société -événement initial pour écrire des fables (avant : novelles érotiques) : la condamnation de Fouquet (avant surintendant des finances) -3

divertissement », de sorte que le rire est toujours une expression de notre mépris. À cela, nous devons ajouter ce que dit Aristote dans sa Poétique, particulièrement dans le court passage qu’il consacre au type de mimésis manifeste dans la comédie. La comédie, écrit-il, traite de ce qui est risible, et ce qui est risible est un aspect de ce qui est honteux, laid ou vil. Si nous nous trouvons en train de rire d’autrui, ce sera parce qu’il manifeste un défaut ou une marque de honte qui, bien qu’elle

désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode. Formes dominantes : Types de

monde réel. Montalbetti avance à ce sujet les notions, reprises par Searle, d’îlots référentiels. Ceux-ci sont composés de noms propres, de certains éléments ou lieux historiques émergeant dans l’intrigue, et des énoncés gnomiques, tels les adages, proverbes ou assertions de vérité générales, eux aussi ponctuels dans l’intrigue. La fiction serait alors considérée comme un monde-miroir de notre monde réel, et les îlots référentiels en serait les points d’accès. Mais, comme nous l’avons vu plus haut

Chute). Le tout dans des longues phrases poétiques avec des procédés poétiques (métaphore, chiasme, ...) II. Qu’apprend-on de Clamence ? Clamence se présente comme un guide supposer d'en savoir plus que les autres. Il fait référence à la Divine comédie de Dante dans lequel le personnage a besoin d'un guide. Clamence est en train d'expliquer qu'il y a quelque chose à chercher au-delà des apparences. Le thème du double. Une description qui peut être objective (objet) ou subjective (souvenir). C'est

Balazard et Elisabeth Gentet -Ravasco (Niveau CE/CM) Huit petites comédies se passant dans une gare et mettant en scène de deux à huit enfants-acteurs.  SCÈNES DE SQUARE de Sophie Balazard et Elisabeth Gentet-Ravasco (Niveau CE/CM) Huit petites comédies se passant dans un square et mettant en scène de deux à huit enfants-acteurs.  SCÈNES DE STADE de Sophie Balazard et Elisabeth Gentet-Ravasco (Niveau CE/CM) Dix petites comédies se passant dans un stade et mettant en scène de deux à quatorze

l’originalité de se situer hors de la tragédie, hors du théâtre. Nous analyserons donc le rôle de ce lamento dans la pièce. Ainsi, nous verrons comment il est l’occasion pour le dramaturge de renouer avec la tradition de la parabase (Partie d'une comédie grecque hors de l'action, dans laquelle le coryphée s'adressait directement au public pour lui exposer les intentions ou les opinions de l'auteur.), même si le choix du jardinier –personnage qui déclare sa solitude et tient des propos paradoxaux-

Musset : le Dialogue, parole échangée à deux. Dans les caprices de Marianne il n'y a presque que des échanges à deux. Ces deux oeuvres donnent une vision non traditionnelle du romantisme. Ce sont deux petites formes littéraires. Une nouvelle et une comédie en deux actes. c'est tout le contraire des gros morceaux de Victor Hugo. Hernani, Ruy Blas, Notre Dame de Paris... De même avec Dumas, Vigny... Comme si il y avait un rapport plus ludique et fantaisiste à la littérature qu'on appellera le romantisme

compte que le metteur en scène tient parfois à exprimer sa propre lecture et un point de vue tout à fait personnel. Ainsi, nous pouvons percevoir ces objectifs semblables et multiples, qui parfois se croisent dans notre corpus, deux extraits de comédies du XVIIIème siècle, l’une de Marivaux, La Colonie, scène 13, parue en 1750, l’autre de Beaumarchais (Le Mariage de Figaro, Acte V, scène 3), un document iconographique, la pochette du DVD présentant Le Cid de Pierre Corneille, dans la mise en scène