Comique Critique Moeurs

une occasion pour l'auteur de confronter deux modes de pensée, deux mondes opposés grâce au regard de l'étranger, source d'étonnement sur les moeurs, les coutumes et les institutions françaises. Ainsi dans cette 1ère lettre écrite de Paris en 1712 de Rica à Ibben, Montesquieu présente les mœurs parisiennes, qui laissent progressivement place aux critiques de la papauté et de la monarchie absolue de droit divin. I. Regard du persan dans la lettre * Lettre persane indication externe :

Dissertation sur les fonctions du comique Exemples de rédactions (d'autres plans sont évidemment possibles): |Amorce | Depuis l'Antiquité, pour les fêtes de Dyonisos, la comédie est présente. Des farces grotesques populaires aux comédies de Molière ou | | |Marivaux, le théâtre a toujours fait rire le public. C'est pourquoi on peut se demander si la comédie n'a pas d'autres fonctions que de distraire | |Sujet |le spectateur. Ainsi nous analyserons

théâtre où ils viennent de voir Dom Juan, pièce de Molière sortie en 1665. Morgane entame la conversation : «-C’était vraiment bien! J’adore Molière, c’est un véritable génie. On a beau le considérer comme un auteur comique, la majorité de ses pièces sont très sérieuses et critiques. La fin dramatique de Dom Juan m’a vraiment impressionnée, même si le héros est assez antipathique… Franchement je ne trouve rien de risible dans ce personnage égoïste, cynique et destructeur, qui fait souffrir les autres

naissance de la Comédie-Française. Comique et comédie au XVIIe siècle: Molière L’œuvre OBJECTIFS On peut donc distinguer plusieurs périodes dans l’œuvre de Molière. • analyser l’écriture de la comédie classique • étudier la comédie d’intrigue, la comédie de caractère et la comédie de mœurs • distinguer comique et comédie • Les comédies d’intrigue (fondées sur les rebondissements d’une action enlevée, avec des ressorts proches de la farce et de son comique grossier) : Le Dépit amoureux

est liée à son histoire et au statut même de la comédie chez les théoriciens classiques. On distingue habituellement trois périodes au dix-septième siècle. De 1590 à 1623, c’est une période relativement faste pour le théâtre et le genre comique en particulier : la fin des guerres de religion, le renouveau de la création, une plus grande liberté sociale et politique laissent libre cours à un théâtre relativement varié, avec en tout cas très peu de règles, et une place importante donné au

machina qui a pour but de faire voler l'acteur,les rideau ,l'éclairage pour que les spectateurs puissent sortir de la routine. La mise en scène est donc un moyen de divertir. Grâce aussi au registre qui sont tournée vers le divertissement, exemple le comique au théâtre qui sert a amuser le spectateurs par des moyens simples le personnage est dans une situation particulièrement ridicule , des jeux de mots , des plaisanteries qui suscite le rire mais aussi par des gestes peu communs comme par exemple dan

appuyant sur des exemples de comédies ou d’humoristes » Le sujet porte sur les limites de l’humour et du comique, notamment en se moquant de certains sujets. Nous allons nous interroger sur le droit et les différentes permissions qu’ont les auteurs de traiter certains thèmes. Il faut également réfléchir à la censure et a la notion de bienséance. Le comique est-il un moyen de critiquer le non critiquable comme le pouvoir en place ou bien les différences sans autant dépasser les limites morales

première représentation, elle connait un grand succès face au public bien que certains critiques lui reprocheront une trop grande influence du modèle italien et le fait qu’elle tourne le dos à la « comédie des mœurs ». (D’Alembert lui reprochera de « ne pas parler le Français ordinaire ») En quoi Marivaux renouvelle-t-il la comédie à l’aide des caractéristiques du théâtre italien afin de critiquer les mœurs d’époque. DEVELOPPEMENT : On peut voir que l’intrigue est divisée en deux parties parallèles:

d'une création comique correspondant à une forme précise. Le spectateur, connaissant un genre donné, saura à quoi s'attendre. Selon la présentation de l'œuvre (tragédie, comédie…), il aura une vision stéréo typique de l'œuvre. Le genre est donc, avant tout, une convention qui donne un cadre, une forme précise. C'est un premier échange implicite entre l'artiste et le spectateur. Molière disait, traduisant ainsi une devise de Santeul : le but de la comédie est de corriger les mœurs (castigat ridendo

soubrette Dorine use de l’ironie et de la moquerie pour faire valoir sa critique : « que d’affection et de forfanterie ! ». Elle se moque ouvertement de Tartuffe en critiquant son physique : « et je vous verrais nu du haut jusques en bas, que toute votre peau ne me tenterait pas. » Elle critique aussi sa mentalité : «Comme il se radoucit ! Ma foi, je suis toujours pour ce que j’en ai dit. » -Dans L’Ile des esclaves, Arlequin critique son ancien maître en dénonçant ce qu’il lui faisait endurer : « Dans